BUREAU LUMIERE : CAMP DE YAOUNDE-CARRIERE MARDI LE 02 AOUT 2011
MESSAGE INTEGRAL MAMAN MARIE LUMIERE - « JOURNEE DE PLUIE ET DE GUERISON »
- Bonne fête ! Merci Maman !
- Bonjour les mères et les élèves
- Bonjour maman !
- Gao !
- Ooh !
- Je tiens à informer tous les élèves que vous n’êtes pas venus bavarder.
Vous êtes venus pour quelques choses la plus précieuse : l’écoute. Et quand vous bavardez, je ne crois pas que vous pouvez écouter.
Je suis arrivée ce matin avec retard parce que « la machine » était grippée. Il fallait mettre un peu d’huile pour qu’elle réponde mieux. C’est alors que je l’ai retouchée et cela a démarré et prendre effet comme ça se doit.
Nous manifestons ainsi, un début de travail. Un début de travail d’un Homme. (Prenez votre mal en patience et asseyez-vous !) Si vous rentrez tard c’est de votre faute si vous finissez de bavarder, on va travailler.
- Gao !
- Ooh !
- Si vous bavardez encore, sachez que vous appelez ainsi la pluie. Le bavardage appelle la pluie. Si vous stoppez, vous verrez que la pluie diminuera un peu.
- Bonne fête à tous.
- Merci maman.
- D’abord, nous sommes ainsi au début du mois d’Août qui est un mois marial. Mois où l’on parlera de Marie qui va montrer au Ciel.
En cette période d’Août, Dieu a exaucé son peuple en envoyant un homme au nom de PERE SOFFO. Il doit créer le BUREAU LUMIERE le 06 Août 1975.
C’est ainsi qu’il a une mission à accomplir. Il se déporte à l’Ouest où il n’y mettra pas long et il se déportera à Yaoundé. Et moi de dire « si le Seigneur à bien voulu le déporter à la capitale. C’est parce que YAOUNDE est le sommet de votre pays. Alors il l’envoie poursuivre son œuvre à YAOUNDE. Nous allons retenir une seule chose très importante.
Dieu envoie chaque personne avec un nom et avec une mission. Dieu est multitude. Il demeure dans le même esprit hier, aujourd’hui, comme demain. Il est multitude parce qu’Il peut se multiplier et s’implanter dans chaque personne.
Il est invisible, mais, visible dans les actes pour ceux qui comprennent. Alors, le père doit continuer à sa battre, à couper les gros arbres. En marchant sur les cailloux etc. jusqu’au jour où le Seigneur lui a dit stop pour qu’il revienne vers Lui.
Seulement, je dois souligner quelque chose très important. La différence entre les hommes de l’époque ancienne (celle de Jésus Christ) et l’époque actuelle, celle de PERE SOFFO est que l’on observe que ces derniers veulent un peu écouter le message. Parce que vous nous avez reçus. Malgré vos difficultés de compréhension vous nous avez quand même reçus et ceci marque une différence entre ceux d’avant et ceux d’aujourd’hui.
C’est ainsi que je dois attirer votre attention sur son nom. DJEBIAPSI : « Jebyapsi » L’Homme qui attend tout de Dieu. SOFFO : Ami de chef reçu de vous. Toute personne qui l’a considéré comme son père l’appelle PERE SOFFO.
- N’est-ce pas ?
- Oui, Maman.
- Il doit continuer ses œuvres. Mais il a souffert.
De la souffrance des clous plantés dans ses paumes de mains, et les plantes de pied. Suivi d’un poignard planté au cœur, il a reçu de l’essaim d’abeilles aux oreilles et à la tête.
Puisque lorsque beaucoup entendent qu’un Homme est de Dieu, ils gardent un problème dans leur cœur. On ne sait pas que celui-ci peut se fâcher. On pose toute sorte d’acte en croyant que tout cela sera accepté. « Quel diplôme a-t-il ? ». Pourquoi pas moi et non lui. Et c’est cela qui crée les problèmes jusqu’à nos jours où il est même tombé. Je dis grandement Merci à Dieu parce qu’Il a tenu l’ensemble du Bureau Lumière jusqu’aujourd’hui. Et je répète la demeurera. Ça demeurera, ça demeurera (3 fois) ça existera toujours.
Vous devez aussi comprendre qu’on ne peut pas œuvrer ainsi sans rencontrer beaucoup de difficultés. Puisque l’on vient ainsi enseigner, détruire la vieille nature pour construire la neuve qui est l’enseignement que Dieu envoie à Son peuple. Ce n’est pas facile pour toute personne qui prêche et qui enseigne. Il faut d’abord se préparer que le faire c’est la guerre.
Puisque tu viens ainsi changer les habitudes des gens en une nouvelle méconnue. Ainsi, si tu es un peu fragile, seulement les mots que l’on te lancera risqueront de te faire détourner de ta mission. Il faut être solide.
Nous sommes à ceci très très important. Les enfants que vous êtes, vous avez encore du temps à dialoguer avec le ciel. Vous avez du temps parce que Dieu a mis toute sa confiance en vous. Vous avez encore du temps pour prier et Lui demander de modeler votre vie à sa volonté. Vous avez encore du temps à prier pour recevoir le plan de votre vie future. Vous avez encore du temps à vous amener vers lui et recevoir encore plus que vous n’en croyez. Mais, la facilité amène beaucoup de jeunes à nos jours à déserter.
- Gao !
- Ooh.
- Si aujourd’hui, on vous envoyait comme jadis on envoyait les disciples d’Emmaüs je ne croie pas que même 50 enfants pourront arriver. Dite-moi si vous pourrez arriver. Gao !
- Ooh !
- Est-ce que vous comprenez ?
- Je demande aux jeunes si l’on les envoyait à nos jours comme au temps des disciples d’Emmaüs, pour parler de ce que vous avez vécu, ce que vous avez vu. Serez-vous capable d’aller propager cela ? Hein ?
- Oui, maman.
- Irez-vous ?
- Oui, maman.
- Et si dès maintenant je vous envois irez-vous ?
- Oui maman.
- A ta nurz a ! vous ne dites rien.
- La preuve en est ceci. Lorsque vous n’êtes pas à mesure de recevoir le message de tous les jours et le mettre en pratique.
Vous irez enseigner quoi ? Quand les messages ne sont pas mis en pratique, vous irez enseigner quoi ? Vous répondez « oui » simplement pour me satisfaire.
- Qui ira si c’est dur ?
Je ne vois que quelques maigres doigts
- Gao !
- Ooh !
- Dès Septembre, je vous enverrai
(vifs cris de la foule)
- Savez-vous pourquoi je doute un peu ?
- Non, maman !
- (Rire) c’est parce que nombreux sont ceux d’entre vous qu’on amène ici au camp après la rentrée scolaire parce d’autres jeunes ont pris leur doctrine pour les piéger et les tirer dans leurs filets. Et ces derniers n’ont pas été capables de résister.
Revenons à ceci très important. On a honte de témoigner le BUREAU LUMIERE. On vous dit PERE SOFFO est monté, PERE SOFFO est descendu. Ce sont des secrets. On a honte de défendre PERE SOFFO et le BUREAU LUMIERE. On a honte de proclamer sa foi en disant haut et fort que : « je suis Chrétien ». On a honte de dire : « je suis un fervent croyant ». Ainsi, tout ce qu’on présente face à vous vous pousse à tomber. Moindre chose vous fait tomber et vous dites que l’on peut vous envoyer jusqu’à vous allez ? Hein ?
Dorénavant, préparez-vous en conséquence je vous enverrai. D’ici Septembre, je vous enverrai. Dans toutes les universités actuelles ce n’est plus de secret pour personne, tous les jours, on se plaint des sectes, des églises qui naissent dans les établissements scolaires et universitaires. Chaque personne vient avec sa part et veut forcer les autres à les suivre.
Vous, quand je vous regarde, j’ai honte. J’ai honte de voir un enfant du BUREAU LUMIERE qui a été dompté pour entrer dans une autre église, cela me fait honte.
Notez Bien : si vous allez n’importe où en sortant sur ce que vous avez vu comme vérité, cela signifie que partout où vous irez, vous abandonnez pour aller ailleurs et ainsi devenir une prostituée de foi.
La réalité de votre vie est là. J’ai reçu un autre étudiant de l’université de Dschang qui déclare : « Maman je suis typiquement les œuvres du BUREAU LUMIERE grâce à qui j’ai vue le jour. Personne, aucune personne au monde ne m’amènera nulle part. Je connais le BUREAU LUMIERE comme à travers lequel Dieu a mis pied sur terre et je reconnais mon église protestante où je nourris ma foi et je n’irai nulle part ». Il me dit : Maman, lorsque j’ai déclaré ainsi à un sectaire, je n’ai pas su que c’était une déclaration de guerre ». La nuit comme le jour j’étais persécuté par des esprits et je disais dans mon cœur que malgré cela, je n’abandonnerai pas. C’est alors que j’ai pris mon eau Bénite du Bureau Lumière, le Bonheur, et prié dessus ainsi. Seigneur où c’est toi qui demeure dans cette eau, où c’est grâce à toi que cette eau est bénie, je vais t’utiliser et je verrai ce qu’ils feront encore de moi ». Il déclare l’avoir fait en public et entrer chez lui dormir.
