SOYEZ SPIRITUELLEMENT PROPRE AVANT LE 6 AOUT 2010
-Bonjour les Hommes d’amour et de Paix.
-Bonjour Maman.
-Bonne fête.
-Merci Maman.
-Bonjour les élèves.
-Bonjour Maman.
-Gao !
-Ooh !
Nous sommes ici aujourd’hui pour la fête. Nous venons aujourd’hui pour une fête. Je l’ai dit hier, ne soyez pas surpris de la tournure que prendront les évènements de ce jour. C’est ce que le Ciel a voulu pour rehausser l’image de cette fête. Si vous avez pris cette fête à une petite dimension, sachez que le Ciel l’a prise d’une très grande dimension. C’est pourquoi, avant que nous ne continuions cette journée, j’exhorte tous les malades sans exception à tout faire qu’avant le 6 août vous soyez propres. Faites tout pour être propre avant le 6 Août 2010.
Attention ! Faites tout pour qu’avant le 6 août 2010, chaque personne puisse se mirer et se baigner dans le sang de l’agneau qui enlève le péché du monde, pour se purifier et devenir ce que Dieu attend de chacun.
Oui, c’est ainsi que depuis que nous avons démarré cette fête, on m’a demandé ce qu’il fallait faire ou pas.
Je vous dirai de ne pas être surpris pour tout ce que le Ciel a bien voulu apporter à cette fête pour rehausser l’image de celle-ci. Si vous avez pris ça d’une petite dimension, sachez que le Ciel a pris cela d’une très grande dimension. C’est pourquoi, avant que nous ne continuons en cette matinée, je prierai les malades sans discrimination aucune que : « pardon, s’il vous plait, faites tout et tout qu’avant le 6 août 2010, vous soyez propres ! »
Attention ! Faites tout pour qu’avant le 6 août 2010, chaque personne puisse se tremper dans le sang de l’agneau qui enlève le péché du monde, pour se purifier et être ce que Dieu vous a tant demandé.
Et c’est ainsi que depuis près d’un an, on m’a demandé ce qu’il fallait faire pour que cette fête soit belle. La beauté de cette fête sera la repentance de toute personne. Ne pas cacher en soi ou à son dos quelque chose et crier qu’on n’a rien.
Je vous en prie, ce n’est pas un problème de Marie Lumière, je ne fais que vous transmettre le message qui m’a été dédié. Et, je continue en vous disant : moi qui connais ce que c’est que la foi divine, Faites attention ! Que chaque personne puisse mieux se laver avant le 6 août. Il ne nous reste que 2 jours, j’ai chanté, j’ai crié longtemps et j’espère que vous avez compris.
Vous êtes sans ignorer que c’est qu’un éclairage. Je vous demanderai de m’excuser. Sachez ce que c’est que l’éclairage. On ne se cache pas dans la lumière. Je vous le dis haut et fort et ce que je dis n’engage que moi. Je n’ai pas demandé à être ce que je suis. Sachez qu’avec moi, on ne cache rien face aux autres, vous devez cacher mais avec moi, rien ne se cache, j’en ai terminé ! (Ndlr : vifs cris de la foule ; maman a donné ces avertissements avec trop de rigueur et de fermeté)
MARIE LUMIERE : « VOICI MA MISSION SUR TERRE »
Ce que je fais c’est ma mission, j’en ai terminé. Alors, c’est ainsi que vous devez comprendre. Chaque personne a sa mission. Chaque personne d’entre nous est venue avec sa mission. Et dans notre mission, chaque personne avait un rôle qu’il jouait dans tout ce qu’il faisait. Moi, mon rôle était d’éclairer, de voir et dire, d’enlever toute personne dans le désordre. Caché ou pas cela n’engage que vous. Puisque moi, je ne me suis pas engagé comme celui qui va à la crainte de perdre sa vie. Quelque soit les circonstances, dans mon engagement, j’ai dis :
« Seigneur, Tu m’as séduis. J’ai accepté sans doute et sans retour. Sans doute et sans retour. Tout ce que vous devez faire dans ce monde, je ne sais pas ce qui me plairait plus que le Royaume de Dieu »
Oui, je ne sais pas ce qui me plaira. Je ne suis pas venue vous cajoler pour que vous vous plongiez dans les aises de ce monde. Je suis venue dire à ceux qui vous habitent : « Eloigne-toi de moi et éloigne toi d’eux ! » C’est l’essentiel de ma mission. Sur mon chemin, je dirai à chaque moment, à chaque tour et à chaque temps : « Eloigne-toi de moi. Efface-toi de mon chemin ». Sur mon chemin, efface- toi le plus tôt possible.
Si vous voulez, gardez-vous bien à Gros – Bouquet et montez ici seul comme vous le faites. (Ndlr : Gros Bouquet désigne le nom du coin par où l’on passe pour arriver au camp du Bureau Lumière de Yaoundé-Carrière). Je sais que vous savez ce que vous faites. Au retour si vous vous cherchez sans vous trouver, ne dites pas que je ne vous avais pas averti. Ne dites pas que je ne vous avais pas avisé. Ne vous gardez pas là pour monter ici. Venez ici au camp avec votre corps. J’ai besoin de votre corps ; j’ai besoin de traiter votre corps, de mettre votre corps propre comme le Divin Seigneur m’a ordonné. (Ndlr : vifs applaudissements de la foule) C’est ce que vous devez comprendre. Alors, pour terminer avec ce message que j’ai reçu tout à l’heure, je vous dis encore : « je ne fais rien de ma force. Je ne fais absolument rien de ma force ». J’ai le regret de vous dire en face qui vous êtes et ce que vous faites.
Aucune personne de ce monde ne peut me détourner de la vérité. Si j’observe et ne dis rien, ne pense pas que je ne connais pas. J’attends que toi-même prenne l’initiative de me dire qui est-ce que tu es. Et je saurai que si je te lave, tu ne recommenceras pas le lendemain matin. Si je me mets à vous laver est ce que je mettrai fin à l’obscurité qu’il y a dehors ? On peut vous laver très bien, mais est ce que vous cesserez d’aller entrer encore dans la saleté ?
REVELATIONS SUR LA VIE DE MARIE LUMIERE
Vous voulez bien faire, mais vous avez un orgueil qui vous domine ici trop à Yaoundé. Vous ne voulez pas être humble pour recevoir. Je vais vous dire une vérité pure et simple aujourd’hui. Ce qui m’a sauvé et m’a soutenu ont été les critiques. J’avais mis mes deux genoux à terre et demandé à Dieu ceci :
« À chaque pas Seigneur, note moi car j’ai peur du jugement. Je ne veux pas qu’à la dernière minute, au lieu de rentrer comme tu m’as envoyé, tu me mets en jugement. A tout moment de ma vie Seigneur, note moi ».
Je vous assure depuis des années, je n’ai jamais travaillé et finir sans recevoir mes notes de ce jour.
Si vous ne voulez pas vous laver pour être propre, à quoi vous servira donc de venir faire le jonglage ? À quoi vous servira de faire le jonglage ? Ça ne vous servira à rien. A rien du tout.
NE VOUS FIEZ PAS AUX MATERIAUX DE CE MONDE
Je vous ai dit maintes fois de ne pas vous fier aux matériaux de ce monde. C’est zéro tout rond, n’embrassez pas trop ce monde comme vous le voyez. Il y a des moments où je viens parmi vous sans voiture. Parfois, je me décide et prend le taxi pour venir vous servir. C’est pour vous dire que tout cela c’est zéro. Ce sont les biens de ce monde. Ne voyez pas le monde comme un endroit extraordinaire, ça c’est la poubelle. CE MONDE EST POUBELLE. Si vous voulez mieux y vivre, nettoyer à chaque moment votre passage pour savoir comment passer. Nettoyez votre passage pour mieux savoir comment poser main. Et je vais vous dire quelque chose de pertinent.
C’est la honte et l’orgueil qui vous envahissent et vous empêchent d’enlever tout ça de vous pour être ce que Dieu demande. Vous avez le désir de le faire, mais, aujourd’hui, c’est la honte et l’orgueil qui vous envahit. Enlevez la honte de vous. Enlevez cet orgueil de vous. Ne vous cachez pas en plein jour. Quand vous vous cachez en plein jour, ça n’a plus de sens. Ça n’a jamais pas de sens.
POURQUOI ALLER AU BUREAU LUMIERE ?
Voilà qu’aujourd’hui, vous venez tellement nombreux parce que vous voulez jouir de la prophétie de Dieu. Cette prophétie qui a été et qui en sera toujours. Vous voulez que le Seigneur Dieu vous transforme à sa volonté afin que vous deveniez ce que Dieu veut. C’est pourquoi tous les jours vous grimpez cette colline.
Moi, je dis et j’en dirai toujours à Dieu :
« De ne pas me donner des vêtements que je ne parviendrais pas à laver jusqu’à ce que cela soient propres. Je demande qu’Il me donne le détergent pour laver jusqu’à ce que cela soit très propre. Qu’Il ne me donne pas les vêtements rouillés que je ne saurais comment laver pour les rendre propres. »
CE QUE DIEU ATTEND DE L’HOMME
Je dis et j’en dirai toujours : « Dieu n’a pas besoin de votre grandeur ou de quoi que ce soit, Il a besoin de votre cœur, il a besoin de votre cœur, vous-mêmes pour que vous soyez utiles aux autres. Il a besoin que vous soyez utiles et servir les autres. »
Son problème n’est pas de vous voir verser nombreux, Son problème c’est le changement.
Hier je l’ai dit : « si tu sens que tu as une tâche en toi, confesse-toi à Lui. Dieu nous voit devant lui comme du papier transparent. Il nous voit si transparent que le papier ne l’est. Si tu veux, tu peux doubler les vêtements sur toi autant que tu voudras, mais saches que tu es transparent devant Lui. Il voit la plus infime chose dans ta vie. Tu es transparent ». C’est ce que vous devez comprendre.
