L'AMOUR DE DIEU
Tout est devenu commerce. Attention ! Jésus vient nous apprendre l’entraide dans une chaîne d’amour.
L’amour ne jalouse pas.
L’amour ne connaît pas la haine.
L’amour ne connaît ni discutions tribales, ni quelque chose de fâcheux.
Aujourd’hui vous entendez dire : « Elle n’est pas de chez moi ».
Je vous le dis en vérité, il n’y a pas deux Cieux. Il n’y a qu’un seul Dieu et un seul Ciel pour tous.
L’amour n’a pas de frontière.
L’amour ne connaît pas de discussions triballes.
ENTRETENEZ L’AMOUR , ENTRETENEZ LE CHRIST.
Oui, l’amour, il faut l’entretenir.
Il faut entretenir l’amour comme on entretient quelque chose pour le faire grandir. C’est de la même manière que vous entrenez des relations. De quelle manière ?
J’ai dit aux femmes de Lundi que si elles étaient sages, c’est qu’en ce moment qu’elles lutteraient jusqu’à être convaincues que le Christ est installé en elles ensuite continuer à le maintenir en elles et lutter avec acharnement pour le maintenir en elles. Que chacune lutte jalousement pour qu’Il demeure en elle.
Aucune femme dans une famille polygamique n’a jamais dit : « Notre mari », mais elle dit : « Mon mari » même si elle est dernière femme. « Ya ! Mon mari ». Ce qui signifie que l’Amour la pousse à être égoïste et à lui appartenir seule.
CHRIST VIENT APPRENDRE À PARTAGER
Jésus vient dans cet amour immense nous apprendre le : « NOTRE PERE », signe de partage. « Celui-ci, c’est notre Père ensemble. Ne croyez pas qu’Il n’est qu’à moi seul ». Il est toujours signe d’Amour. Il n’y a pas de plus fort amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. Quand on aime on contemple ; on regarde, on observe. On ne voudrait pas que quelque chose touche ce qu’on aime.
Regardez deux ami(e)s, lorsque nous étions encore jeunes, qu’est-ce qui se passait, tu vas accompagner ton amie. En chemin, la causerie ne finit pas souvent très important. A un moment, vous vous rapprochez du domicile de l’un et retourner encore ensemble jusqu’au domicile de l’autre, ainsi de suite. Difficile de vous séparer. Il faut seulement s’arracher à soi-même pour se tourner et partir sans regarder derrière. Tout ceci parce que rester ensemble était si joyeux que l’on n’aimait pas se séparer.
Excusez-moi si je vous demande ceci. Est-ce que ce genre d’amour existe encore de nos jours ? Hein ?
- Non maman ; c’est rare.
- C’est tellement rare que lorsque tu regardes ton ami, tu tombes sur lui avec joie et de tout cœur.