Il me dit : « maman, après ceci je suis entré me coucher. Grande a été ma surprise qu’au réveil, j’ouvre ma porte et découvre des fétiches, du sang avec la peau d’animaux, des plumes d’oiseau etc. puis, je suis rentré dans ma chambre reprendre mon BONHEUR, et prier ainsi. « Seigneur, mon Dieu, je sais que tu es là. Mama, a fait 17 ans sans utérus bien après, elle m’a conçu et me voici. Je vais aller sans peur, et personne ne me fera absolument rien. Il a bu après cette prière, asperger l’autre sur ces fétiches, prendre son balaie pour balayer tout cela. Il dit : « Pendant que je balayais j’ai entendu une voix qui me disait « Jusque là tu n’as pas peur ? L’eau c’est quoi ? » J’ai dû lever ma tête pour déclarer : « L’eau c’est la vie parce que toi-même tu t’en sers pour te laver et dans cette eau, tu trouveras ce que tu cherches ! ».
Et j’ai encore aspergé davantage cette eau portant et sur sa face et l’enveloppe qui voulait l’envahit s’est envolée. Il a entassé ces fétiches, mettre feu avant de laver sa devanture et retourner dans sa chambre. « Maman, une fois dans la chambre, j’ai pris mon chapelet et prier correctement un tour avant de me plonger dans mes cahiers pour étudier. Je me suis enfermer sans mot dire et décider ne pas sortir. Je voulais voir qui était derrière tout ceci.
C’est alors qu’ayant passé toute la journée à la maison, autour de 15 heures, j’entends quelqu’un frapper à ma porte. Je n’ai rien dit. On part appeler une personne, ils viennent et frappent, je n’ai rien dit on s’en va chercher un troisième, venir frapper. Je suis resté sans mort dire tous les voisins sortent. Les gens sont à ma porte et chacun raconte ces imaginations tantôt « qu’elle est morte où elle n’est plus en vie » etc.
Lorsque le téléphone sonne, c’est mon parent, mon père qui déclare que je suis folle pour mettre enferme dans ma chambre et personne ne m’a vu depuis le matin. J’ai donc tout expliqué à mon père et il a déclaré : « j’ai compris ».
Il continue : « Maman a 17 heures quand j’ouvre ma porte, certains veut demander où j’étais, et je leur ai répondu ainsi : « Votre sorcellerie ne peut rien me faire. Mettez dans vos têtes que c’est ma part qui dépassera la votre ». C’est ainsi qu’il a survécu face aux menaces démoniaques des sectaires.
Notez ceci qui est très important. Si vous avez cru que ce que vous avez reçu ici au Bureau Lumière vient de Dieu et vous sautez par-dessus pour aller ailleurs, c’est vous qui rendez compte et un moi parce je ne vous donne que ce que l’on m’a autorisé à vous donner.
C’est vous qui allez rendre compte un jour. Si vous avez vu ici les merveilles de Dieu et vous êtes convaincu que Dieu est ici vivant et présent puis vous sautez par-dessus tout, cela n’engage que vous-comprenez bien ce que je vous dis. J’ai toujours crié que vous restez dans l’église où vos parents vous ont mis.
Quand on vous interroge, vous dites que vous chercher où il y a du miracle. Vous là même êtes tous des miracles. Parce que dans la soirée que vous le veuillez ou pas, vous allez dormir. Et le lendemain, si Dieu ne veut pas vous n’allez pas vous réveiller. Vous êtes sans ignorer que dans le monde il y a des gens qui se sont couchés et ne se sont plus jamais réveillés le lendemain. Et si le matin, le Seigneur ouvre sa porte pour que tu sors, cela signifie miracles.
Sinon vous ne pouvez absolument rien. C’est cela les miracles.
Dans toutes les circonstances de votre vie au quotidien, invoquez le Seigneur, priez et demandez-lui tout ce qui est nécessaire pour votre vie. Invitez-le à chaque instant de votre vie. Si vous visitez à chaque moment de votre vie, vous verrez combien de fois il est glorieux.
Moi, lorsque je lance un coup d’œil en Afrique noire, ça me fait pleurer. Je suis une personne qui aime et cherche à connaître. J’aime connaître. J’aime voyager pour découvrir, connaître et comprendre certaines réalités.
Pourtant aujourd’hui en Afrique, beaucoup de chefs d’Etat Africains, ne font qu’adopter le mystique de sectes, des pratiques mystiques européennes en oubliant leurs natures propres. Dieu vous a créé bien, vous avez une nature plus bien, et meilleure que ceux que vous pensez qu’ils sont mieux que vous. Dieu vous a le mieux créé. Vous oubliez tout le bien que le Seigneur vous a fait.
De nos jours vous vous accrochez à la Franc-maçonnerie, la Rose croix, à la Pédophilie, au Lesbianisme, à l’Homosexualité etc. Et se sont des choses qui courent à nos jours dans les établissements scolaires et universitaires. Il n’y a plus de honte à cela.
Aujourd’hui, les jeunes n’ont plus honte. Ils n’ont plus honte de faire les embrassades bidon devant leurs parents. Mais sachez que la maladie vous guette. Les hépatites A, B, C, D à travers ces bizous sauvages que cela vous contaminera. Vous faites ainsi pour montrer la pudeur à vos parents. Vous connaissez tellement jusqu’à connaître où vous êtes nés. A part cela, il n’y a plus rien dans vos têtes. Vous n’avez absolument rien dans la tête. Vous avez encore beaucoup de choses à apprendre.
Au début de l’Année, je vous ai parlé du cholera et vous avez négligé sachez que le cholera est entrain de faire rage ; que l’on ne vous mente pas. Depuis que cela a commencé, o, enregistre déjà plus de 2 000 morts de cholera. Quel est alors son origine ? Certains diront que cela est dû à la pauvreté. Et moi de dire Non ! Cela provient du manque de confiance et de conscience.
On n’a pas confiance en ce que l’on fait, ni en d’autres personnes. On reste se cramponner sur soit. Et si un budget est voté ou attribué pour lutter contre une maladie, les cadres de l’administration se partagent et dilapident et font ainsi souffrir le peuple. Tout ce que reçoit le pays, devient pour une poignée de décideurs : « Tout pour moi, rien pour les autres ». Où croyez-vous que nous irons avec cette mentalité là ?
Alors, vous qui avez comme la droiture de Dieu, je suis entrain de vous ramener dans l’honnêteté dans votre vie. Soyez particulier dans votre vie. Faites taire les autres pour les amener à tricher ce que vous faites pour appliquer aussi à leur niveau et cela amènera une chaîne d’Amour.
Et si vous voulez dire : « Moi, changer ! Non ! », A la longue, vous regretterez.
Ce matin même je parlais avec l’un de vous. Il lui disait ceci, ce que je t’explique, j’ai vécu cela maman. Elle dit maman je ne peux pas me mesurer à toi. En te prenant pour exemple. Je suis un être humain comme toi. J’ai le droit de décider devant toute chose.
Seulement, j’ai pris la résolution de ne pas faire honte à mon Dieu qui m’a envoyée. Ma décision est de dire : « Non et non de te faire honte mon Seigneur ». Moi que tu as préfabriqué par ta nature pour que je sois ce que je suis. Je te ferai pas honte vous qui êtes créés par sa nature faites des efforts pour ne pas lui faire honte. Lorsque je vous parle ainsi ça me rappelle l’histoire de cette fille dont je vous ai parlé dernièrement. Une fille qui avait été détournée de son foyer conjugal par une autre.
Elles sont allées faire un mariage des lesbiennes où on l’a sucé si bien qu’avant que sa maman ne la retrouve, elle était une épave. A l’heure où je vous parle celle-ci n’est plus en vie. Cette vie de lesbienne c’est ce qu’on vous propose chaque jour en vous déclarant que cela ne vous fera aucun problème sur votre personne. Mais, moi je vous dis que c’est une forme de sorcellerie. Et si vous voulez, je mettrais tout cela en détail.
- Hein ?
- Oui maman.
La plus jeune lesbienne ne peut pas mettre 50 ans au monde. Cette fille m’explique ceci : « Maman, je sais que je vais mourir parce que toute mon énergie vitale a été soutirée. Même mon esprit n’est plus en place. Seul mon corps est là et pour me sauver ce n’est pas facile. Je suis convaincue que je vais mourir. » J’ai répondu : « Non, ne dit pas cela. Reste calme, nous allons bagarrer ». Et comme vous aimez l’argent, après 3 semaines de « combat », au moment où je m’étais rendue au village pour mon congé, on l’a appelé pour l’argent.
« Si tu veux, retrouve moi à Bamenda, je vais te faire un passeport pour t’amener en Europe. Des qu’elle s’était donc présenté à Bamenda, on l’a avalé. Voici ce qu’elle m’avait expliqué avant d’aller se faire achever. Elle me dit : « Dès 17 heures, je me mets nue et celle-là se met à me sucer de mes orteils à mes cheveux en passant partout sur moi, même dans mon vagin. Elle le fait ainsi sans laisser une partie de mon corps ceci jusqu’à 5 heures du matin. Ensuite elle me fait boire des potions magiques qui me font travailler comme une esclave dès que je me lève du lit. Je la sers comme une esclave. C’est pourquoi je suis partie de quatre vingt-cinq kilogramme à quarante cinq kilogramme parce qu’on me suce chaque jour ».
Et lorsqu’on vous flatte à devenir lesbienne, on ne vous explique jamais que là dedans, il y a un danger. Pourquoi, êtes-vous si ignorant ? Même à l’école, pour obtenir un diplôme n’est-ce pas on commence, toujours par l’alphabet ? Hein ?
- Oui, maman.
- C’est au fur et à mesure que l’on progresse dedans qu’en l’on découvre d’autres phases. N’est ce pas ?
- Oui maman.
- Même dedans, c’est pareil.
