A QUOI SERVENT LES MESSAGES DE TOUS LES JOURS ?
Quand vous comprenez les messages de tous les jours au BUREAU LUMIERE, cela vous aide à mieux vous conduire pour échapper aux pièges du démon. C’est pourquoi, vos ennemis n’accepteront jamais que vous priiez ou bien que vous montiez à la CARRIERE. Alors, revenons à ceci.
-Entrons plus en détails d’accord ?
-Oui, maman !
-Ça concerne tout le monde.
Nous venons de voir que le démon possède l’Homme en emprisonnant son esprit et en s’installant lui même dans le corps du possédé.Il emprisonne ton esprit et répond en toi en place et lieu de la silhouette de cet esprit. Pendant qu’il agit en toi, il t’utilise ainsi que tes forces pour faire mal aux autres. Entre parenthèses.
QUI DISCUTE LA PLACE DES PROPHETES ?
Certains même pensent qu’en venant ici au Bureau Lumière, ils vont prendre encore des forces pour aller faire davantage mal aux autres. C’est pourquoi vous désirez trop la chaise et la place. Beaucoup envient la place des prophètes. Pensez vous que si l’on me prend et me découpe, on trouvera cette puissance en moi ? Je vous dirai : NON. NON et NON ! Et c’est ce que les Hommes ignorent.
VOICI COMMENT OPERENT LES SORCIERS
Alors comment opèrent donc les sorciers ?
Ces sorciers guettent les esprits des gens. Ils possèdent des miroirs sur lesquels dès qu’ils vous appellent nommément, par votre nom, ils vous voient apparaître et peuvent ainsi vous contrôler où que vous vous trouvez.
Et le plus souvent, ils font cela entre eux. Un sorcier utilise l’esprit de l’autre et vice versa. Viens lui demander de manger la chair et cela ne lui fera absolument rien. Entre parenthèses.
Dans mon quartier au village, il y avait certains papas sorciers qui avaient tellement pratiqué la sorcellerie que dans le village, on avait dû changer le moment de sortir des classes. Au lieu de 12 heures, les enfants sortaient plutôt à 11 heures.
HISTOIRE DRAMATIQUE VECUE A BANDJOUN
Tout a commencé devant moi. Un jour, en provenance de Douala, je sors du car et descend à pied la colline qui arrive chez nous. Pendant ce temps, un papa avançait devant moi en se lamentant : « Hé ! Tel m’a coupé le cœur. Je veux couper sa tête ! »
Le type ne cessait de s’exclamer à haute voix ainsi. « Il m’a coupé le cœur ! Je vais couper sa tête »
Arrivée à la maison, j’ai raconté cela à ma maman. J’ai croisé tel en chemin, il criait : « tel a coupé son cœur, je vais lui couper la tête »
C’est alors que ma mère s’écria et m’expliqua ceci : « Aujourd’hui, sa femme m’a trouvé au champ en train de cultiver et elle s’est mise à pleurer. Elle m’a dit que parfois quand elle est en train de préparer, elle voit des pièces d’argent dans la nourriture ». « Et je lui ai répliqué qu’au moment où elle voyait cet argent, elle devait attendre venir son mari pour lui montrer cela ».
Quand ma maman m’a parlé ainsi, au même moment, nous avons suivi les cris et les pleurs aussitôt, nous avons suivi les cris et les pleurs du quartier. On a alors annoncé que cette maman qui suivait son enfant malade à l’hôpital venait juste de mourir laissant le malade. C’était une consternation totale. Ce deuil a fait mal au village. Je vous raconte une histoire réelle vécue et dont beaucoup d’entre vous en connaissent. C’était une consternation générale.
Le jour de l’enterrement venu, alors que cette maman était membre d’une réunion de femmes du village. La danse məsuu (Ndlr : une danse de noblesse que coiffe une reine dans Bandjoun dans la Région de l’Ouest du Cameroun.)
La Reine responsable de cette danse (Məfo) avait ordonné que cette danse s’exécute à l’occasion de l’enterrement de cette maman qui est une de ses membres. Cette Reine fâchée avait déclaré que la maman en question qui était décédée était comme les deux bras de cette Reine et qu’elle en est aussi morte. Et à cet effet, elle interdit qu’à l’enterrement, ses fidèles boivent ou même mangent ce que le mari de la défunte leur donnera.
Et si elles prenaient, qu’elles ne mettent plus jamais pied à son domicile puisque voir cette femme mourir et tuée par son mari était elle-même la Reine tuée par l’homme en question.