Alors aujourd’hui, sachez que dans la confession, l’homme se libère.
SE CONFESSER VEUT DIRE QUOI ?
Se confesser c’est aller en réconciliation avec celui à qui vous avez fait mal. Parce qu’on ne peut pas verser du remède sur une blessure qui pourrit à l’intérieur.
Qu’est ce qui se passe que chaque jour vous vous mettez à genou pour prier et vous ne cessez de dire chaque fois : « le diable me tente ». Quel dieu priez-vous alors ?
Ou encore, comment se fait-il que chaque jour, vous montez à la carrière, puis vous allez à l’église pourtant, vous ne changez pas ? Quel dieu priez- vous alors ? Ce n’est pas ça ! Je vais vous dire quelque chose.
Que tous les riches, que tous ceux qui en ont, s’ils veulent, qu’ils versent tout à la gloire de Dieu mais s’ils ne changent pas leur cœur, au dernier jour, ils n’auront pas de chemin.
Car ce que tu Lui donnes n’est qu’une partie de ce qu’il t’a donné. Ce que l’on donne à Dieu n’est qu’une partie de ce qu’Il a donné. Car tu es incapable de Lui donner quoi que ce soit. Ce que tu lui offres n’est qu’une partie de ses biens qu’Il t’a donné. Et ce que tu sors à tout moment pour le glorifier n’est que ce qu’Il a touché. Ça ne part que là où Il voudrait que ça revienne. Ne croyez pas qu’Il peut manger vos saletés. Je vous dirai : « NON ».
Ne pensez pas que vous pouvez toucher de tout et de rien pour déclarer glorifier Dieu avec. Je vous dirai : « NON ». Tu feras tout mais tu ne Lui donneras que ce qu’Il a voulu que tu Lui donnes, il faut comprendre.
Ne pensez pas que Marie Lumière vient ainsi pour que vous puissiez porter de fortes sommes d’argent pour lui donner et l’acheter. Sachez que : « NON ! » et « NON ! ».
Même si je t’aime jusqu’à prendre ce que tu m’offres, en ce moment je ne serais qu’un commissionnaire qui reçoit cela comme un colis et va transmettre où cela y vas ; là où l’on me demandera de mettre. Je m’en fou de vos histoires là. Ça ne me dit absolument rien du tout.
Je suis à mesure de mettre mon Caba pour le servir. (Ndlr : de m’habiller en Caba, tenue africaine en pagne très relaxe que préfèrent beaucoup de femmes africaines).
Je suis à mesure de marcher à pieds pour le servir.
Je suis à mesure de marcher un peu partout dans la ville pour le servir.
Je suis à mesure de danser pour Lui rendre gloire.
POURQUOI LA PROPHETESSE MARIE LUMIERE DANSE TANT
LORS DE SES SEANCES DE TRAVAIL ?
Certains pensent que lorsque la mère danse ainsi, c’est pour qu’ils rient. Je dis : « jamais ! Je danse ainsi pour le glorifier pour qu’il me fortifie les pieds pour que je puisse mieux Le servir. »
*Ma voix se lève très fort pour le louer pour qu’il me renforce davantage afin que je puisse Le louer avec beaucoup de force.
*C’est aussi pour que mon regard soit son regard, que mes yeux soient ses deux yeux qui regardent ses brebis et les filment pour mieux gérer leurs problèmes.
*C’est pour que mes oreilles soient à Son écoute afin qu’au moment où Il me parlera, que je puisse mieux L’écouter et Le comprendre afin de gérer au mieux la situation de ses enfants.
*Mon cœur pour lutter qu’Il soit toujours là à jamais. C’est pourquoi, chaque fois que je regarde, j’évite que quelque chose entre ici (Ndlr : en touchant son cœur).
« APPELEZ-MOI SANS RANCUNE » MARIE LUMIERE
C’est pourquoi en 1995, j’ai dis : « appelez-moi sans rancune »
Dénoncez ce que vous avez fait ne veut pas dire que Marie Lumière vous garde rancune. C’est parce que je t’aime et je veux chasser ce qui t’utilise pour nuire.
Je veux que tu sois celui dont Dieu a voulu que tu sois car, si on n’aime pas quelqu’un on ne regardera pas sa profondeur.
Si on n’aime pas quelqu’un, on ne le regardera pas de face pour voir comment il est habillé. Parfois lorsqu’on vient jusqu’à moi je dis à certains : « ma fille, tes bijoux sont très beaux, cela te conviennent. Prochainement, range –toi mieux que cela ». Dire cela ne veut pas dire que j’envie ses bijoux. Ça veut dire que tout ce que tu portes en toi soit l’exemple de ton cœur. Que tout cela soit l’exemple de ton cœur.
Très souvent beaucoup pensent que je suis une personne dont rien ne l’énerve. Si je cédais à l’énervement où est ce que je vous laisserai ? Qu’est ce que vous ne faites pas ? N’est ce pas après ici c’est vous-même qui serez dans les « bələng » (couvertures) des prêtres et des pasteurs ? Ceci pour transformer ce qu’ils viennent de recevoir ? Pour qu’à leur tour avant de m’indexer qu’ils aient les informations sur tout ce qui se passe ici ?
Malheur à celui qui détournera une brebis de Dieu. Malheur à celui qui détournera l’une des brebis de Dieu. Il faut que vous compreniez cela.
Toute personne, qui vient vraiment de Dieu n’a que sa bouche et la parole que Dieu utilise pour vous parler à tout moment. On ne peut pas faire plus que de vous parler. On ne peut que vous aimer en vous donnant cette parole.
PERE SOFFO N’EST PAS JESUS CHRIST.
PERE SOFFO n’est pas JESUS CHRIST.
Alors, aujourd’hui, le Père (PERE SOFFO) disait : « je ne vous jetterai jamais des pierres, mais vous me jetterez des pierres » au fur et à mesure que les jours passent, on se rend compte que c’est une réalité. Croyez-vous qu’en disant au peuple de Dieu que : « PERE SOFFO est Jésus » que ça va vous avancer ? Je vous dirai : « non ! »
Croyez-vous qu’en disant au peuple de Dieu que « PERE SOFFO est l’incarnation de Jésus-Christ » que tu vas changer, je te dirai « NON ».
Tu ne changeras que si tu te prends comme MODELE des enseignements de Dieu à travers PERE SOFFO.
Tu ne changeras que quand tu pourras présenter l’image de ce qu’IL est, afin que le peuple de Dieu te comprenne.
Si tu veux, cris même, tu veux cries-même dans la télévision comme de nos jours beaucoup créent des chaînes de télévision pour faire du tapage, pour faire des inutilités alors qu’au fin fond d’eux ils ne sont que des chercheurs d’argent.
Qui parmi eux a déjà payé le transport d’un malade qui vient à eux ?
Qui parmi eux a gardé un malade si on ne lui donne rien ?
Qui parmi eux a travaillé de jour sur la pluie comme au soleil sans vouloir qu’on le récompense ? Qu’ils cherchent bien leur argent, le moment viendra où cela finira.
Je vais par là vous dire une chose très pertinente. TOUT NE FINIT PAS ICI BAS. Un jour viendra où chaque personne va répondre à sa propre personnalité, à ce qu’il a eu à faire.
Et ce jour, là tu ne seras avec personne. Tu seras seul. Tu ne discuteras pas avec Dieu. Tu te verras toi-même sur un écran et tu sauras toi-même là où te diriger. Personne ne sera là-bas pour faire quoi que ce soit.
Jusqu’à nos jours, si Dieu n’avait pas fait un penchant à son peuple,
C’est qu’Il n’enverrait pas toujours des gens pour venir parler de lui.
C’est que Dieu a toujours le regard sur son peuple et envoie à chaque fois des gens pour parler à ce peuple. Seulement, il a une inquiétude permanente à savoir : « je les ai envoyés. Est-ce qu’ils retourneront au terme de leur mission ? » C’est cette préoccupation qui anime Dieu à chaque fois. J’ai horreur de vous dire que parfois je demande à mon Seigneur qu’il était mieux qu’Il m’envoie sur la planète où ne vivent que des esprits et non de m’envoyer dans cette planète de chair. Parce que là, ils n’ont plus de souffrance, ils n’ont plus de problème.
L’AMOUR REEL AU SENS REEL DIVIN
Dans ce monde où l’on ne peut pas faire du bien. Lorsqu’on voit quelqu’un être trop indexé, c’est surtout celui qui voudrait mieux faire.
Dans ce monde où on ne peut pas aimer. Ma foi, si tu aimes, on va donner ta part. On dira à une femme qui s’entend avec un homme que l’homme est son mari. Enlevez l’amour entre vos jambes et mettez dans vos cœurs. Enlevez cet amour entre vos fesses et mettez-le dans vos cœurs. Qui vous a dit qu’on ne peut pas aimer sans passer par la sexualité.
Dans votre monde, c’est cela.
Mais chez nous, ce n’est pas cela.
On aime parce qu’il faut aimer.
On aime parce qu’on veut glorifier Dieu.
On aime parce qu’on veut Lui rendre heureux.
On aime parce qu’on veut qu’à chaque moment, Il verse sa bénédiction sur celui qu’Il aime.
Acceptez Son Amour un peu de partout dans le monde. On n’aime pas parce qu’on n’a besoin de quelque chose en retour.
Si vous ne donnez qu’à celui qui vous donne, sachez que vous n’êtes pas digne de celui qui vient de Dieu.
Si vous n’aimez que celui qui vous aime, c’est que vous n’êtes pas dignes de celui qui vient de Dieu.
Si vous ne saluez que celui qui vous salue, sachez que vous êtes indignes de Lui.