Au début on ne peut pas tout dire ni te montrer la vraie image de ce qui s’y passe. Ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.
Autre cas ; un jour, j’arrive ici et trouve une femme qui se plaignait. Elle m’amena son petit. Lorsque je me suis mis à questionner le gars, il a tout nié en bloc.
Il a juré de tous les dieux qu’il ne connaissait rien. Nous avons passé plus de six heures d’entretien et le gars continuait toujours à nier. Je lui ai demandé : mon frère, tu dis que tu ne connais pas ? Il répond « oui ». Et moi d‘ajouter : vous aimez que l’on vous fende pour dire qui vous êtes alors que vous-même connaissez qui est-ce que vous êtes. C’est alors que je lui ai dit ceci :
« Avant de venir me voir ce matin, au lever, tu as voulu faire la prière du chapelet trois fois sans succès ? » dès que tu as commencé le premier tour tu as eu sommeil et tu as arrêté. Dès que tu as engagé le 2e tour, même chose. Au 3e tour tu as sombré dans la fatigue. » Il me dit : « oui » j’ajoute : « A 2 heures du matin, tu t’es trouvé vraiment fatigué et pour finir, tu ne pouvais plus rien ?
A 4 heures du matin, tu es allé te laver puis revenir t’endormir. 5h30, tu as appelé ton ami pédé avec qui tu traites pour lui dehors : « Gars ça ne vas pas : » Si tu veux je sais les références de ton portable pour te donner.
6h et quart, ta sœur est venue te prendre pour t’amener chez moi. A présent, dis-moi qui tu es ». Il s’est levé et allé se détendre dehors avant de revenir déclarer « s’il en est ainsi, je vais dire la vérité » Et moi de lui demander « s’il en est quoi ? Penses-tu que je suis folle pour te demander quelque chose ? Ta sœur m’a expliqué qu’elle t’a demandé de l’accompagner ici et que du jour au lendemain, tu deviens bizarre et elle ne comprend pas pourquoi. Elle ne m’a rien dit d’autre de toi. C’est moi qui perce ton secret et tu passes ton temps à croire que c’est ta sœur qui m’a informée. Maintenant, dis la vérité. Il m’a raconté ceci : « maman, lorsque j’étais aux cours moyen un, en passant un jour, j’ai vu deux hommes qui s’embrassaient et j’ai été curieux pour les voir. Arrivé à la maison, deux jours après, j’ai aussi commencé à faire les mêmes choses.
Je lui demande : « Est-tu marié ? » il répond : « j’ai les enfants. Je suis marié à mes amis. » Maintenant, ne vois-tu pas que cette vie là te détruit la vie ? A présent tu as plus d’une vingtaine d’année. N’est-ce pas que cela est entrain de te détruire ? » Il s’est mis à pleurer et déclarer : « maintenant j’ai des maladies dont je ne sais comment faire pour soigner. Mes intestins ne font que sortir. »
Revenons à ceci :
Vous, qui avez fréquenté. Gao !
- Ooh !
- Vous qui avez fréquenté savez que les tuyaux qui conduisent à l’anus et au tube urinaire sont collés vrai ou faux ?
- Vrai, maman !
- Et c’est très fragile. En le frottant de part et d’autre comme vous le faites à quoi vous attendez-vous à votre vie ? vous voulez que votre vie devienne quoi ?
- Gao !
- Ooh
- Répondez ! C’est pour que votre vie devienne quoi ? revenons à ceci.
- Vous devez observer que l’Afrique en général est entrain d’être pillée à cause des franc-maçonneries, de la pédophilie, de la rose-croix et des sectes divers. C’est avec cela qu’on dompte vos frères.
Et quelque soit son degré d’intelligence, on sait qu’en le « renversant il cédera. Car on touche sa poitrine pour procéder le cœur, on retire sa sagesse du cerveau en touchant à sa mémoire. On procède son cœur pour l’obliger à aimer ce qu’on lui demande de faire, on procède ainsi son cœur et son esprit et l’amène à céder le pays aux mains des gourous et livre ainsi la vie des autres, de ses compatriotes. C’est ainsi qu’on les présentes comme dès modèles à suivre. On fait d’eux les exemples à suivre. J’interpelle vivement les jeunes.
Attention, Attention, Attention à tout ce que je vous dis. Personne, nulle part ailleurs ne vous dira tout cela. C’est une vérité que je vous crache. Les Hommes dans le monde perdent leurs vies ainsi et meurent petit à petit.
L’année dernière, dans l’église on a soulevé un problème très grave. La pédophilie, la franc-maçonnerie et autres sectes qui minent l’église. Vous avez remarqué que les hommes d’église n’ont rien prêché de cela. Ils n’ont rien dit à ce sujet si c’était mauvais ou pas. De peur de trahir leurs maîtres. Ils n’ont rien dit jusqu’ici.
J’ai été la seule qui a dénoncé à haute voix et par jour, je recevais en moyenne cinquante coup de fil d’appels téléphoniques de vos amis de part le monde. « Maman, puisqu’il en est ainsi qu’allons-nous faire ? Nous ne pouvons plus. On ne sait plus quoi faire. Qu’allons-nous faire donc maman ? »
Je reviens à cela pour dire aux jeunes que qu’en est-ce que ce soit le milieu où vous êtes concentrez-vous sur ce que vous avez à faire. Par exemple si vous êtes à l’église, contenez-vous uniquement sur ce qui vous conduit à l’église. Tu ne vas pas à l’église rencontrer personne autre que Dieu Lui-même. Personne autre même pas le prêtre ou le pasteur. Tu vas à la rencontre de Dieu Lui-même. Il est bien sûr vrai qu’Il utilisera toujours quelqu’un pour le dire. Mais devant son hostie, devant le tabernacle, devant l’Autel il vient seulement faire son travail. Il veut en toi là et après la messe il repart. Il est de son côté et toi de l’autre côté. Comme il nous a créé libre. Il laisse chacun décider de faire du bien ou plutôt le mal.
Revenons à ceci.
L’éducation c’est la première des choses. L’éducation est la voix ultime qui peut amener l’enfant à devenir pauvre ou riche. Comme Dieu constate que vos parents n’ont pas été éduqués comme cela se doit, alors il crée le Bureau Lumière pour l’éducation Spirituelle. Ceci est dû au fait que ce que l’Homme fait dans ce monde n’est pas ce qu’Il veut.
A travers cette éducation spirituelle, il vous éduque dans le sens réel, dans son sens voulu. Dans l’éducation spirituelle Dieu nous demande de nous soumettre à ses commandements. Et Jésus Christ va revenir résumer ces 10 commandements en ceci « Aime Dieu, de toutes les forces, de tout ton esprit et de toute ton intelligence et aime ton prochain comme toi-même. »
Et en aimant son prochain comme soi-même, on rencontre le Christ en chemin.
Aimer son prochain comme soi-même ne veut pas dire : « donne ma part, je te donne ma part » cela ne veut pas dire « je te donne et j’attends en retour quelque chose de toi ! ».
Ça veut dire : « je fais mon devoir avec le peu que le Seigneur me donne. Si je te donne et que tu ne me donne rien en retour, c’est ton problème ; j’ai fait mon devoir ça veut aussi dire : « si je t’amène à la compréhension et tu ne m’écoute pas, cependant, j’ai fait mon devoir. »
A vous la jeunesse. Suivez attentivement.
L’Amour Spirituel est loin de la sexualité. Ne pas confondre l’Amour avec la sexualité. C’est deux choses bien différentes. On peut même faire cet acte sans aimer la personne avec qui on le fait. Mais quand tu aimes au sens divin, tu ne feras pas du mal à autrui. Tu ne peux pas faire mal à celui que tu aimes réellement au sens divin.
- Est-ce une vérité ou pas ?
- C’est une vérité
- Ne pas confondre l’amour avec la sexualité. C’est deux choses différentes.
Puisque l’Homme à tout moment est hypocrite, avec la jeunesse actuelle, le sens de l’Amour n’est que matériel et non pas un amour de confiance. Le Seigneur Dieu dit : « Aime ! Aime ton prochain ».
Que veut-Il signifier par « aimer ton prochain » ?
- L’Amour fraternel (une auditrice)
- Aime ton prochain c’est au sens fraternel. C’est très bien Applaudissez pour elle ! et la foula acclama).
Le Seigneur ajoute : « Comme toi, même » Ceci c'est à quel sens ? Hein ?
« Comme toi-même », C’est au sens de la confiance.
Aimer : c’est l’amour ;
Comme toi-même : c’est la confiance
Revenons à ce concept Amour et confiance.
On se rend compte qu’aimer est différent d’avoir confiance. L’amour est différent de la confiance
Aimer :
Les Hommes de la terre aiment mais ne font pas confiance. Voulez-vous un exemple illustratif ?
- Oui, maman.
- Si maintenant on demande, « Qui aime Dieu ? » Tout le monde lève la main.
- Maintenant : « Qui peut mourir pour Dieu ? » (une seule personne a levé la main dans la foule et Maman Lumière d’affirmer : « A té nwe â ! » (Ce n’est pas vrai).
Si on lève le couteau, tu vas fuir, répond elle ainsi à la personne.
- Gao !
- Ooh.
- Vous passez du temps à aimer Dieu, mais ce manque de confiance qui pousse beaucoup de gens au désordre.
On aime, on prie parce qu’on aime Dieu. Mais, avoir confiance en Lui c’est un autre fardeau qu’il faut portez. Savez-vous pourquoi je dis cela ?
- Non maman.
- C’est parce que très souvent lorsqu’on est dépassé par des événements, on se sent faible et l’on pense que Dieu n’est pas avec soi.
