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COMMENT CONSOLER UNE FEMME QUI ACCOUCHE ?

Revenons un peu à ce mécanisme de consolation.

Quand une femme en maternité veut accoucher, pour une bonne sage femme, elle devrait lancer les blagues à la patiente du genre : « Hééé, comment tu cris encore ? Quand c’était bon tu as jubilé, maintenant, supporte aussi. Fais un peu d’effort madame, bientôt ça va finir » dans cette situation l’enfant sort sans que la patiente ne sente la douleur.

Alors on doit comprendre pour notre gouverne que si le Seigneur dit : « aimez-vous les uns, les autres », on doit se donner mutuellement des mots de consolations pour supporter les difficultés du quotidien.

Je reviens encore à cela. Quand vous êtes malades, les vôtres viennent vous regarder. Parfois on ne vient pas tous vers vous, mais quand celui que vous aimez le plus ne passe pas près de vous alors, vous êtes tellement affecté, choqué et attristé. Dès lors qu’il apparait, vous fondez en larmes et vous vous lamentez terriblement. Lorsque cette personne vous donne des mots de consolation, vous vous sentez alors soulagés. Quant à la sage-femme, par ces mots de réconfort, du genre : « ça va aller. Dieu est avec nous. Du courage. Respire. Pousse un peu fort, vas-y. Du courage vas-y ! » Pendant que la patiente l’écoute, elle a comme impression que la douleur s’éloigne et elle finit par accoucher dans la gaité, sans douleur.

Ceci étant, la femme avait voulu avoir quelqu’un près d’elle, qui va souvent lui dire : « Asshia », « patience », « du courage » etc

Quant à l’homme, il ne connait pas la douleur de la maternité. Certains hommes ne prennent pas part aux douleurs de leurs épouses et cela fait de la peine à celles-ci. L’homme devrait comprendre que la femme est un côté de lui. Alors ceci devra lui permettre de laisser son côté difficile et de compatir aux souffrances de son épouse.

Je vais un peu vous amuser. Un jour, nous avons reçu l’une de vous qui avait des problèmes dans son foyer avec son mari. Elle a dû fuir pour aller chez ses parents et elle fût renvoyée. De retour chez elle ça ne tenait toujours pas. Elle sera encore renvoyée par son époux, elle fera appel à ses frères pour aller un peu menacer son mari. Lorsque ses frères arrivent chez elle et commencent à le ruer de coups la femme se jeta sur ses frères et défendît  encore qu’ils ne tuent son mari.

« Non, ne le tuez pas. Il fait comme ça, mais, il m’aime ! Même s’il ne m’aimait pas, c’est le père de mes enfants. Laissez-le !  Je ne vous appelais pas pour que vous veniez le tuer. Je venais pour que vous veniez arranger et non pas pour le tuer !» C’est ainsi que criait la femme.

Ce sont des choses que vous faites chaque jour. Vous ne cessez jamais de crier, mais si vous amenez la violence, on n’accepte pas » (Ndlr : intenses moments de rire)

C’est pourquoi on a réalisé qu’à cause des douleurs de l’accouchement, les femmes sont vraiment maternelles et patientes. Elle est patiente à cause des difficultés qu’elle endure tous les jours. Cela amène la femme à la patience.

Ceci étant, il fallait en cette journée du 8 Mars réfléchir et refuser la violence la brutalité, ne pas se faire animal. Mais il fallait chercher à remédier à la situation. Bonne fête du 8 Mars.

-Merci, maman (Ndlr : intenses moments de joies, de jubilation et d’acclamations). Nous sommes maintenant à ceci

LA SITUATION DE LA CÔTE D’IVOIRE/ UNE MAIN SATANIQUE / LES SECTES ATTAQUENT.

Les mères que vous êtes mettez encore vos genoux par terre pour prier pour vos frères Ivoiriens pour ces grands affrontements. Même comme ça ne dure pas trop, prions que le Seigneur puisse les exhausser. Nous devons continuer même en ce début de carême. En ce début de carême, remarquez que chaque année à cette même période, on vit un évènement pareil dans le monde. N’est-ce pas vrai ?

-Oui, maman

-Mais cette fois-ci, nous avons demandé à Dieu depuis hier, Lui qui a voulu envoyer Jésus comme celui qui va tenir nos fardeaux qu’il puisse nous tenir pendant cette période pour alléger nos fardeaux afin que cela puisse nous suffire à porter. Alors depuis hier, nous le supplions pendant tous ces moments pour nos difficultés de vie afin qu’Il nous envoie encore son Esprit Saint pour toucher les Hommes de ce monde. Nous Le supplions de ne pas accepter la domination des sectes, de la sorcellerie de tous ces sociétés sécrètes dans ce monde, mais que Dieu Lui-même soit vainqueur, le premier et le dernier comme Il nous avait dit et qu’Il continue à l’être.

Nous supplions qu’Il soit vainqueur, qu’Il brise la force du mal. Qu’Il écrase de manière que ce mal ne nous effrayera même pas. Qu’Il fasse que ce mal n’influence personne.

Qu’Il nous donne le courage et la force pour que nous puissions affronter toutes ces difficultés avec beaucoup de courage. N’est ce pas ?

-Oui, maman.