BUREAU LUMIERE : UN EXEMPLE DU CIEL SUR TERRE
Ma crainte est ceci ; quand ici au camp, permettez-moi de vous dire que : « Bureau Lumière était un exemple du Ciel que Dieu a voulu dans ce monde ».
Dire que vous venez ainsi pour être son modèle. Est-ce- que vous vous laissez afin qu’Il vous utilise pour faire de vous des modèles ? Qui donc pourra-t-Il toucher pour faire ce qu’Il voulait faire. Qui donc ?
Aujourd’hui, que chaque personne du Seigneur, si ce n’est que moi seule, je dis, je m’engage à Te suivre. Vous avez de la chance. Vous avez cette chance que nous soyons là ensemble. Vous avez cette chance là. Par ailleurs, il y’a des gens qui veulent et ne trouvent pas où poser la tête. Et ne connait même pas où s’adresser, et ne connait même pas à qui dire de quoi ils souffrent. Certains meurent ainsi dans leur désolation parce qu’ils n’ont personne qui peut les sauver. Mais à chaque moment, Il m’a donné un sac plus profond dans lequel rien ne connait l’autre. Malgré cela, ça devient un peu plus difficile pour que vous compreniez la réalité divine. Le servir ne veut pas dire amasser pour être « ma » « mes » comme disait notre sœur Antoinette. « Ma chose » « mes choses ».
C’est pourquoi je dis chaque jour, « un homme de foi n’a rien et ne manque de rien » un homme d’amour n’a rien qui lui appartient parce que d’un moment à l’autre, Dieu peut passer en lui et aimer une personne qui puisse passer par lui et enlever même jusqu’à ses vêtements pour lui en donner. Puisque si vous n’avez pas cette qualité dans votre vie, sachez que vous avez un autre maître que je connais.
NAISSANCE DU BUREAU LUMIERE A MANSOUEN
Qu’est ce que c’est que le 6 août dont vous êtes en train de fêter ?
Le 6 août c’est quoi ?
Depuis 1975, Dieu a bien voulu réaliser son désir en passant par le Cameroun et en passant par un homme qui se nommait WABO Jean Ernest. L’Esprit de Dieu continue ainsi et on l’appela PERE SOFFO. Depuis cette année, Dieu va le faire voyager et il se retrouvera à MANSOUEN (Ndlr : village perdu au fin fond du département du NOUN, dans la région de l’Ouest Cameroun) pour délivrer le message de Dieu à Mallam SEIDOU.
Attention que dans vos esprits vous croyez qu’il y allait comme son marabout. Non, il s’y était rendu uniquement dans le but de transmettre le message que Dieu l’en avait chargé d’aller transmettre. C’est pourquoi il s’était laissé toucher car la prophétie a été accomplie puisque tout ce que PERE SOFFO lui avait dit s’était réalisé. En passant par ce que PERE SOFFO lui avait dit,
Dieu avait pu ainsi changer les idées de Mallam SEYDOU, ce musulman, l’idée de croire que la seule religion était l’Islam. Puisque lors des discussions PERE SOFFO lui disait : « Dieu au plus haut du Ciel reconnait, les protestants, les catholiques et les musulmans ».
Il lui disait que : « ça ne vaut pas la peine d’être avec les chrétiens » lui disait Mallam SEYDOU.
Par la réponse divine lors de ces discussions, un ange tordra le cou de Mallam SEYDOU et tourna la face par derrière la tête et la nuque par devant. Ceci pour lui faire comprendre ceci : « ne rentre pas derrière ; Si tu rentres ça ne marchera pas. Écoute-le ». Il se leva et lui dire : « ce qu’il te dit est une vérité, tu comprendras que, comme tu as passé ta vie sans enfant, sache que la femme qui t’aime portera ton premier enfant sera « Bandjounaise » c'est-à-dire une femme du village Bandjoun ». Mallam SEYDOU ne connaissait pas qu’un village Bandjoun existait.
Bref, ce message à Mallam transmis par PERE SOFFO s’est réalisé.
Effectivement, il épousera plus tard une femme Bandjoun qui arrive dans cette famille et met au monde un enfant afin d’ouvrir le chemin aux autres épouses qui n’avaient jamais procrée auparavant. Il lui parle de l’église avant de se lever et le toucher à la tête afin qu’elle redevienne normale.
Durant tout son séjour à Mansouen PERE SOFFO avait une rivière où il allait bien se laver régulièrement ainsi qu’une montagne où il allait prier.
Un jour, il rentre et s’en va à la rivière prier, puis arrive le démon ayant pris la forme d’un gros serpent.
A Mansouen, PERE SOFFO était appelé : « Jean Ni-Ni » qui veut dire « Jean de Dieu ». Puisqu’à la longue il a été perçu comme un homme de Dieu.
Arrivée à cette rivière,….
Un jour Mallam SEYDOU se réveilla et constata que PERE SOFFO s’était : « écaillé ». La peau qu’il portait était quittée sur lui à la manière où un animal s’écaille.
Cette peau au petit matin avait quitté sa chair et tombé ceci afin qu’il soit né de nouveau et Dieu lui demanda à la suite de cela ceci :
« À partir de maintenant Tu dois me servir ».
PERE SOFFO ET LE CHEF BANDJOUN
Il doit rentrer sur Bandjoun (Ndlr : son village natal) où il rencontrera pas mal de difficultés. L’une des multiples difficultés qu’il rencontra fut les problèmes que lui posaient des personnes notables entrées dans des sociétés secrètes pour détruire le peuple de Dieu dans la sorcellerie. Ils vont aller lui porter plainte à la chefferie en disant : « lorsque nous attachons nos chèvres, cet homme détache ».
Le chef avait mal compris cela puisque ces gens là avaient utilisé une forme de sagesse pour lui parler. Le chef avait cru que les chèvres dont ils parlaient étaient des chèvres réelles. Pourtant, il s’agissait des personnes que ces sorciers avaient attachées en brousse et PERE SOFFO avait libéré.
Tout ceci à cause d’une reine de la cours royale de Bandjoun qui avait perdu son enfant. En effet, cette femme choquée, avait accouru auprès de PERE SOFFO pour se plaindre et suppliant Père SOFFO de faire quelque chose pour récupérer cet enfant. Père avait agit, bloquant ainsi l’action de son mari sur les autres enfants de cette maman. Voilà ce qui s’était réellement passé. (Ndlr : C’est alors que ce notable influent va constituer son équipe pour aller mentir sur le PROPHETE PERE SOFFO de voleur de chèvres auprès du chef. Le chef et sa suite se déporteront à son domicile un jour de travail accompagné des autorités : le commandant de brigade de la gendarmerie de Bandjoun et ses éléments) .
Le chef, dans la violence, a brutalisé PERE SOFFO (Ndlr : le chef porta une gifle au prophète du Dieu vivant) en le prenant pour un voleur au sens réel du terme. Seulement PERE SOFFO n’en fera pas un problème. Au contraire, Il prendra cette action de son chef du village à la manière divine en déclarant : « mon chef m’a caressé. Il ne m’a pas battu ». C’est ainsi que le Seigneur lui dira : « Rentre chez toi à Yaoundé continuer ta mission ».
Je reviens encore sur ce passage qui était pertinent, pour dire que Chez sa grand-mère, à Pète-Bandjoun pour ceux qui connaissent, c’est là où il vivait.
L’EAU JAILLIT DANS LA CUISINE DE LA GRANDE MERE
DE PERE SOFFO A PETE-BANDJOUN
Un jour, dans cette maison lorsqu’il dialoguait avec sa grand-mère, de l’eau jailli brusquement du sol au foyer de sa grand-mère. C’est cette partie que moi-même je suis venue trouver. Et qu’est ce qui se passait ? Cette source avait ouvert un trou dans lequel, il y avait un bruit de machine qui ressortait l’eau sous forme de boue.
Lorsqu’on y arrivait, on priait puis dans ce trou, on y prenait un peu de boue (la terre mouillée) ceci faisait donc « ta part de remède destinée à soigner la maladie que tu avais souligné dans tes prières ».
Parfois, tu trouvais des mottes de terres de couleurs variées (rouges, jaunes, noir…) parfois dès que tu terminais ta prière c’est la boue de couleur verte qui t’apparaissait et tu la prenais pour consommer. J’ai vu comment cela avait guéri le monde. Fermons la parenthèse.
PERE SOFFO S’EN VA S’INSTALLER A YAOUNDE
PERE SOFFO rentre sur Yaoundé et chez lui, la sainte mère lui dit :
« Tu vas servir. Et dans tout ce que tu vas faire, tu dois oublier ton passé mondain. Et sache qu’à partir d’aujourd’hui l’Esprit de Dieu qui a été en toi doit te diriger dans ton œuvre ».
Un autre secret :
Le Père demandait ainsi « Quelle est cette femme qui me parle de la sorte ? » alors la sainte mère pris un bâton et lui frappa le pied. C’est pourquoi jusqu’à sa mort, son pied souffrait de ce fouet de la sainte mère.
Lorsqu’elle frappa ainsi, elle lui dit : « Attention, je ne suis pas venu m’amuser »
PERE SOFFO ouvrit encore les yeux et lui dit : « Maman, je ne sais pas que c’était encore toi. Pardonne-moi. »
L’EAU JAILLIT ENCORE CHEZ PERE SOFFO A YAOUNDE
Tout ce que nous devons connaître aujourd’hui, c’est sa vie. Il n’est plus là, il faut connaitre cela. Et c’est ainsi qu’à la longue, l’eau doit jaillir au pied et au chevet de son lit.