- Gao !
- Ooh !
- Où sont ceux qui ont échoué à l’examen ? Levez la main !
- Ne vous-est-il pas arrivé un moment de douter de la présence de Dieu avec vous ? Vous vous êtes dit à un moment que si Dieu était avec vous, vous devriez réussir à vos examens. Hein ?
- Oui, maman ! (Rire de maman)
- Il vous est arrivé de dire ceci ; « Si Dieu était avec moi, j’allais arracher cet examen. » n’est ce pas ?
- Oui, maman !
- C’est vrai ou pas ?
- C’est vrai maman.
Allons à cette phase qui est plus dangereuse. Gao !
- Ooh !
- Entre toi et Dieu, qui commande qui ? (rire de maman).
- Savez-vous ?
- Non, maman !
- Vous avez des yeux que vous faites sans comprendre la signification.
Quels sont ces yeux ?
Par exemple : il existe ce jeu où pendant que l’on marche, on lui déclare : « Statut ! Pas de ! ». Et la personne à qui on a déclaré reste fixe et ne bouge pas ; ni respirer, ni regarder, ni rire. « Tu ne bouges pas ton doigt » ce sont autant d’ordre qu’on donne celui à qui on a taxé de « statut » à exécuter. A ce moment, vous qui déclarer cela à quelqu’un, prenez contrôle sur ses faits et gestes. Ce qui signifie que « maintenant que tu es totalement soumise à moi, ne bouge plus ».
Par contre, si tu bouges, cela signifie que tu refuses sa soumission. C’est un jeu que vous faites sans mesurer son ampleur. « Statut, pas de ». Tout ceci m’amène à vous dire que si le Seigneur déclare « Statut, pas de ! » qui veut-dire, j’arrête tout.
- Gao !
- Ooh.
- Je me suis mise à rire lorsque même le plus paresseux qui driblait les cours s’est mis à pleurer après avoir échoué à l’examen.
« Maman, je croyais passer » je lui ai dit : « Assoies-toi ! ». Elle s’est mise assis et je lui ai dit ceci : « ma fille, échec, si tu passais, d’après moi, j’allais dire que Dieu est injuste ! Si tu passais j’allais être mécontente parce que tu n’as pas mérité cela.
Revenons à ceci. C’est très très pertinent. Faites attention de manger ce que vous ne méritez pas. C’est une autre phase qui est très dangereuse dans la vie de chacun.
Il ne faut jamais manger ce que vous ne méritez pas ! Dans notre entretien je lui ai demandé : « Ma fille, n’est-ce pas, de Septembre en Juin, tu n’avais que six au trop huit de moyenne, comment allais-tu faire pour obtenir cet examen ? »
Quand un cultivateur défriche, cultive et sème, il revient vérifier comment pousse sa semence pour avoir une idée de la récolte attendue. N’est-ce pas ?
- Oui, maman
- « Tu sais ce que tu as semé »,
Tu récoltes ainsi ce que tu as semé ma fille celui qui t’a fait échoué a bien fait parce qu’il faut que tu prennes conscience, t’assoie à nouveau pour étudier, afin de mériter ce diplôme.
Revenons à ceci, très dangereux à votre vie.
Lorsque vous ne faites rien et que vous voulez réussir, il n’y a pas de différence entre vous et un voleur. « Non, j’ai mal fait je dois reprendre ». Voici ce que chacun qui écoute devrait prendre comme conscience. Alors, je voudrais que chacun qui échoue prenne conscience de sa faiblesse et se remet au travail afin de passer la prochaine fois.
Que celui-là révise ca vient qu’il fasse une introspection dans ce sens : « Peut être qu’au cours de l’année, j’ai été friande, j’ai passé mon temps à bondir de Paul à jacques de Jacques à tel.
Peut être parce que j’ai troublé jeannette ou autre. Peut être c’est parce que j’ai été insolent vis-à-vis des autres. Peut être que comme j’ai été fort, je me suis enorgueilli devant les autres. Hein ?
- Ooh
« Peut-être que durant ce temps, j’ai eu à réfléchir plus sur les matériels de ce monde. » peut être que durant l’année, j’ai toujours eu à fixer mes yeux sur les belles filles ; mes regards sont restés fixés sur les beaux hommes. Peut être que j’ai passé du temps à faire la caricature sur le genre d’homme ou de femme que j’aurai et j’ai oublié mon école peut être que durant l’année je me suis plus intéressé à l’argent plus qu’à ce que j’avais à faire.
Dès maintenant à chaque élève, qui a réussit ou pas, voici comment vous devez mesurer le niveau de votre vie pour savoir comment vous engagez prochainement. Septembre n’est pas loin. Je vous assure !
Samedi passé, 30 Juin 2011, lorsque les enfants de Douala, les 16 ans d’âge, s’étaient présentés pour lire leur engagement, cela m’était allé droit au cœur. J’avais récupéré leur message, et demandé à défaut de mieux conserver cela. Et chaque fois je les rassemblerai pour archiver et en produire un livre plus tard.
Tous ces discours, je les garde et je vais retrouver tous ces discours et les prochains pour les rassembler et produire un ouvrage. Qu’est ce que l’enfant déclare dans leur lettre d’engagement ? « Maman, je suis ainsi le fruit même du Bureau Lumière de Douala MAKEPE, nous venons ainsi, te supplier de demander à Dieu de nous fortifier d’avance, afin que nous ne vouvoyons pas le chemin ; que nous suivons là où nous sommes sortis » Vraiment c’était profond ce qu’ils avaient déclaré. Celui qui le premier à dire cela n’a que 16 ans d’âge et sera étudiante en 1ère année de l’université en cette année. Elle ira en 1ère année université cette année et cela me réjouit.
Tout ceci m’amène à dire que ; « Moi, j’ai vaincu celle qui m’avait déclaré ouvertement que : « tape ma main et je verrai si tu feras trois ans là où tu t’en vas. ». Ma réponse était la suivante : « Si tu fais 14 ans comme nous avons déjà fait ensemble je ne travaillerai plus jamais. Et seulement 7 ans après, tout était terminé. »
Ceux qui m’on vu danser de tout cœur samedi, ont peut être cru que c’est parce que la danse me plaisait, je leur dis : c’était la joie qui jaillissait du profond de mon cœur. En me voyant à 16 ans de souffrance dans ce camp du Bureau Lumière de Douala-Makèpé ; lorsque j’entends des mots pareils sortir de ces enfants, les fruits de ce camp, cela me donne encore plus de forces.
Revenons à ceci : Gao !
- Ooh !
C’est vos les jeunes du Bureau Lumière à enseigner aux autres qui est Dieu, et ce qu’Il veut. Moi, je prends mon exemple, lorsque nous étions jeunes, j’ai souffert, de la SIL au CM2, où j’ai laissé les études, j’ai souffert parce que mon comportement.
Par rapport à ce que je faisais, on me donnait des sobriquets tels que : YAHWE, DJUIDJIE, DIEU-DIEU, on m’avait donné tellement de noms malgré tout cela ne m’avait pas faibli. Tout le bruit qu’on faisait quand on me voyait ne m’avait jamais affaibli dans ma foi.
Même aujourd’hui que je suis mère, j’ai encore trois sobriquets et cela ne m’a aucunement faibli.
A chaque fois qu’on m’intriguait avec ces sobriquets, j’avais dans ma tête une seule chose. Parenthèse, un soir, après ma prière, j’ai suivi une voix qui me disait : « lorsqu’on va te perturber dans ta prière, est-ce que cela t’embêtera ? » j’ai répondu par l’affirmatif. Il me réplique : « Non, ne te gène pas. Reçoit cela comme un fortifiant ». Si en disant des bonnes choses et les gens se décident à te rejeter alors sache que ce jour là, tu as suivi Jésus Christ sur le mont Golgotha parce que Jésus est parti dans la souffrance. Et que si ces gens te titillent un peu c’est que tu as un pas gagnant. Cela signifie que tu as un peu gouté à la souffrance de Jésus Christ » Tous ces propos m’avaient rendu forte.
Au cours moyen, quand je prends ma première communion, quelques mois après, en février, au moment de la composition je me suis mise à chanter le chant qu’on avait porté au moment qu’on me baptisait : « yahwé, yahwé, yahwé bz bwânye, yayakam ! »Bon ys’ be bwânyz léé. Yahwée yahwée, yahwé bz bwânyz yoayakam ! »
Pendant que je rédigeais mon examen je pensais mimer cette chanson alors que je chantais à haute voix. C’est alors que tout l’établissement m’entendait chanter. Lorsque mon maître avait terminé de ramasser les feuilles de composition, il m’a sonné de venir devant les élèves de la classe : « viens ici Djuidjie ! » il me dit : « comme tu aimes trop chanter, tu vas chanter de la SIL au CM2 ». Il avait cru que cela devrait me froisser, j’ai sauté de joie et déclarer : « oui, c’est ça que je veux ». Il m’a conduit à la SIL et me demandé de chanter. Avec joie, je me suis mise à chanter.
Il me conduit au CP (cours préparatoire), jusqu’au CM2 (cours moyen, 2e année) j’ai bien chanté sans frousse. Alors il me regarda et dit : « tu peux former la chorale de l’école », j’ai répondu avec excitation, « oui, monsieur, je le veux. » Et il ajouta. « A la sortie reviens me voir, compris ? « oui, monsieur » ai-je répondu. A la sortie, il m’appelle et me demande : « Marie, est-ce que tu pries trop Marie,
- Oui, monsieur lui ai-je répondu
- « Et quand tu pries, qu’est-ce que tu reçois ? »
- « je reçois de bonnes choses »
- C’est bonnes choses c’est quoi ?