L’eau doit sortir et on doit boire. Un jour, constatant que le trou est petit. PERE SOFFO prendra un couteau pour agrandir le trou et voila qu’elle va tarir. On lui dira par la suite : « Nous sommes venus chez toi, tu nous as chassé avec le couteau » et PERE SOFFO de pleurer pour leur dire : « je voulais seulement agrandir le trou » on lui réplique : « est ce que c’est toi qui nous a fait faire cela d’abord ? » PERE SOFFO demandera pardon.
*C’est pourquoi, je n’ai pas bonne mémoire des années, probablement aux années 80, une autre source d’eau jaillira dans sa maison, (lorsque je parle ainsi, je sais qu’il y a certains d’entre vous qui doivent comprendre).
*Une autre eau jaillira chez lui un jour du camp, jour des enfants et des mères d’enfants. C’est peut être pour cela que c’est un Mardi à votre tour que je me suis rappelé de cela. Il va prendre cette eau pour travailler pendant plus d’un an et on est venu lui dire : « Nous étions juste venu te préparer, nous devons bientôt rentrer ». C’est quelques temps après que cette eau a encore tari.
*En 1983, chez ZAA KATA, une autre eau va encore jaillir un mardi.
Un mardi, pendant que les mères étaient assises, cela a fait un bruit du sol avec force. C’est ainsi que certaines mères prendront un peu d’eau pour nous retrouver à Douala dans une calebasse. Ce n’est qu’après que les gens partiront de Douala pour venir de boire cette eau à Yaoundé. C’est ainsi que le message à lui adresser par cette eau jaillie doit très vite se propager durant 8(huit) mois avant que cette eau ne tarisse à nouveau. Je n’ai jamais vu tant de merveilles.
PERE SOFFO va ainsi continuer sa mission jusqu’aux années 1984-1985 où il entrera dans de grandes difficultés. Que c’était donc passé en ces années ?
LES PREMIERES ANNEES DE TRAVAIL DES PROPHETES
A l’époque, nous étions tous ensembles (ndlr : PERE SOFFO, MALLAH et MARIE LUMIERE). Il fallait qu’il travaille à Yaoundé, se déplace sur Douala, organiser et réfléchir comment les choses devaient s’améliorer. En ce temps, il y avait moins de servants. Trop peu. Je crois qu’il n’y avait que les servants DIEUDONNE et MICHEL (petit Michel). Ils n’étaient que deux (02).PERE SOFFO montait et descendait avec ses deux servants là.
La manière où Michel était venu à sa rencontre était purement une action divine sur MICHEL. C’est Dieu le Père qui avait effectivement envoyé Michel. Et je reviens sur cela pour vous dire que quelque soit ce que ceux là sont devenus, cela n’engage qu’eux-mêmes, je vous le dis.
C’est ainsi que PERE SOFFO va continuer sa mission.
Il verra que chez ZAA KATA les malades étaient nombreux. Je m’en vais vous révéler ceci : c’est en cette année que j’arrive à Yaoundé et découvre qu’il n’y avait que des femmes au camp. Alors, je demande à PERE SOFFO : « Père, pourquoi n’y a-t-il que des femmes au camp ? » Père me répond : « Oui, Lumière, si tu constates ainsi et que tu puisses faire que les hommes montent aussi au camp ce sera une bonne chose ».
VOICI COMMENT LES HOMMES ARRIVENT POUR LA PREMIERE FOIS AU BUREAU LUMIERE
A Yaoundé seules les femmes sont malades, je me suis encore tournée vers le Ciel et dire : « Seigneur Dieu, tu as créé l’homme en disant que c’est de la côte de l’homme que tu as créé la femme. Puisque ce sont les hommes qui sont les directeurs des foyers, s’ils ne viennent pas ici, on sera où ? »
C’est alors que le Ciel m’accorda une bénédiction à donner aux femmes à l’adresse de leurs maris. Je leurs avais dit de saluer leurs maris à la maison et leur dire que s’ils ne viennent pas au camp ce n’est pas bien. Je leur ai demandé que je les invite le jeudi.En ce temps, j’étais toute petite. C’est ainsi que jeudi suivant le camp allait être plein dans la cours de ZAA KATA si bien qu’on devait manquer même où les mettre. La semaine suivante, ils étaient encore si nombreux qu’il nous a fallu quitter de la cour de ZAA KATA pour le premier camp qui était situé juste derrière le foyer actuel du camp. C’est ainsi que le Seigneur doit continuer ses œuvres.
Tout ce que PERE SOFFO a rencontré dans sa mission comme difficultés était l’incompréhension des Hommes. Il a reçu les Hommes qui «étaient habités par des forces démoniaques ceux-ci l’on combattu. Il a vécu un combat terrible dont Dieu seul a su l’aider à vaincre cela.
PROBLEME MALLAH
Les choses devaient aller entre nous très bien jusqu’en 1990 où Mallah a commencé à entrer au fur et à mesure dans l’obscurité. Cette situation nous a amené à bagarrer fortement pour étouffer jusqu’en 1995 où nos problèmes s’étaient éclatés au grand jour au vu de tous. Nous avons continué à cheminer ensemble, portant cette lourdeur de fâcherie et de haine. Ça n’a pas été facile, il a fallu tout cela pour que ceux qui étaient à Bépanda partent à Yaoundé reviennent à Douala-Bépanda, puis à Makèpé pour ainsi jouer au « ping-pong » et nous secouer. (Ndlr : Les malades étaient divisés en deux camps : ceux de Douala MAKEPE derrière MALLAH et ceux de Yaoundé derrière PERE SOFFO et MARIE LIMIERE ; pour plus d’infos lire : LVP 29).
A cette époque, personnellement, j’avais compris une seule chose, tout ceci n’était autre qu’un vent satanique destiné à nous secouer pour nous mettre en difficultés et nous pousser à stopper notre mission. C’est pourquoi à l’époque je levais les yeux au plus haut et dire : « je ferme ma bouche, je suis sans rancune. Je ne jouerai jamais au ping-pong. Tu feras ça et je continuerais à travailler. Fais-cela et moi je m’en vais ».
LA CREATION DU CAMP DU BUREAU LUMIERE
DE DOUALA-MAKEPE
C’est ainsi que le camp de Douala-Makèpé voit le jour, le 31 juillet 1995.
Lorsque vous étiez venus mettre fin à cette situation en inaugurant ce camp. Dès que vous étiez repartis, par derrière, j’ai pleuré. J’ai eu longuement à pleurer parce que le camp était rude. Cette situation avait continué ainsi si bien que parfois je me retrouvais avec deux mères d’enfants avec moi au camp, parfois cinq personnes. Imaginez-vous quelqu’un qui est habitué à travailler en présence de milliers de personnes se retrouver avec deux personnes en brousse dans le même cadre de travail. Ce n’était pas facile. Mais, je glorifie le Seigneur Dieu Tout Puissant qui m’a soutenu durant tout ce temps, puis m’a donné la force de persévérer jusqu’à nos jours. Je vous le dis cela aujourd’hui. Même le Père ne vous l’avait pas dis.
Dans cette situation, le Père avait pris l’initiative d’aller dans les réunions expliquer beaucoup de choses pour que le peuple de Dieu à Douala comprenne.
Et moi, je savais que si j’expliquai la situation aux gens, ils n’allaient pas croire. Son inquiétude était de dire chaque fois : « si tu arrives là-bas ils te tueront » (Ndlr : en ce moment, Maman constate le comportement pas encourageant de certains Hommes d’Amour et de Paix dans la foule et déclare) « si vous voulez jouez ! Je suis ici en train de mourir ! » Son inquiétude était grandissant et à chaque moment il me disait : « ne pars pas, on va te tuer ! »
UNE RUDE EPREUVE : DIEU D’ADORD
-Le savez-vous ?
-Non, maman !
-Toute ma famille sans exception avait cette crainte. A chaque moment, cette situation avait produit de la palpitation dans le cœur de ma famille. Chaque fois, on ne cessait de dire « oh ! On l’a mise où, nous ne savons pas ! » On s’inquiétait énormément de ma vie.
Cette inquiétude avait poussé jusqu’au moment où ma grand-mère faisait son retour à Dieu (Ndlr : mourait), elle a dit à ma mère natale ceci : « Si je ne serais plus de ce monde, même si elle se présentait, renvoie-là d’aller s’occuper des brebis de Dieu. Qu’elle me donne ce qu’elle a l’habitude de me donner et qu’elle ne s’occupe pas de mon enterrement ».
A mon arrivée sur les lieux du deuil, ma maman m’a tout expliqué, j’ai voulu tout faire hélas ! Ma maman m’a repoussé en m’expliquant que : « Je ne fais que ce qu’elle m’a demandé ». J’ai donc porté bénédiction sur son corps avant de rentrer en larme à Douala servir le peuple de Dieu. J’étais obligé de faire une navette allez et retour parce qu’il fallait que je me mette au service du peuple de Dieu, comme une viande posée sur une marmite de plantain. J’ai été obligée de faire cette navette où l’on mettait ma grand-mère au sol, ma grand-mère que j’aimais, que j’aimais tellement. Je n’avais pas vu son enterrement, je me suis retournée et dire au Père : « tu sais combien j’aime ma grand-mère, de ma naissance à nos jours, tu le sais. Tu sais que j’ai laissé les seins de ma maman pour ne téter que ceux de ma grand-mère. Je suis déçue de n’être pas présente pour voir comment les choses se passent ». Il m’a dit d’un ton sévère : « où tu serviras Dieu, où ta grand-mère !» je suis donc rentrée avec les larmes aux yeux. Et le samedi, à la levée, j’étais au camp. Le lundi, le mardi encore j’étais au camp. A la fin, je me suis déportée au village pour voir comment on l’a mise. J’étais rentrée, jeudi matin et travaillé jeudi soir pour repartir vendredi et retourner samedi travailler.
J’ai fais jusqu’au moment où l’accord devait m’être donné de me déplacer n’importe comment. Voila comment les difficultés ont été à tous les niveaux. Ce qu’on écoutait chez Mallah pour aller dire à PERE SOFFO n’était pas ce qu’on venait me dire. J’avais à la longue levée ma voix au Ciel pour dire : « Seigneur, je ne veux rien savoir, seule ta voix me dira ce que j’écouterai. Je ferme mes oreilles aux Hommes de ce monde et ne me tourne désormais qu’à Toi si non, si je veux continuer dans ce monde, ils pourront me faire dur. »
J’avais continué et le PERE est resté dans le choc. Je me souviens que j’avais demandé aux malades de rester tranquilles. Maa Emi (Mme Emilienne BOUDJEKA), elle n’est pas là. Je me souviens qu’elle m’avait demandé un jour au sortir du camp que : « maman, comme nous sommes seulement à deux comme ça, que feras tu demain ? Ça me parait déjà bizarre ! » Je lui avais répondu : « si tu crois que c’est de ta force que tu es venue, sache que le lendemain tu ne reviendras plus. Et si c’est la force de Dieu, ce camp sera plein » (Ndlr : maman, prend les malades de Douala à témoin)
-N’est ce pas, les malades de douala ?
-Oui, maman ! (Ndlr : répliquent-ils)
Je leur disais tous les jours ceci : « si moi, j’ai pris quelque part pour être ce que je suis ou bien je me suis fait vacciner pour être ce que je suis, ou aller demander à quelqu’un de faire de moi MARIE LUMIERE, c’est qu’un jour cette œuvre finira et moi j’irai dans ma honte. Seigneur, et si je me suis trouvé créée à ta façon à ta manière, c’est que ce camp demeurera à jamais »
Voila ce que je leur disais toujours. Et chaque jour on pleurait. Le matin, le Père m’appelle « où es- tu ?» Je lui réponds : « je suis à la maison ». Le lendemain, il m’appelle « où es- tu ? » Je réponds : « je m’en vais au camp ». Le soir, il m’appelle : « es-tu rentrée du camp ? » Je lui réponds : « oui ! »
-C’était comment ?
-Pas de problème.
Que puis-je vous dire encore, il y en a tellement.
DES TENTATIVES D’ASSASSINAT VENUS DE MALLAH
Un jour, Mallah a envoyé ses gens venir m’arrêter dans un taxi pour me tuer. J’avais emprunté ce taxi sans savoir. A bord de ce taxi, des gaillards me serrent et m’insultent : « tu dis que tu es dure ? Fais ta dernière prière parce que tu vas mourir ». J’ai dis à mon intérieur profond : « Seigneur, même si on va me découper, que je ne te renie pas ; fais que cela soit pour glorifier ton nom. Fais qu’un mot déplacé ne sorte pas de mes lèvres ».
On m’a amené vers la décharge de la poubelle de BONAMOUSSADI (Ndlr : quartier de la ville de Douala dans un quartier voisin de celui du camp Makèpé). Je trouve un camion de la société de décharge d’ordure d’HYSACAM sortir et serré notre taxi de derrière. J’ai alors crié au secours pour sortir c’est alors que j’ai dû échapper à ce coup de Mallah ».
Un jeudi, alors que les malades m’attendaient au camp, dès que je m’approche du camp, un autre groupe surgit de la brousse avec des machettes (Ndlr : maman prend à nouveau les Hommes d’Amour et de Paix venus de Douala venus pour la fête à témoin en disant)
-je crois que c’était devant vous.
-Oui, maman !
J’ai donc marché sans savoir que quelqu’un me suivait avec une machette. Comme dans les alentours du camp de Douala- Makèpé vivait un fou qui ne parlait pas, le nommé : « Américain », j’ai seulement entendu comment il a crié : « fuis maman, fuis ». Dès que je me suis retourné pour voir qui criait ainsi, je découvre un monsieur qui était attrapé fortement par ce fou tenant dans sa main, une machette brandit. C’est ainsi que « AMERICAIN » l’a donc attrapé pour me laisser partir.
Dès que j’arrive et entre au camp, toute les femmes de jeudi ont fondu dans les pleures, elles sont venues près du camp pleurer comme elles pouvaient. Et le monsieur qui gérait la Société HYSACAM situé à côté du camp Maképè est sorti appeler la gendarmerie en déclarant : « depuis des années que nous sommes ici, cette dame ne nous dérange pas, que prenez-vous à cette dame ? »
Le même jour dès mon arrivée au camp, je trouve un homme dont on avait découpé le crâne. C’est ce cela ? (Ndlr : demande maman Lumière aux Hommes d’Amour et de Paix de Douala et ceux-ci confirment)
-Oui, maman !
-Le crâne était ouvert. Je lui demande : « d’où viens-tu ? » Il me répond : « ce sont mes frères là dehors qui sont venus me tuer à mon bureau en disant que comme j’ai succédé à notre papa par ta force, ils vont me tuer. C’est pour ça qu’ils m’ont tiré depuis BONABERI, j’ai pu m’échapper avec le sang sur moi pour accourir ici et Ils m’ont suivi ».
Lorsqu’il a terminé de me raconter ses difficultés, aussitôt il a sombré dans un coma. Pendant ce temps ses frères m’attendaient à l’entrée du camp avec des machettes. J’ai voulu m’avancer vers ce garçon et mon divin Seigneur m’a dit : « attention ! Ne le touche pas ! » Et je suis restée tranquille. (Ndlr : désignant ces femmes de Douala installés au premier plan devant maman).
Ces femmes de Douala ont vu de toutes les couleurs. Elles se sont levées et m’ont regardé et les larmes ont coulés. J’ai encore regardé ce jeune homme dans le bain de sang avant de lever mes yeux plus haut et dire : « Seigneur, par ta grâce, fais de moi ce que tu veux. Si cet homme n’est plus en vie, coupable ou pas, j’irai en justice parce qu’il est venu mourir chez moi »
Le seigneur me dit : « Attends ! » J’ai demandé à aller lui chercher de l’eau, on ne m’a pas accordé. Quelques heures plus tard, il s’est levé de lui-même puis je lui ai fait appel. C’est alors que de mes mains, j’ai soigné ses blessures. J’ai donc touché ses blessures dans la crainte que comme il avait trop saigné, j’ai demandé qu’on l’accompagne à l’hôpital. Arrivée à l’hôpital, le médecin demande de le ramener en disant : « dites à celui qui a commencé à suturer la blessure de continuer parce que c’est bien fait. » C’est ainsi qu’en trois jours ce garçon était guéri. (Ndlr : vifs applaudissements de la foule)
Qu’est ce que nous n’avons pas vécu dans ce service ? En toute vérité, qu’est ce qui amène les hommes à faire cela ? C’est tout simplement la méchanceté.
CONSIGNES DONNEES AUX MALADES
A L’EPOQUE DE GUERRE CONTRE MALLAH
En ce temps, j’avais demandé aux malades de Douala de fermer leurs bouches. « Fermez vos bouches. Ne comptez cela à personne ». Ne faites même pas savoir qu’il y a des choses comme cela qui se passaient à Douala. Laissez-le tranquille. C’est ainsi que je faisais.
Bref à un certain moment, tout était calmé, je crois en ce temps vers l’an 2002, Mallah fit prendre la machette pour bastonner l’enfant à mort et depuis lors elle s’exila. J’ai cru que tout était terminé. Pourtant certains parmi vous gardaient en eux l’esprit de Mallah. Tout en comptant me séparer de PERE SOFFO. Ceux là descendaient à Douala et retournaient à Yaoundé dire des choses à PERE SOFFO. Dès choses qu’ils n’ont ni vu ni entendu. Je ne dois que vous dire une partie de cela.
CEUX QUI VOULAIENT SEPARER PERE SOFFO DE MARIE LUMIERE
Je crois que c’était en l’an 2003, quelqu’un vient dire à PERE SOFFO : « comme tu vois ainsi, maman Lumière a dit à Douala qu’aucun malade ne vienne à Yaoundé t’accueillir. Elle a même refusé le livre que tu as validé et signé ».
Je vous assure, c’était un autre tournant très dangereux. Pourtant j’étais à Douala pour arranger la fête. Maman réclame la photo qui témoigne cet évènement dont maman Lumière préparait au niveau de Douala. Il s’agit de l’évènement où PERE SOFFO par le concours des fils Bandjoun du Bureau Lumière ont couronné au nom du Bureau Lumière tout entier et du peuple de Dieu sur terre, Roi en plaçant sur sa tête la couronne semblable à celui que ne portent que les roi en pays Bamilékés au Cameroun en tant que Roi.
Si la genèse dans l’ancien et le nouveau testament, Dieu nous prévient de beaucoup de choses, c’est parce que les Hommes changent et s’aiment entre eux. Pouvez-vous vous rappeler ce qui s’était passé à cette fête ?
En effet, j’étais à Douala pour préparer comment devait se passer le couronnement de PERE SOFFO à Yaoundé comme Roi. Ce n’est destiné qu’aux chefs traditionnels. Tu n’es pas roi, tu ne la portes pas. (Ndlr : maman le dit en brandissant la photo souvenir de cet évènement avant d’ajouter) le groupe NATIVITE et certains servants m’avaient approché pour me demander comment procéder. Et je leur avais répondu ainsi :
« si vous sentez en vous qui est ce qu’il est, prouvez-le aux yeux du monde ». C’est pour cela qu’ils s’étaient rendus chercher cette couronne, afin de faire porter le Père pour entamer une nouvelle époque de sa mission. C’était une fête du 6 août.