- Je ne vous dirai pas monsieur
- Même ma part ?
- Non, je ne vous dirai pas.
Il a été étonné et a décidé inviter mon Directeur. Les deux m’ont passé à un intense interrogatoire. Ils m’ont posé tellement de questions !
C’est ainsi que j’ai passé mon enfance scolaire. Après ceci, j’entre dans une autre phase. Ma vie dans la légion de Marie. Dans cette communauté chrétienne catholique romaine, on vous ordonnait de toquer les portes. Moi j’avais pris l’habitude de toquer les portes pour savoir si dans ces famille vivaient les grands malades afin que nous nous occupions d’eux. Un jour, je toque à une porte et déclare : « bonjour, maman comment çava ? Je suis de la Légion de Marie, pouvez vous m’accorder un instant de dialogue ? » Savez-vous ce qu’on me répondait ?
- Non, maman
- « Témoin de Jehovah, part ! »
(ndlr : rire de la foule)
Et si j’insiste en disant « Non je ne suis pas témoin de Jéhovah, je ne connais pas cela ! » notez qu’à cet époque on ne devait pas entendre parler de témoin de Jéhovah. Si on t’attrapait on t’enfermait. C’était fort. On me donnait tous ces noms.
Mais j’entends encore cette voix qui me dit : « aujourd’hui, tu as risqué on t’a même injurié à cause de Dieu, part ! » je sors et m’en vais, je reprends mes forces et je vais toquer à une autre porte « on m’a dit qu’il y a une malade ici qui souffre de... » On ne dit : « entre ! »
« Quand ton lit n’est pas bien. Il faut que j’arrange un peu. Il faut que je te nettoie. Maintenant, dialoguons un peu : est-ce que tu sais que le seigneur peut toujours t’aider ? Comme tu es dans ton état là vraiment, Dieu peut t’aider jusqu’à tu vives dans la gaieté et dans la joie. Il a voulu que tu sois comme cela en ce moment. N’est-ce pas ?
Si elle sourit un peu je dis aujourd’hui je suis sauvée et dans la joie. Si tu vis dans la pitié à chaque moment.
C’est autant de choses. Alors, toi en tant que jeune, ce que tu peux amener à d’autres jeunes que toi, n’est pas leurs styles. Cela ne doit pas être obligatoirement ce qu’ils font.
- Gao !
- Ooh,
A Douala, j’ai reçu un groupe d’enfant de 17 à 22 ans au plus. Ils s’étaient regroupés pour faire leurs propres recherches sur internet. Ce qu’ils ont trouvé de mauvais dans leurs recherches était la « fémania » (l’escroquerie). Il avait commis des gaffes au point qu’ils ont été recherchés et appréhendés. Lorsqu’on les observe, on voit que leurs actes étaient au-delà de leur âge. On les a attrapés et mis en prison. Seulement en prison, ils étaient au contraire enseignés davantage. On échangeait les idées avec eux.
- Gao !
- Ooh !
- Revenons à ceci. Ce n’est pas parce que tu as échoué que Dieu n’est pas avec toi. Si tu mets dans ta tête que si tu demandes quelque chose à Dieu et il ne donne pas, cela signifie qu’en priant le « Notre Père tu ne comprends pas sa signification lorsque tu pries. Ensemble, récitons le Notre Père ».
« Notre Père qui est au Ciel, que ton nom soit sanctifié
Que ton règne vienne,
Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour, pardonne-nous, nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé, ne nous soumet pas à ma tentation, mais délivre du mal. Car c’est à toi qu’appartient le Règne, la puissance et la gloire pour des siècles et des siècles : Amen ».
Revenons maintenant à nos moutons : « Que ta volonté soit faits sur la terre comme au ciel »
Ça veut dire que sa volonté doit se manifester en toi. Ce que tu dois vérifier dans ta vie, c’est de vérifier si la faute ne te revient pas pour tout ce qui t’arrive.
- N’est ce pas ?
- Oui maman.
Alors, il faut savoir vivre avec ce qui t’appartient. Manger ce que vous méritez. Tout le monde pleure maintenant à cause du pouvoir et la corruption. Alors que la corruption est déjà entrée dans votre sang si bien que vous la pratiquez depuis la maison maternelle.
Vous êtes même corrompus dès le ventre. N’accepte pas que tu travailles quelle que chose à ton papa il se sent obligé de te payer pour cela. Parce que, ce que tu lui fais c’est ton devoir.
On voit des parents dire à leurs enfants : « Donne-moi les chaussures, je te donnerai 100 FCFA ». « Lave mes habits, je te donnerai 25 FCFA » tout ceci, c’est apprendre à l’enfant de devenir un corrompu. C’est dangereux. Chaque personne dès le bas âge doit connaître son devoir. « Oui, mon devoir c’est de faire telle chose » « mon devoir c’est de faire ceci ». Mais si vous passez du temps à vouloir que vous servez et on vous donne plus même là où il n’en faut, alors, c’est dangereux. Le saviez-vous ? Hein ?
- Non, maman.
Moi, quand j’irai au village en Août, j’aurai un temps pour ma mère. Je vais oublier ce que je suis. J’irai dans son champ, même s’il s’agit de récolter ses arachides, je m’assoies et récolte. J’arrache et égraine et verse dans le panier puis porte à ma tête pour aller verser à la maison familiale. Parfois quand je me mets à le faire, elle me chasse en disant : « pars maintenant ! Ne fais pas qu’on vienne me menacer ici que je t’ai fait travailler. » J’ai l’habitude de lui dire : « Non, je ne pars pas, je fais mon devoir d’enfant vis-à-vis de sa mère » ; c’est à toi de faire ton devoir de mère.
Parfois quand j’ai terminé avec la récolte, elle me demande de ne pas partir sans prendre ma part d’arachide et moi de lui répliquer : « Ne me corrompe pas, j’ai ma part d’arachide que j’ai récolté de mon champ. Je n’ai pas besoin de ta part. Laisse, quand j’en aurai besoin, je reviendrai te demander ».
Ceci n’enlève absolument rien sur ce que je suis.
Laissez-moi vous dire cette vérité : vous verrez que les enfants qui pensent qu’on les a trop traumatisés dans les maisons qui réussissent le plus dans la vie. Puisqu’on dit que : « l’école de la sagesse, c’est la souffrance ». Vous vous demanderez comment on passera pour le faire ? Inutile de dire : « On me traumatise trop » certes, soit fort moralement, même si on t’oppresse, reste fort et travail, ça ne te fera rien de mal au contraire, cela te fortifiera et fera de toi une personne vivante. Par contre, si tu te mets à gémir et pleurer tu tomberas malade et tes pensées seront orientées uniquement au mal et cela te dérangera plus. Si tu prends l’habitude de rester sur place, même ton corps se révoltera contre toi-même plus tard et te rendra malade. J’espère que vous avez compris.
Nous sommes maintenant à ceci. Il y a une différence entre tentation et procession. Ainsi, tout le monde peut être tenté. Tout le monde sans exception peut être tenté. Mais, ce n’est pas parce qu’on est tenté qu’on va ouvrir sa porte à la procession. Vous comprenez ?
- Oui, maman
- D’accord
Dans la tentation on ne doit pas ouvrir sa porte au démon pour être procédé. La tentation arrive à chaque personne à la suite de ses pensées. Nous devons comprendre qu’aller jusqu’aux pratiques magiques provient de nos pensées.
Il faut faire d’abord cette domination de pensée pour t’attraper.
- N’est-ce pas ?
- Ou, maman !
- Puisque vous avez l’habitude de dire que : « seuls ceux qui écoutent sont captivés. »
Or l’écoute est délicate. Si tu écoutes ce que tu juge mauvais alors, détourne-toi sans attendre que cela entre dans ton cœur. Parce que dans les péchés, on commence par les pensées. Les mauvaises pensées amènent l’Homme à entrer en tentation. Et dans la tentation, l’Homme peut être « (hanté) » procédé ; puisque ce n’est que dans le cerveau de l’Homme que le démon l’utilise pour faire ce qu’il veut. Par exemple si vous prenez habitude à réfléchir sur les mauvaises choses évitez, éloignez très rapidement cela de vos pensées en rendant ton âme et ton cœur tout joyeux.
C’est pour cela que vous verrez très souvent les enfants jouer en claquant leurs mains. Dans l’animation des pommes de mains active les hommes du cœur et donne la joie au corps.
Revenons aux mauvaises pensées c’est le pont part où le malin passe pour entrer dans la vie de l’Homme. Les mauvaises pensées amènent l’Homme à changer, à devenir inconscient. Revenons à ceci. De nos jours dans le monde, la majorité de gens meurent de stress plus que de maladie. Le stress tue plus que tout.
Le stress conduit certaines personnes à la pendaison. Le stress détruit certains à petit feu jusqu’à la mort. Le stress pousse certains à la folie. Le stress apporte à plusieurs personnes des maladies cardio-vasculaires.
Le stress amène certaines personnes à se retirer de leurs familles. Alors, il faut s’animer à chaque moment. Le premier traitement contre le stress consiste à ne pas se retirer des autres, ne pas s’isoler. Il faut toujours aller vers les autres pour mieux les comprendre. Je vous ai toujours dit que, dans ce monde dans lequel nous vivons nous devons nous supporter les uns les autres, s’imposer quand il faut et surtout pardonner aux autres.
En amenant les autres à la compréhension, s’ils peuvent vous écoutez. Et s’ils ne vous écoutent pas, faites votre devoir.