Ceci dit, le Père m’avait urgemment convoqué à Yaoundé où il m’avait dit : « qu’est ce que tu es en train de fabriquer à Douala ? » Je lui ai demandée : « qu’est ce qui t’a poussé à me demander cela ? » Papa va m’expliquer et je lui raconterai toutes les démarches que j’étais en train d’entreprendre de Douala. Je ne cessais de travailler jusqu’à 5 heures du matin pour former comment vous procéderiez jusqu’aux pas de danses que vous exécuterez pour l’accueillir et le glorifier. J’ai été sidéré et c’était stupéfiant d’entendre cela.
CE DANGEREUX ENTOURAGE DE PERE SOFFO,
ATTENTION DE DETRUIRE UNE ŒUVRE DIVINE!
Je vous connais assez ! Je vous connais ! Avant le départ de Père, voila pas mal ce qui c’était passé. Qu’est ce qui avait fait que PERE SOFFO baisse les bras face à ce qu’on lui avait raconté ?
Dès que le Père a déclaré : « pourquoi as –tu fais ceci ? » Je lui avais répliqué : « je sais qui est venu te raconter tout cela. Attends je vais le ramener ». C’est alors que je me suis levée pour aller chez Ma Victo. (Ndlr : maman Victorine CHIEMNIE, mère natale de PERE SOFFO qui résidait dans un appartement de la résidence de PERE SOFFO)
Aussitôt, le Père a dit : « Grand –Mi arrête-la. Je connais sa colère. Empêche-là de sortir. Je sais que quand elle se décide et elle commence sa folie là, ça sera autrement, le Ciel agit directement. Parce que c’est rare de la voir se mettre en colère. Je vous ai demandé de la laisser tranquille. Je voudrais que tu saches, que comme ils sont tous versés ainsi, même lorsque tu venais à Yaoundé, je les bousculais seulement pour qu’ils t’installent une chaise sur laquelle t’asseoir ». Et PERE SOFFO d’ajouter ceci : « J’ai voulu vous dire cela aujourd’hui, si je n’avais pas voulu, je ne vous en aurai pas dit ». J’ai ouvert les yeux et m’exclamer : « quoi ? »
Il répond : « oui, c’est une réalité que je te crache. Je te crache cela pour qu’en restant, tu saches que la manière dont on est en train de te minimiser, sache que quand je ne serai plus là, je n’implorerai que le secours du Ciel pour qu’Il te soutienne ».
Voila sa parole dans son grand salon à Yaoundé. J’ai croisé les bras pour le regarder, je me suis levée pour le regarder encore et dire :
« papa, tu es sur la braise du feu. Mais moi, s’il m’arrivait que je puisse m’asseoir ainsi, j’essaierai de me retirer pour me ressourcer parce que qu’avec le charbon, on ne peut plus rien faire d’autre ».
PERE SOFFO m’a regardé et dire : « Lumière, je te connais, mais ils ne te connaissent pas ; seulement, ma fille, ma crainte ici tous les jours c’est leurs vies. Hélas, ils ne veulent rien comprendre. Ce que tu as donné à tes enfants à Douala, aide-moi à donner aux gens de Yaoundé »
Je me suis levée et dire : « Papa, nous allons demander ensemble. Quand le Ciel voudra, tout sera arrangé ». Il me dit : « je suis réellement sur la braise du feu, comme tu le dis » c’est alors que j’ai ajouté : « les gens de Yaoundé ont entendu parler de Yaoundé comme capitale politique et ils transforment politiquement (politisent) même ce qu’il ne faut pas. La réalité divine n’est pas de politiser, mais plutôt de dire la vérité ».
C’est ainsi que PERE SOFFO continuera à vivre dans la merde. Fatigué de sa maladie, beaucoup de SOFFO sont nés ici au Bureau Lumière. Beaucoup des prophètes ont inondés le Bureau Lumière tellement, on revient ici au camp déclarer que : « PERE SOFFO avait dit que tel est prophète »
Qui est donc celui qui a aussi annoncé sa venue ? (Ndlr : La venue de ce prétendu prophète dont vous voulez nous présenter ?) Comme a été le cas de PERE SOFFO ?
Fâché à son retour de la maladie de Douala, PERE SOFFO déclara : « comment est ce qu’en si peu de temps que je m’absente ainsi ces dérapages s’installent ? » Et ajoute : « on nait prophète, on ne devient pas prophète ».
*Cela n’a pas empêché que certains d’entre vous disent que PERE SOFFO a donné pouvoir à Pierre, le servant grand Pierre. Cela n’a pas empêché que grand Pierre (servant), et d’autres se soient autoproclamés prophètes.
*Vous tous, vous êtes allés mettre le feu aux fesses de GHOMFO (porte parole de PERE SOFFO, née Marie MBEZELE épouse TAKOUTCHEU et lui dire : « prends ta place. Ne laisse pas, reprends ta place ». Heureusement, celle-ci a compris et déclaré : « ne m’induisez-pas en erreur, je ne serais jamais prophète » malgré cela, ça n’a pas été facile.
*Cela n’a pas empêché d’aller voir Ma Miché (Micheline FOALENG, servante assistante) et lui dire : « le Père t’a donné un pouvoir en faisant de toi ASSISTANTE, récupère ta place arrachée par Marie Lumière ».
Je vous dis la vérité et c’est là où vous n’allez pas me supporter. Si je veux sortir de moi, vous ne me supporterez pas. Et à son tour on va l’enlevez et l’inciter à aller reprendre « sa place » ; « vas, vas ! Vas prendre ta place ! »
POURQUOI DETESTEZ-VOUS LA PROPHETESSE MARIE LUMIERE ?
Pendant que je suis à Douala, qui est monté ici avant que j’ai refusé ? C’est ce que vous devez comprendre. Chaque personne a sa place. Je ne suis pas monté au Bureau Lumière et m’asseoir sur un banc avant de rentrer ici où je me trouve. Je ne suis montée et ne me diriger qu’ici. Depuis les années, cette place est là. C’est ici que je viens m’asseoir.
Et je vous préviens d’avance. Ne portez pas…, « ne ramassez pas des ordures pour salir votre vie en croyant que vous êtes en train de me haïr ».
Au lieu de …. Tout ce que vous êtes en train de faire là, apportez tout ce que vous voulez comme poison. Et je vous le dis : « tu mets même le poison dans mon repas, si je ne t’aime pas, je mange. Cela retournera sur toi et tu meurs » comprenez moi bien.
« Et si je t’aime, je refuse pour te sauver la vie. Attention avec moi ! Attention ! »
Personne en montant ici au camp n’a tenu la main de l’autre. L’eternel Dieu vous a interpelé tous de venir le suivre. Et si quelqu’un voit que ça ne va pas et qu’il veuille partir je lui ouvrirai grandement la porte pour qu’il s’en aille et laisse alors les brebis de Dieu continuer à venir prendre la PAIX. C’est ce que vous devez comprendre.
Quel est cet emballage qu’on ne cesse d’attacher les gens qui s’efforcent à vouloir mieux faire ? On les attache, on les emballe.
PERE SOFFO ETAIT SUR SA BRAISE DU FEU, L’HOMME LA A SOUFFERT !
« PERE SOFFO était sur sa braise du feu, l’Homme là a souffert ! L’Homme là a souffert ». Vous l’avez mis dans le désordre avec l’Eglise.
C’est toujours vous qui parlez de lui au même titre que Jésus.
C’est toujours vous qui revenez dire : «Il gonfle trop» ; « Tout ce qu’il dit là est zéro ».
C’est toujours vous qui venez « chier » (gaffer) ici au Bureau Lumière, et dès qu’on vous dit que ce n’est pas bon, vous retournez vous recroqueviller à l’Eglise pour mettre les prêtres en conflits avec le Bureau Lumière pour les induire en erreur.
Une œuvre qui vient de Dieu, que personne n’essaie de croire pouvoir combattre le vent. Car vous ne saurez pas d’où cela vient et où ça va.
PERE SOFFO a souffert. Il était sur la braise du feu à cause de la mauvaise compréhension. Puisque beaucoup sont venus, on ne sait où, dans ce milieu de Dieu, ils ont vu cela et veulent s’y installer sans toute fois abandonner là où ils viennent, leurs vieilles nature.Ici, devant le Seigneur Dieu, c’est à choisir.
PERE SOFFO TERASSE PAR CES GRANDES MALADIES
Jusqu’au moment où PERE SOFFO se trouvait à l’hôpital, il va se faire dialyser et retourner devant vous. Il est devant vous, debout malade et vous sert.
Un jour il me dit : « Luu, (Lumière) si un jour tu arrivais à te sentir fatigué, repose-toi. Si non, tu ne supporteras pas ». Il ajoute : « regarde-moi, un homme qui porte en lui plusieurs maladies »
*L’estomac (l’ulcère gastrique) ne le laissant pas.
*Le cancer du cœur ne le laissant pas.
*Le foie n’était pas normal (l’hépatite).
*Les reins étaient foutus (l’insuffisance rénale).
*L’arthrose(le mal des Os).
*Ainsi que le mal de nerf.
Tout ceci et l’homme là supportait pour vous servir.
Un jour, son médecin l’invite et lui déclare : « tu es un homme mystique. On ne te comprend pas. Quand on observe tes clichés on constate qu’aucun de tes os ne touche l’autre. Comment marches –tu donc ? ». Il était dépassé par cet évènement.
LES DERNIERS MOMENTS DE VIE DE PERE SOFFO SUR TERRE :
PERE SOFFO GUERIT UN CANCEREUX COMME LUI ET MEURT !
Revenons à ses derniers moments pour dire que, interné à l’hôpital Général de Douala, il trouve une femme dans sa salle d’hospitalisation qui prenait tellement bien soin de son mari souffrant du même cancer que lui. Il s’adresse à cette dame ainsi : « madame, tu as bien tenu ton mari et je réalise que tu l’aimes bien. Je vais le faire rentrer à toi pour que tu continues à l’aimer ». La femme dans sa précipitation répond : « oui, papa. Mais qui es-tu ? D’où viens-tu ? » Avec enthousiasme PERE SOFFO, gravement malade, s’est levé de son propre lit d’hospitalisation pour porter une bénédiction au mari cancéreux de la femme avant de retourner se coucher sur son lit. L’homme a guéri et est sorti dès cet instant de l’hôpital. Le lendemain très tôt le matin, la femme reviens pour remercier PERE SOFFO et constate qu’après eux, il était décédé. La femme a fondu en larmes et c’est ainsi la dernière personne que PERE SOFFO a guéri sur terre avant d’être rappelé à Dieu. (Ndlr : vifs cris d’applaudissements de la foule pour saluer cette dernière action physique de PERE SOFFO sur terre)
-Bonne fête !
-Merci maman !
-Alors, pour continuer, voila la fin des choses. Voila comment il termine.
LE CALVAIRE DE MARIE LUMIERE APRES PERE SOFFO
Et dès lors, est-ce que je devais être tranquille ? C’est un nouvel épisode de ma vie qui commence après le départ de Père.
Après ce départ, j’ai subi beaucoup d’autres difficultés au point où je me suis ressaisie pour me demander si j’étais le sapeur pompier de ses œuvres ? D’où vient donc mon malheur dans tout cela ? La prophétie n’est pas un service qu’on apprend.
Lorsque Dieu me demandait de le servir, nous sommes en 1976, toute petite, la sainte mère m’amena sur une montagne et me présenta cet homme sur une montagne qui avait tellement travaillé pour sauver les Hommes et ce sont ces mêmes hommes qui l’avaient lapidé. C’est alors qu’elle m’ordonna de travailler. Moi j’ai répondu : « je ne peux pas. Tu me demandes de faire ce que les gens ne comprennent pas. En plus pour devenir comme cet homme que j’ai vu là ? Non, je ne veux pas ! »
Aujourd’hui, je me rends compte que c’était pour me préparer d’avance afin que je sache ce qui m’attendait. Alors, vous, j’espère qu’après le départ de PERE SOFFO, jusqu’à ce jour, on ne s’occupe que de succession. On ne danse que le « before for back ».
Quoi que vous fassiez, je vous le dis, cela n’engage que vous seuls si vous ne voulez pas écouter.
DESORMAIS ON FETERA SPIRITUEL AU BUREAU LUMIERE
Voila une fête, chaque personne est aujourd’hui en train de vouloir se manifester à Dieu pour remercier Dieu pour ce qu’Il a fait dans sa vie. Et s’il est n’importe quoi aujourd’hui, c’est à cause de ce que Dieu lui a fait. Il se réjouit pour Dieu et non pour moi. C’est chaque personne qui sait ce qu’il manifeste à Dieu pour le glorifier en cette fête. Chacun manifeste sa joie à Dieu à cause de ce que celui-ci a fait.
C’est l’occasion pour moi de vous annoncer que prochainement, nous fêterons à une autre dimension. Il s’agit de fêter spirituellement. Une dimension de fête qui ne s’est jamais passé à Yaoundé.
Samedi 31 juillet 2010, vous avez vu comment vos frères et sœurs de Douala ont fêté spirituel. N’était-ce pas beau ?
-Ce fut très beau maman (Ndlr : répond la foule)
-Savez-vous ce que veut dire fêter spirituel ?
-Non maman !
-Comprenez-moi bien ! Fêter spirituel c’est fêter sans vouloir chercher ce que l’on doit manger en disant :
« Seigneur me voici, nourrit ma chair et mon esprit à travers les chants et danses ».
Puisque notre organisme a besoin de ce que nous mangeons et du soutien spirituel pour vivre en harmonie avec Dieu.
-Il n’y a pas de mal au sujet de la nourriture parce que vous êtes des gens qui comprenez de tord à travers. Il n’y a pas de mal sur ce que l’on mange. Tout au contraire, il n’y a pas de mal si on bénit le repas. Le Seigneur peut mettre sa grâce sur ce repas afin qu’il devienne médicament pour ceux qui la mangent. Seulement, apprenons à vivre aussi au rythme qui est sa parole de vie.
-N’est-ce pas ?
-Oui, maman.
-Que ceux qui ont des oreilles entendent. Bonne fête encore !
-Merci maman.
REMISE DE COUPE DE BONNE CONDUITE DU BUREAU LUMIERE
Elles ont remporté ce trophée pour l’animation, Un peu de bon comportement et
L’organisation. Ainsi donc, pour l’ensemble du Bureau Lumière, les mères d’enfant de Lundi remportent le trophet. (Ndlr : vifs cris de joie).
DESCRIPTION DU DIT TROPHET
Ceci est le MAP-MONDE, c'est-à-dire : le monde entier qui est très utile.
Sur ce MAP-MONDE, on ne peut reconnaître tous les pays du monde entier avec toutes leurs organisations sur cette planète terre. On peut reconnaître les mers, les rivières, les océans, l’organisation de chaque pays du monde etc.
Il n’y a aucun pays au monde qui ne figure pas sur ce MAP-MONDE de même que le continent Afrique. Ceci veut dire que les mères de lundi ont porté cela dans l’endurance parce qu’elles ont enduré à chaque moment pour monter à la carrière pour prouver au monde ce que c’est que le Bureau Lumière, sans crainte et sans peur. Comme dit un adage : « une vieille mère a encore peur de quoi ? » (Ndlr : vifs cris de joie)
Elles ont encore porté cette coupe à cause de ce qu’elles ont eu à s’unir pour se concentrer et voir comment elles pouvaient faire pour plaire à Dieu.
Chaque lundi, quand vous arriverez ici, placez cela au podium, ensuite gardez cela à votre départ. Si un autre groupe veuille toucher à cela, qu’il fasse des efforts pour le toucher.
Il faut noter que c’est à cet instant que le Ciel va réaliser la prophétie annoncée par maman Marie Lumière au début de son message du jour.
En effet, une dame, la soixantaine sonnée, surgit dans la foule, dans son handicap, elle se sert d’une béquille pour marcher suite à un accident de circulation qu’elle a subit il y a quelques années et qui l’avait cloué sur son lit de l’hôpital et à la maison.
Elle lève la main pour demander à chanter. Dans la précipitation et l’enthousiasme, elle sautille à l’aide de sa béquille vers le microphone et criant à maman Lumière encore placée debout au podium en disant : « maman, pardon ! Pardon ! Maman pardon ! » Maman Lumière la fixe et ne dit mot mais garda le silence en voyant la chantre NANA Florence, ancien personnel civil militaire, infirmière en retraite et chantre de lundi au Bureau Lumière camp de lundi spécialisée dans les chants en langue Bangangté. Celle-ci arrive enfin au micro et leva comme par le passé sa voix. Il est à noter que depuis son accident dès qu’elle a repris le camp, elle était hospitalisée au carreau des grands malades. C’est de la qu’elle surgira de façon imprévu. Maman NANA va alors lever une très grande louange en Bagangté au Seigneur pour Le remercier de ce qu’Il a accordé au groupe de lundi.
Chant CH-1 :
« Ghamtə Yawé…Allélua ! »
Lorsque essaiera de trémousser ce chant à la manière qu’elle s’y connaissait bien, au rythme de Ben-skin maman verra sa difficulté à lever le pied pour danser. Dès qu’elle cessa et se mis à sauter pour retourner à sa palace, elle fera un faux pas qui a risqué la renversé, tout ceci sous le regard attentif et tout concentré de Maman Lumière, prophétesse du Dieu vivant. Maman Florence, terminera son chant par une chorégraphie spéciale en employant des termes flatteurs comme.
-« Appétit. » la foule répondit
-« Merci »
-« Appétit encore ! »
-« Merci »
Puis elle s’éclipsera sous les you-you de la foule.
ET LA VOIX DE L’ETERNEL ORDONNA MICHELINE RETIRER SA BEQUILLE
C’est à cet instant que la prophétesse du Dieu vivant, Marie Lumière appela la servante assistante Micheline FOALENG. Elle voulait s’avancer et maman Lumière lui ordonna d’aller récupérer la béquille que se servait cette dynamique et très joviale maman. Voici ce que dit maman Lumière : « Micheline, khui pəἠ yə bii ! » «Ndlr : Micheline, récupère lui cette béquille ».
Sous les tonnerres de cris de la foule, maa Micheline s’avança vers elle et lui demanda de lui remettre la béquille. Aussitôt dit, aussitôt fait !
Seulement, elle restera momentanément sur place se tenant difficilement debout sur elle avant d’avancer en boitant vers le centre proche du micro sous le regard de maman Lumière.
Dès qu’elle essaya d’avancer, les cris s’élèveront davantage au très haut pour glorifier le Seigneur pour ses merveilles.
A pas lent et sur de petits sauts, maman Florence NANA retournera au micro et d’une voix joviale repris sa chanson par ces mots.
« -Appétit !
-Merci.
-Appétit maman.
-Merci.
-Appétit maman Marie Lumière.
-Merci.
Puis poursuivra par un autre chant
Ce chant sera pris de tout cœur par l’ensemble des Hommes d’Amour et de Paix du Bureau Lumière et c’est alors qu’accourent les voisins du camp ainsi que les curieux qui sortiront massivement pour venir voir ce qui se passent au juste au camp.
Durant près de 10(dix) minutes, cette maman va succéder des chants de louanges et organiser par là un mini concert qu’elle même animera par ses pas de danses et son énergie qu’elle déploiera comme si elle n’avait aucun problème au pied. Maman Lumière prendra de cœur ces chants et dansera à la gloire de Dieu. Quel spectacle ! Il fallait être présent pour vivre en direct cet évènement mystérieux !