- Gao !
- Ooh !
- Le stress arrive dans le cerveau de l’Homme et se comporte comme un phénomène de court-circuit. Cela dérègle la mémoire, le contrôle et te fait faire des choses, parfois involontairement. Mais, qu’est ce qu’il faut savoir !
Il y a ce chant : « Mon chemin pour aller à Dieu, c’est toi » si tu te sens seul, cherche un motif pour aimer. Car ton chemin pour aller à Dieu c’est lui.
N’est-ce pas, vrai ?
- C’est vrai maman.
- Cherche un motif d’Amour.
Plus la tête n’est bourrée de situation, on réfléchit sans cesse. Etant donné qu’il existe des problèmes dont on ne trouvera pas de solution au niveau de l’Homme, en réfléchissant dessus, cela ne vous apportera que les maladies telles que : les nerfs, le stress, la tension artérielle, l’estomac, la palpitation et surtout l’AVC, l’Accident Cardio-vasculaire, n’est pas du mystique.
L’AVC n’est pas mystique. Beaucoup de personnes décédées des suites de l’AVC sont considérées par le commun des africains comme une mort mystique. Beaucoup déclarent que : « on l’a tué ; », « on l’a pris dans la sorcellerie » etc.
Une personne peut mourir des suites de l’AVC et après quoi, on verra le sang couler à ses narines. Ce sang vient du fait qu’il soit entré brutalement en jet dans le cerveau et font exploser, les vaisseaux sanguins, avant de ressortir après que l’Homme soit mort. Alors lors d’un AVC, le sang vient avec force et inonde le cerveau puis éclate les vaisseaux sanguins de la personne et il tombe.
Quand un homme est menacé d’AVC, la personne n’est pas consciente, il ne connaît pas. Tu peux le voir faiblir, à l’instant sans ressentir l’AVC en lui. C’est ainsi qu’il s’immobilise et peut tomber s’il est seul. Là c’est dangereux. S’il tombe, il peut lâcher pour toujours.
Que faire pour ne pas arriver à l’AVC ? Nous remarquons qu’à nos jours même des jeunes tombent dans l’AVC. Pourquoi ? Il y a la pauvreté qui amène les gens à trop réfléchir. Il marche et réfléchit sans cesse et grignotent beaucoup. Quand on réfléchit trop on grignote trop. Je dis la vérité. Au fur et à mesure qu’il grignote, il ne fait aucun effort pour pratiquer des exercices sportifs. Exemple : Nos parents n’avaient pas souffert de ces maladies (AVC) parce qu’ils pouvaient quitter la maison le matin très tôt d’ailleurs pour se rendre au champ en marchant entre 8 et 10 km. Parfois aller ainsi au marché, ou bien aller à la chefferie et retourner toujours à pied. De retour à la maison, il pouvait manger, dialoguer avec les enfants et s’endormir.
Ce qu’ils mangeaient en ce temps là pouvait ressortir à travers la sueur et les urines sans toutefois avoir le temps de s’accumuler dans l’organisme. De nos jours, cela ne se pratique plus. On mange tout ce que l’on voit, puis accompagne de la bière surtout bien glacée. En plus, on ne marche plus. On peut aller de Mbankolo pour ici au camp (moins de 2 km) la distance. « Ben skin laisse-moi là devant », « Taxi, dépôt ! » j’ai 100 FCFA.
On oublie que la marche à pied chez l’Homme est un remède. On oublie qu’aujourd’hui ça ne sert à rien de se lever le matin et courir au moins une fois par semaine puisqu’au cours de la semaine, vous marchez seulement et n’attendez qu’un autre jour de la semaine pour courir-espérant se dégraisser.
Pensez-vous qu’en un seul jour, vous parviendrez à retirer le surplus de calories que vous avez emmagasiné pendant une semaine ? Jamais de la vie. Alors, les enfants doivent apprendre à marcher dans la vie. Tu trouves le matin un enfant qui dose des beignets, du yaourt et le foléré (espèces de boisson aux fleurs d’oseille) pour se rendre en classe. Dans cet état là qu’est ce qu’il comprendra à l’école ? Dès que celui-là arrivera en classe, il ne cherchera que où se coucher et dormir. Il ne comprendra qu’au foléré et à ses beignets haricots, « le gazz, les myondo » (espèce de met africain) tout ce mélange fera la fête dans son ventre c’est ainsi que tu vas te fatiguer et te coucher pour dormir.
Puisque, le sol sur lequel on dance n’est jamais content quand on le piétine. Il faut savoir comment se nourrir pour mieux s’occuper de sa santé. L’enfant ne peut ne pas déjeuner le matin. Mais que cela ne soit pas des repas lourds.
Beaucoup prennent ainsi et s’en vont dormir en classe. Ils suivent ainsi certains enfants délinquants et des grillés. L’année dernière, j’ai eu un enfant qui a reçu un voyou dans sa classe venir l’indexer « Toi là qui sort toujours premier, écris au tableau ceci : « prochainement je serai aussi premier » et je te donnerai 500 FCFA.
L’enfant a pris la craie et le faire il écrit : « Toi tel, tu seras aussi premier prochainement ». Il perçoit les cinq cent promis. Mais il se rend compte qu’au mois prochain, il commence à baisser en classe. On fait tout, il ne comprend plus absolument rien. Il baisse au point qu’il se retrouve avec 6 de moyenne sur 20. Il regarde et vient à moi. Dès que je lui demande où est-ce qu’il a mis cet argent, l’enfant déclare « j’ai mangé ».
Vous qui êtes trop friant d’argent danger ! Attention ! Il y a d’autres personnes que l’on flatte en leur demandant « pardon le chemin ci conduit où ? Vous répondez « ceux-là vous disent « tu es trop gentil. Prends ces 100 (cent) francs CFA. » Refusez ! Répondez-leur : « Reste avec ton argent je n’en veux pas. » C’est ainsi qu’on récupère les enfants là dehors tous les jours avec des bonbons.
Il a fallut faire beaucoup de recours pour que cet enfant se rétablisse. Il a eau sa chance de se rattraper jusqu’à réussir à son examen. Il existe certains gars qui savent que leurs vies ne valent plus la peine qui viennent à l’école pour captiver les jeunes et les détourner. Ceci se passe tous les jours dans vos établissements scolaires. Contentez-vous du peu que vous disposez.
Revenons aux pensées qui poussent l’Homme à la procession. Lorsque l’Homme accepte dans sa tête, les mauvaises pensées et les mauvaises images, c’est ainsi que cela lui tourmente la vie et installe dans sa tête les pensées démoniaques qui le poussent à la procession à la longue.
Pour être procédé, tout commence par les tentations. Certains naissent avec les esprits. Ceci signifie que les parents ont ouvert la porte à ceux-là. Dans tout ceci, il y a plusieurs façons de mettre fin à tout cela dans notre vie. Il s ‘agit de : prières, soumission à Dieu, décision etc. en ce moment, dès que tu seras tenté, Dieu te donnera l’intelligence et la sagesse pour qu’ils s’éloignent de toi comme Jésus.
Comme Jésus Christ dont le démon s’amène à lui et lui di : je sais que depuis les jours, tu n’as pas mangé, si tu es fort, transforme ces cailloux en pain et mange ». Et Jésus réplique : « l’Homme ne vivra pas seulement du pain, mais de la bonne parole ». Comme Jésus Lui-même.
En demandant que le ciel vous donne l’intelligence et la sagesse, cela vous fera vous éloigner de beaucoup d’idées perverses de votre tête et votre petite « calebasse gardera ce que Dieu » y a mis et ne sortira que ce qu’Il faut. N’est ce pas ?
- Oui maman !
Nous sommes maintenant à ceci.
La notion de repas. J’ai compris que tout ce que l’on fait sans repos n’est pas bien. Ceci dit, depuis la fête de Pâques, nous avons cheminé pour le problème de forage et je me suis retrouvé très fatiguée par la suite. J’ai dû faire beaucoup d’examens qui ne m’ont pas fait avancer. La résolution étant : « maman, s’il te plait repose-toi » et je l’ai fait.
Parlant de ces congés, je n’ai pris que 3 semaines au plus 1 mois de congés. Je suis parti en Juin et me voici de retour en Juillet. J’ai compris que le repos est nécessaire dans la vie de l’Homme. Suivez-moi attentivement les enfants. L’organisation dans votre vie est très importante. Un enfant doit apprendre à s’organiser pour ses études. Le savez-vous ?
- Non maman !
- Quand tu prends l’initiative de t’organiser, même les travaux de la maison ne vous dépassent pas. Mais, si tu rates les horaires répartis pour une tâche, cela va t’empêcher de faire ce qui était prévu pour cela et ce sera une surcharge.
Pourquoi donc s’organiser ?
Je vais un peu vous expliquer. En ce qui me concerne, j’ai des moments pour écouter les malades, mais dans cette semaine d’écoute, à partir de Lundi, jusqu’à Samedi, dès que j’arrive au camp, je travaille sans écoute. Le Mardi, je fais de même le Mercredi de la même semaine sachant que vous devez me joindre pour l’écoute, dès 6h30 je suis débout prête à écouter. Et je laisse à chacun 15 minutes. Et au fur et à mesure que je vous ai classé je vous écoute. Si je donne rendez vous à 6H à une personne et qu’elle rate son heure alors, elle doit attendre à côté que je termine avec ceux qui ont honoré leur rendez-vous avant de m’occuper de vous.