On a à un moment vu maman NANA danser, trémousser puis engager une course de vitesse le long du podium devant des milliers d’Hommes d’Amour et de Paix ainsi que des curieux. Maman contaminera de joie tout le monde présent.
C’est par la suite que la célèbre louange : « Maman, tu nous Wanda » sera exécuté par Mefo shə Michelle de Douala –Maképè. Relève la température qui a été très haute et ouvrant ainsi une brèche dans la réalisation de la prophétie annoncée en début de message. Voici un extrait de ce chant :
« Maman Lumière, tu nous Wanda, tu fais voir les aveugles, tu fais parler les muets, tu fais marcher les paralysés, vraiment tu nous wanda ! »
Ce chant est alors pris de cœur par l’ensemble du Bureau Lumière.
Chant CH-2 :
« Wanda, wanda, wanda, wanda, wanda »
Voici la Réaction de maman Lumière.
-Gao !
-Ooh !
-Asseyez-vous ! Micheline enlève la bande sur son pied là ajouta-t-elle.
Aussitôt dit, ma’ a Micheline se précipita sur son pied et débanda.
« Revenons à nos moutons » cria maman Lumière. Elle ajouta : « je sais que je ne suis rien, mais je sais que Dieu est grand »
UN DEUXIEME MIRACLE : « MAMAN MA FILLE MARCHE ! »
Sans même terminer de parler, toujours dans le carreau des grands malades, une dame cria : « maman ma fille marche. Elle marche».
Maman Lumière demande : « ta fille marche ? »
« Oui maman ! »
« Hoo ! A so’ » ! (Ndlr : un jour pas comme les autres)
C’est la grande joie qui à nouveau se lève au plus haut dans le Ciel. Et maman, regarde le Ciel. Et maman regarde, fixe la scène, déclara à haute voix : « ne l’étouffer pas. C’est une fille qui est restée depuis couchée, paralysée. Elle a marché »
C’est ainsi, que tenant sa maman, elle a fait des efforts, sourires aux lèvres pour marcher à petit pas en direction du micro placé au centre de l’ère de danse devant le podium de la mère. Sous le regard concentré de maman Lumière, la petite fille en question a marché jusqu’au micro avec sa maman. Sa maman fondue en larme de joie s’est mise à pleurer en lançant les paroles reçues pendant sa souffrance.
C’est dans cette ambiance que la prophétesse Marie Lumière va lever sa voix au plus haut pour glorifier le Seigneur en ces paroles :
Chant : CH-3
« Je chanterai de tout mon cœur les merveilles de mon papa Yahwé,
il m’a ôté des ténèbres, il m’a délivré de tout péché.
Mon papa est fidèle, il ne m’abandonne jamais,
je n’ai plus rien à craindre car Yahwé m’a libéré !
Je suis dans la joie, une joie immense,
je suis dans l’émotion car Yahwé m’a libéré… »
C’est alors que cette jeune dame la trentaine sonnée physiquement plus vieille que son âge a cessé de pleurer pour prendre en chœur le chant de maman Lumière.
Réaction de Maman Lumière à chaud
-Gao !
-Ooh !
-Est-ce que c’est moi qui les ai touché ?
-Nooo ! Non, maman !
Arrivée au micro, cette femme écrasée par le poids de la douleur et la souffrance supplie maman pour parler. « Pardon maman, je veux parler au peuple ».
Maman l’observa avec beaucoup d’attention et la laissa parler au peuple en ces termes :
« Peuple de Dieu, Ooeuh ! Ça c’est mon unique enfant accouché par césarienne. J’ai déjà contourné tout le monde entier. L’enfant s’est levée un matin et m’a dit : « maman, j’ai eu les crampes ». Elle partait à l’école publique Bastos (à Yaoundé). Elle s’est vu subitement paralysée tout d’un côté. Elle a cassé mon dos à force de la porter. Je suis jeune fille de moins de 32 ans, mais je suis déjà vieille à force de porter cet enfant sur le dos.
Eh ! Peuple de Dieu, hier dans le taxi, je partais ici au marché Jean VESPA (Ndlr : aussi appelé marché de PERE SOFFO situé juste à 100 mètres de l’entrée du camp de PERE SOFFO au lieu dit Gros Bouquet). J’ai rencontré une vieille maman dans le taxi qui m’a dit : « maman, pourquoi chercher très loin ce qui est à côté de toi ? (Ndlr : en pleures elle continua).
Maman, c’est ainsi que je suis venue ici aujourd’hui. (Ndlr : tonnerre de cris de la foule ; elle poursuit)
Après la mort de son père, ma belle famille a tout pris chez moi. Je leur ai dit restez avec et laissez moi mon unique enfant parce qu’ils avaient dit que je ne peux pas accoucher. Ils sont restés avec cela. Mais ils n’ont rien pu trouver que de paralyser cet enfant en déclarant que si on la laissait elle gagnera les biens de son père.
J’ai dit : « restez avec cela et laissez mon enfant ». Merci maman ! Merci maman ! Merci parce que cet enfant peut marcher si je la soutiens.
Seulement elle ne peut que vous entendre parler parce qu’elle ne peut pas vous répondre.
Aujourd’hui, elle est descendue de mon dos. Merci Seigneur ! Merci !
Elle poursuit : « je ne sais pas quoi dire Dieu amène-moi parce que Brenda est sauvé.
Amène-moi ô seigneur ! Amène-moi ! Amène-moi !Parce que je sais que cet enfant est sauvé
Eh ! L’enfant est enfin descendu de mon dos. Je peux enfin la laisser aller pisser seule
(Ndlr : elle a dans les pleurs déclarés ceci avant de soupirer de soulagements 3 fois)
Réaction de maman Lumière s’adressant à la servante assistante ma’ a Micheline (Ndlr : amènes-là)
Et pendant que maa’ Micheline et sa maman s’efforçaient à la conduire par devant maman Marie Lumière, prophétesse du Dieu vivant, maman a lancé ce chant de conversion et de traitement :
Chant : CH-4 « Jésus m’a dit. Alléuia !
Mets ta main dans ma main et viens.
Toute ta vie, tu seras mon témoin… »
Arrivée devant maman Lumière, la petite Brenda sourira et maman la touchera pour la toute première fois et lui demandera l’Eternel Dieu.
Maman Lumière à l’aide de son propre « Bonheur » (Ndlr : eau bénite) elle va souffler dedans et masser la petite Brenda sur toute la surface puis soufflera dans ses oreilles et lui imposer les signes de croix à l’aide de sa salive puis elle causera avec la petite Brenda qui sourira davantage, signe de soulagement. Ceci se passe en 8 minutes. Voila que par un sourire, maman Lumière remettra la fille entre les mains de sa maman après quelques recommandations pour son traitement. Ensemble avec sa maman, la joie aux lèvres elles descendirent du podium sous le regard de Maman Lumière.
Il faut noter aussi qu’au moment où la petite s’avançait vers le podium, la mère lui avait brandit le crucifix.
Au terme de ce traitement sous l’accompagnement des chants des malades, maman Lumière nous déclare ceci : « Oui ! Quelle journée ! »
Elle dit : « ça fait des années qu’elle porte cet enfant qui ne peut ni s’asseoir, ni se mettre debout, ni se coucher. Pour qu’elle aille pisser, il faut qu’elle soit à son dos. Tellement, elle a souffert. Mais elle est étonnée que elle même s’est mise debout toute seule en la tenant. Encore elle a été surprise qu’ici devant moi, que je l’appelle et elle réponde.
Elle ajoute que depuis lors, elle n’a plus jamais parlé, ni s’asseoir. Elle ajoute : « si je peux la tenir ainsi, je pourrai au moins la laisser à la maison et sortir moi aussi. »
J’espère que Brenda, Dieu a commencé en toi quelque chose et il doit terminer. (Ndlr : tonnerre de cris de la foule)
Aussitôt, maman Marie Florence, la première miraculée leva un chant de remerciement que les hommes d’amour et de Paix ont repris en chœur.
Chant : CH-5
«Merci Seigneur, merci,
Merci seigneur merci,
Nous n’avons rien à te donner,
Mais nous te disons merci ; merci Seigneur, merci ».
Pour ces merveilles Seigneur, que tu nous as donné,
Nous n’avons rien à te donner mais nous te disons merci,
Merci Seigneur, merci. »
Le sermon de la prophétesse Marie Lumière à la suite de ces merveilles :
-Gao !
-Ooh.
-Je continue à le dire :
« Seigneur, je n’ai ni l’argent pour la télévision, ou la radio, mais soit mon témoin. Parce que, j’espère que ce que Bureau Lumière a accompli, il faut que ceci vient dans l’ensemble pour parler au monde. » (Ndlr : vifs cris de la foule) Quelqu’un a chanté. Chant : CH-6
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En langue |
Traduction en français |
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Məἠ go ha yo kə si ca’ léé bəm a léé ? Məἠ go ha yo kə si ca’ léé Si a léé Yo mbu gang fa’ o , Yo lin a méé… bəm a méé. |
Que te donnerai-je ici bas Seigneur? Que te donnerai-je ici sur Terre mon Dieu ? Observe ta servante/ton serviteur ; observe mes mains ; Regarde à quoi je ressemble pauvre que je suis; Observes-moi. |
Je sais que vous m’excuserez pour cela.
Ce chant fut repris de tout cœur et restera célèbre après cet évènement. Ce Mardi 03 AOUT 2010 fût mémorable et resta gravé dans les mémoires et dans l’histoire du Bureau Lumière. A travers ces évènements, inutile de rappeler sans risque de se tromper que l’Esprit de PERE SOFFO était bel et bien présent. Quelle journée ! Il fallait y vivre en direct pour comprendre! Dieu soit loué !
Prise de vue, de son, Transcription, traitement: Michel KAKE.
.Fait à Yaoundé, le 5 Août 2012.