Et dès que je mets fin à l’écoute que personne ne m’en oblige encore. Car je n’y reviendrai plus. L’Homme doit apprendre à s’organiser. Suivez-moi bien. C’est cette organisation qui me fait être avec vous tous les jours que Dieu a créé. Si on vous explique, vous allez comprendre que la mère est très très organisée. Ça surprendra certaines personnes d’entendre que je fais parfois personnellement de petites bricoles.
Tous ces habits que vous voyez sur moi, vous serez surpris d’entendre que tout cela c’est moi qui sors le plan et les modèles et en confectionne. Je dis bien moi-même. Vous allez vous interrogez comment cela ? Je vous dis ceci, il faut vous organiser à tout moment, vous faites l’embouteillage.
Lorsqu’on vous programme à une certaine heure vous trainez vos fesses par terre pour venir en retard. Si au lieu de 7h vous arrivez à 7h30 min. c’est votre problème à vous. Si vous vous habituez à cela, vous en tirerez énormément profit.
Si moi, en tant que mère, je sais que : le soir, après toutes mes occupations, j’ai 2 heures d’études je prends une heure pour entretenir les autres. Je me couche vers vingt heures, je suis convaincu qu’à 4 heures, je serai debout et j’aurai la liberté d’apprendre sans désordre, sans ennui. Je sais qu’à 5h30, je prendrai mon bain et faire ma tâche matinale avant de me rendre à l’école.
L’organisation dans la vie de l’Homme est la meilleure des choses. J’ai compris qu’on perd trop le temps dans la vie. Faites vous un emploi du temps une semaine en avance. Tel jour, il sera à tel endroit et je ferrais telle chose. A telle heure je serai à tel endroit pour telle chose.
Quand vous aurez élaboré cet emploi de temps, il ne manque plus qu’à vous déchaîner pour l’exécuter puisqu’au départ il ne serait pas facile pour vous de respectez cela. Moi, si j’ai réussi à respecter mon emploi du temps, c’est grâce à ma feu maman FRANCISCA MAMGUEM qui n’est plus avec nous, parce qu’elle a fait de ma vie, une vie de militaire.
Dès qu’il est 4 heures du matin, elle me réveille, à 4h30 j’engage la prière, 5h00 je partais ramasser la nourriture pour nourrir les canards qu’elle élevait, et au retour à 5h30, je dois faire la lessive. Et si je le faisais lentement, c’est là où elle n’était jamais d’accord avec moi. Il faut être expéditif.
Alors, l’organisation entre dans nos milieux scolaires et partout dans notre quotidien. Je suis à ceci : La tricherie ne part pas. Dernièrement, un éducateur me dit : maman, j’ai eu chaud l’année dernière, je suis arrivé à l’école un jour, une fille lève le doigt et dit : « monsieur, je ne vous aime pas ». Puis je regarde toute la classe et fixe les élèves et leur demande : « parmi vous tous qui est du même avis qu’elle ? ». Il me répond que c’est toute la classe qui lève sa main et déclare « jamais, nous ne vous aimons pas. » il ajoute : « j’ai été dépassé, c’est alors que je vais trouver mon Directeur et lui dit : « venez monsieur. » il m’a suivi en classe, je lui ai demandé, « monsieur suivez ce que les enfants me déclarent « il s’agit de quoi » demanda-t-il ?
« Les élèves déclarent que quand ils veulent tricher je ne leur permets pas ». C’est alors que le Directeur écoute cela et s’en va. « Je ne suis pas dans vos problèmes. Faites cela seuls entre vous ». Le maître reste face aux élèves et leur demande : « vous déclarez que vous ne m’aimez pas ? Que vous-ai-je fais ? ».
La même fille se lève et dire « monsieur, vous êtes chiches. Vous n’aimez pas qu’on triche. Vous êtes trop radical. » « Je suis resté stupéfait. J’ai regardé le ciel et un de vos messages suivi au camp m’est venu dans la tête et j’ai pris le courage et dire : « d’accord, j’ai compris. » leur ai-je, répondu. Si vous vous voulez la prochaine fois, je vous laisserai tricher. Je compenserai l’épreuve et vous remettre et vous donner les 10/10 si vous voulez. Mais asseyez-vous ».
« Maintenant, si tu triches, et avances à l’école jusqu’à obtenir ton diplôme de doctorat. Si tu deviens docteur en médecine en service, si ta mère tombe malade et on l’amène devant toi qui n’est pas capable de sauver ta maman, que feras-tu ? Il m’explique le plus courageux se lève et déclare : « je vais l’amener chez un autre docteur ». Et l’enseignant de lui répondre : « si on a donné la priorité à tous de tricher et être aussi docteur, supposons que tous les médecins ont trichés et n’ont rien dans sa tête. Tu feras comment ? ». « Il déclare ma mère va mourir ». Et l’enseignant de lui dire : « alors tu as ainsi tué ta propre mère » parce quelque soit ce que vous avez à faire, « mangez ce dont vous méritez. »
Et je comprends aujourd’hui. L’enseignant continue avec d’autres exemples. Supposons que tu as triché pour devenir pilote puisque pour être pilote il faut un grand bagage d’intellectuel. Maintenant que tu es au contrôle d’un avion et ça nécessite de manipuler les boutons d’ordinateurs pour faire décoller l’avion. Et que quelque part en plein vol, tu n’arrives pas à manipuler un bouton pour résoudre une situation et l’avion s’écrase. Que va-t-il se passer, tu t’es tué ainsi que les autres. Est-ce que Dieu pardonnera ? » Il a répondu « non, monsieur ».
Cet enseignant me raconte avoir multiplié des exemples jusqu’aux fonctionnaires comment c’est dangereux de tricher ainsi que ces conséquences. J’ai pris des exemples relatifs à leurs parents. Ce qu’il a pris comme exemple est pertinent. Aujourd’hui, demandez même à vos parents ici au Cameroun, dans plusieurs sociétés, beaucoup de cadres ne connaissent rien et seuls les subalternes traitent leurs dossiers.
C’est le Cameroun d’aujourd’hui. Ils le font tellement que si ton adjoint ne connaît pas traiter ces dossiers, on ira en observant le curriculum vitae on verra que ce Directeur ne l’est que de non et est vide dans sa tête. Je vous assure même chez ces gros directeurs vides, il y a des moments qu’ils vont réfléchir et réaliser que la paresse n’est pas bien mais par orgueil, il continuera à dormir au service laissant toute la tâche à son adjoint. Très souvent, par orgueil, il a honte de demander à son adjoint de lui montrer comment travailler et c’est ainsi que notre nation pourrit chaque jour que Dieu a crée.
Il y’a des chauffeurs qui commettent des accidents à causes des permis trichés. Ils ne connaissent pas les feux et ne distinguent pas les feux rouges du feu vert. De même que les dépassements. Il sait seulement conduire et partir. Ainsi, parce qu’il n’a aucune notion de conduite dans sa tête, il va aller ainsi compromettre à la vie de plusieurs personnes à un tournant.
Même jusqu’en cuisine, si vous n’apprenez pas, vous ne pouvez pas cuisiner jusqu’à ce que c’est bon. C’est ce que vous devez comprendre. C’est pour cette raison que les africains souffrent beaucoup en matière de nutrition. Vous verrez des repas qui donnent tellement de cholestérol dans le corps que l’on présente à table. Pourtant il y a des repas qu’on peut préparer sans cube, ni sel, ni même de l’huile. On prépare des repas et dose soit du sel, soit du cube pour que cela soit bon.
On fait tout cela parce qu’on ne connaît pas. Lorsqu’on ne connaît rien, on doit apprendre. La tricherie est un danger. Mais, se battre pour mériter c’est la réussite de la vie. L’homme doit se battre pour mériter soi-même.
Moi, quand je plante mon bananier, je suis fier de voir son bourgeon floral sortir. Quand il murit, je le coupe, prépare et mange avec appétit. Il y avait une récitation à l’école primaire, intitulée « mon papayer ». Dans un gain de ma cour, il y a un papayer. C’est moi qui l’ai semé. La graine ronde et noire ; il était petit comme moi. Mais le voilà plus haut qu’un Homme. Ce papayer, que j’ai semé, ile st à moi et fait ma joie » Jean et Karl.
Les enfants ont pris cette récitation de tout cœur).
- Il est à moi et fait ma
- Ma joie !
- Ma joie parce que quoi ?
- Parce que c’est moi qui ai semé
- Quand tu trouves même d’autres papayers dans la cour des autres même si cela te plait, peux-tu le toucher ?
- Non, maman.
- Même si l’on t’en donne. Est-ce que tu auras autorité d’en toucher à tout moment ?
- Non maman.
- Voilà donc le plaisir de ce qui appartient à quelqu’un.
« Il est à moi et fait ma joie ».
Il en est de même comme tu peux le lendemain dire à tes enfants. Il est à moi et fait mon mérite. Je travaille comme ceci parce que j’ai mérité et non pas parce que j’ai triché.
- Bonne fête
- Merci maman
- Bonne fête et bonne fête encore
- Merci maman
- Prochainement !
- (Vif cris des élèves et étudiants(.
RDV le 23 Août pour la Bénédiction de la rentrée scolaire puisque la rentrée c’est le 05 Septembre.
- Le 30 à Duala, je serai avec les autres, n’est-ce pas ?
- Oui, maman.
- Voilà tout ce que je pouvais vous donner en ce jour.
Si vous retenez ceci, alors prochainement, j’ajouterai plus que ça.
- Vifs cris et applaudissement des élèves et étudiants venus très très massivement environs 12 000 enfants et parents étaient présents ce jour.
Nous terminons en mettant un peu de cube.
Bientôt, vous allez vous rendre au village pour les réunions familiales vous savez qu’en ce mois d’Août, les vieux véhicules, longtemps gardés sortent pour chercher l’argent.
1- D’abord je prierai l’Eternel Dieu de vous mettre dans ces ailes partout où vous irez. (Vifs cris) de joie de la foule) d’un.
2- De deux, quelque soit là où vous rendrez, prenez votre temps pour prier et boire votre bonheur, vous oindre avec l’autre en disant : » Seigneur accompagne-moi, et ouvre-moi le chemin ».
3- Au village, le plus souvent lors de vos réunions familiales, il y a certains rites qu’on vous oblige à faire.
Il y a des rites bidon pouvant compromettre à la vie de l’Homme des rites dangereux. Je m’efforce à vos éduquer chaque jour parce que beaucoup peuvent entrer dans la sorcellerie sans savoir. J’ai trouvé en Afrique de l’Ouest des enfants qui ont reçu une éducation digne d’exemple. Elles étaient éduquées dans la sagesse et du respect.
Quand vous vous amenez chez quelqu’un, si vous toquez à la porte, attendez que l’on vous réponde. Laisse que l’on te permette d’entrer pour que tu entres. Parce que tu peux ouvrir brusquement et trouver que ceux qui sont dedans ne sont pas des êtres humains, mais plutôt des fantômes et ils t’avalent.
Lorsque tu veux parler à quelqu’un et tu trouves qu’ils sont en causerie, frappe les deux mains en disant : « s’il vous plait papa. » S’il ne dit rien, part. S’il répond, dis-lui ce que tu as à lui dire.
Vraiment, j’ai observé que votre manière d’agir m’inquiète. Parce que vous toquez en entrant. N’en parlons plus même chez moi à Douala. Il y a des gens qui entrent dans ma chambre sans se gêner jusqu’à trouver quelqu’un sur le lit.
On frappe et entre aussitôt on te trouve même au lit et on reste là de façon naturelle pour te contempler. C e n’est pas du tout bon cette manière de se comporter. Je me souviens, je suis montée ici quand papa (PERE SOFFO) vivait, une servante avait posé son problème à PERE SOFFO qui lui avait déclaré ce jour là : « c’est une chance pour toi parce que le ciel est ouvert pour t’écouter ». Nous nous sommes assis pour l’écouter nous détailler la solution à ce problème.
A un moment donné, une femme entre et s’assoit
J’ai dis « madame, excusez-nous ». La bonne dame s’est bien rangée pour s’assoir en disant. « Vous parlez de quoi dont on ne peut pas comprendre. Je vais aussi m’asseoir » et elle s’est assise.
Dans son calme, PERE SOFFO a regardé et fiasqué en disant à celle-là ceci : « Est-ce que tu peux supporter le fardeau de ce que tu fais là ? » La femme a répliqué : « Quel fardeau Père, tu es là pour nous. »
Et s’est mise à rire.
A un certain moment, j’ai voulu me lever pour la mettre dehors, le Père m’a dit : « En cette circonstance où le ciel est là entrain de nous écouter tu sais que si tu touches quelqu’un maintenant ce n’est pas bien puisque le ciel va récupérer. Laisse-là.
On m’a regardé et elle est repartie quand tout a été fermé. Jusqu’à nos jours, la servante en question n’a pas eu la solution à son problème. Ce n’est pas bien parce que cette ignorance, vous ne cessez de la répéter sans cesse.
On vient de parler de la tentation. Plusieurs fois, lorsque certains nous trouvent entrain de causer, ils s’introduisent jusqu’à donner la réponse plus que la vraie réponse attendue. Tout ceci sans savoir qu’ils font mal aux autres. Vous faites ainsi et les autres perdent.
Parce qu’il y a des choses dont d’autres peuvent arriver devant moi ainsi et le ciel intervient. Et lorsque vous venez brutaliser ainsi vous venez ainsi brutaliser leurs vies à jamais. J’ai trouvé cette éducation au Bénin, et cela m’a plus.
Quand un enfant de même qu’un grand vient toquer à une porte tant qu’on ne lui permet pas d’entrer, il retourne pour revenir plus tard. Dans vos villages et départements beaucoup entrent dans la sorcellerie et les mauvaises choses de cette manière là. Très souvent, s’ils arrivent quelque part et trouvent deux ou trois personnes assises entrain de causer, ils portent leurs chaises et s’assoient à leurs côtés.
On te dira : ta manys, so’ papring be. O them be péé? (Mon cher soit le bienvenu ! tu viens de quel ville ?) ogs yaouné. (Tu réponds je viens de Yaoundé) Re gaz cws’ si ls’ (Assoies toi donc) Na’ shws jys bj’ ? O gaz’ êl ! A shws ji mf’’/pe shtts’ mansk’.
On te demande de bien t’installer. Et tu réponds « oui » voilà que tu viens d’entrer dans la sorcellerie. La charge sur laquelle tu t’assois est ainsi compliquée et ils faisaient leurs choses avec des esprits que tu ne connaissais pas. Tu viens t’introduire dedans. Il faut être sage… (Départ pour le Bl Yaoundé/prière).
Ceci m'a rappelée l’histoire d’un notable de chez moi avec sa boisson. Un jour, alors qu’il revenait de la chefferie, avec son ami, ils s’engueulaient. L’un déclare qu’il a plus d’enfants que l’autre et il voulait montrer qu’il est sage.
On lui propose de se reposer et boire quelque part avant de continuer le chemin. Au lieu qu’il reste où tout le monde était, il a accepté qu’on l’amène dans un coin bizarre. Tandis qu’on lui offre la boisson, on donne le taro à l’autre. Ce notable but et la boisson ne finit pas tandis que l’autre mangea un taro qui ne finissait toujours pas, ils ont bu et manger jusqu’au soir sans que cela ne finisse. Ce n’était que le début des choses et cela les a emportés.
Ceux-ci qui avaient beaucoup d’enfants avaient refusé de les donner à la sorcellerie. Ils avaient préféré mourir pour eux. A cause de l’ignorance ils ont perdu leurs vies.
Quand on veut entrer chez quelqu’un, il faut frapper. Et si on ne vous dit pas « entrez ! » n’entrez pas.
Quand on frappe à une porte, on ne le fait pas en entrant. Jamais. Ça ne se fait pas. Tu toque et tu attends. Si tu n’entends pas dire : « entrez ! » retoque encore jusqu’à ce qu’on e réponde. Si tu articule la poignée et réalise que la porte n’est toujours pas fermée, frappe à nouveau à la prote et attend l’ordre. Evitez d’entrer sans permission.
A cause de cette bêtise, une de vous s’est fait violer. Elle s’était rendu faire la prospection des produits. Elle était donc entrée dans l’immeuble et frappait à toutes les portes. Elle arrivera chez un gars qui était chez lui seul dès qu’elle entra, le gars se lavait et l’a bloqué la porte et gardé les clés. Et le gars a finit par la violer. Si vous voulez aller vendre pendant les vacances, pendant les vacances comme beaucoup vendent même les arachides. Je vous interdis d’entrer même dans les salons des gens pour les servir. Je refuse. Installe-toi en bordure d’une route officielle ainsi en passant, que même les passants te voient.
Si quelqu’un vous demande d’entrer chez lui prendre l’argent refusez. Dites lui : « pars avec »
- Avez-vous compris ?
- Oui, maman c’est ce qui faut connaître.
Quand vous vous rendez au village, sachez qu’on peut vous vendre avec le langage. On peut vous vendre entre vos propres mains. On vous donne votre motif de condamnation en main vous aller vous livrer avec sans le savoir. Et on le fait aussi avec un langage que vous ne connaissez pas.
Quand vous allez au village apprenez à causer vos dialectes pour ne pas être surpris. Apprenez à vivre avec ceux chez qui vous partez. Que les congrès au village ne deviennent pas les diplômes de grossesse, ni les maladies. Parce que pendant les vacances, les personnes infectées se rendent au village pour partager les maladies aux enfants.
Attention de vous y rendre au lieu de faire ce qui vous y amène, vous mener une autre forme de vice parce que vous savez que ma grand-mère ne sera pas là pour regarder l’heure à laquelle vos retournez à la maison. Soyez maître de vous-même. « Maman, je sors ainsi pour me rendre à tel endroit, puis à telle heure, je serai à tel autre et je retournerai à telle heure ».
Alors c’est ce qu’il faut faire. A Douala, je leur disais ceci. Est-ce qu’en venant vous avez dit à vos parents où vous deviez en plus d’ici vous rendre ? Alors retournez-comme vous êtes venu leur avais-je demandé. N’empêche que certains ont déclaré avoir dit au revoir alors que c’était faux. Ce n’est pas bien.
Alors, pendant les vacances, vous devez vous méfiez des coutumes et autres. Si cela est contraire à ce que Dieu demande n’acceptez pas.
Les blindages dangereux. Les coupures aux lames de rasseoir, c’est dangereux. Refusez. Je vous avais raconté il y a trois ans qu’il y a une famille qui a été contaminé à Douala par les coupures de lames de rasseoir. La mère et l’ainé ne sont plus en vie à cause des vaccins aux lames de rasseoir avec pour motif de blindage. Attention.
Attention d’aller égorger les animaux sous l’arbre. Quand on égorge c’est pour manger. Ne pas aller sous l’arbre verser l’huile !
- Bonnes vacances !
- Merci maman !
- Bonheur en main.
Chants de Bénédiction
1) Vient Esprit du Dieu vivant !
2) Cysps ge comtso, o be si ge vaga
3) Seigneur je veux vivre dans la paix et dans la joie.