Actualité

Revenons à ceci.

L’éducation c’est la première des choses. L’éducation est la voix ultime qui peut amener l’enfant à devenir pauvre ou riche. Comme Dieu constate que vos parents n’ont pas été éduqués comme cela se doit, alors il crée le Bureau Lumière pour l’éducation Spirituelle. Ceci est dû au fait que ce que l’Homme fait dans ce monde n’est pas ce qu’Il veut.

A travers cette éducation spirituelle, il vous éduque dans le sens réel, dans son sens voulu. Dans l’éducation spirituelle Dieu nous demande de nous soumettre à ses commandements. Et Jésus Christ va revenir résumer ces 10 commandements en ceci « Aime Dieu, de toutes les forces, de tout ton esprit et de toute ton intelligence et aime ton prochain comme toi-même. »

Et en aimant son prochain comme soi-même, on rencontre le Christ en chemin.

Aimer son prochain comme soi-même ne veut pas dire : « donne ma part, je te donne ma part » cela ne veut pas dire « je te donne et j’attends en retour quelque chose de toi ! ».

Ça veut dire : « je fais mon devoir avec le peu que le Seigneur me donne. Si je te donne et que tu ne me donne rien en retour, c’est ton problème ; j’ai fait mon devoir ça veut aussi dire : « si je t’amène à la compréhension et tu ne m’écoute pas, cependant, j’ai fait mon devoir. »

A vous la jeunesse. Suivez attentivement.

L’Amour Spirituel est loin de la sexualité. Ne pas confondre l’Amour avec la sexualité. C’est deux choses bien différentes. On peut même faire cet acte sans aimer la personne avec qui on le fait. Mais quand tu aimes au sens divin, tu ne feras pas du mal à autrui. Tu ne peux pas faire mal à celui que tu aimes réellement au sens divin.

-          Est-ce une vérité ou pas ?

-          C’est une vérité

-          Ne pas confondre l’amour avec la sexualité. C’est deux choses différentes.

Puisque l’Homme à tout moment est hypocrite, avec la jeunesse actuelle, le sens de l’Amour n’est que matériel et non pas un amour de confiance. Le Seigneur Dieu dit : « Aime ! Aime ton prochain ».

Que veut-Il signifier par « aimer ton prochain » ?

-          L’Amour fraternel (une auditrice)

-          Aime ton prochain c’est au sens fraternel. C’est très bien Applaudissez pour elle ! et la foula acclama).

Le Seigneur ajoute : « Comme toi, même » Ceci c'est à quel sens ? Hein ?

« Comme toi-même », C’est au sens de la confiance.

Aimer : c’est l’amour ;

Comme toi-même : c’est la confiance

Revenons à ce concept Amour et confiance.

On se rend compte qu’aimer est différent d’avoir confiance. L’amour est différent de la confiance

Aimer :

Les Hommes de la terre aiment mais ne font pas confiance. Voulez-vous un exemple illustratif ?

-          Oui, maman.

-          Si maintenant on demande, « Qui aime Dieu ? » Tout le monde lève la main.

-          Maintenant : « Qui peut mourir pour Dieu ? » (une seule personne a levé la main dans la foule et Maman Lumière d’affirmer : « A té nwe â ! » (Ce n’est pas vrai).

Si on lève le couteau, tu vas fuir, répond elle ainsi à la personne.

-          Gao !

-          Ooh.

-          Vous passez du temps à aimer Dieu, mais ce manque de confiance qui pousse beaucoup de gens au désordre.

On aime, on prie parce qu’on aime Dieu. Mais, avoir confiance en Lui c’est un autre fardeau qu’il faut portez. Savez-vous pourquoi je dis cela ?

-          Non maman.

-          C’est parce que très souvent lorsqu’on est dépassé par des événements, on se sent faible et l’on pense que Dieu n’est pas avec soi.

-          Gao !

-          Ooh !

-          Où sont ceux qui ont échoué à l’examen ? Levez la main !

-          Ne vous-est-il pas arrivé un moment de douter de la présence de Dieu avec vous ? Vous vous êtes dit à un moment que si Dieu était avec vous, vous devriez réussir à vos examens. Hein ?

-          Oui, maman ! (Rire de maman)

-          Il vous est arrivé de dire ceci ; « Si Dieu était avec moi, j’allais arracher cet examen. » n’est ce pas ?

-          Oui, maman !

-          C’est vrai ou pas ?

-          C’est vrai maman.

Allons à cette phase qui est plus dangereuse. Gao !

-          Ooh !

-          Entre toi et Dieu, qui commande qui ? (rire de maman).

-          Savez-vous ?

-          Non, maman !

-          Vous avez des yeux que vous faites sans comprendre la signification.

Quels sont ces yeux ?

Par exemple : il existe ce jeu où pendant que l’on marche, on lui déclare : « Statut ! Pas de ! ». Et la personne à qui on a déclaré reste fixe et ne bouge pas ; ni respirer, ni regarder, ni rire. « Tu ne bouges pas ton doigt » ce sont autant d’ordre qu’on donne celui à qui on a taxé de « statut » à exécuter. A ce moment, vous qui déclarer cela à quelqu’un, prenez contrôle sur ses faits et gestes. Ce qui signifie que « maintenant que tu es totalement soumise à moi, ne bouge plus ».

Par contre, si tu bouges, cela signifie que tu refuses sa soumission. C’est un jeu que vous faites sans mesurer son ampleur. « Statut, pas de ». Tout ceci m’amène à vous dire que si le Seigneur déclare « Statut, pas de ! » qui veut-dire, j’arrête tout.

-          Gao !

-          Ooh.

-          Je me suis mise à rire lorsque même le plus paresseux qui driblait les cours s’est mis à pleurer après avoir échoué à l’examen.

« Maman, je croyais passer » je lui ai dit : « Assoies-toi ! ». Elle s’est mise assis et je lui ai dit ceci : « ma fille, échec, si tu passais, d’après moi, j’allais dire que Dieu est injuste ! Si tu passais j’allais être mécontente parce que tu n’as pas mérité cela.

Revenons à ceci. C’est très très pertinent. Faites attention de manger ce que vous ne méritez pas. C’est une autre phase qui est très dangereuse dans la vie de chacun.

Il ne faut jamais manger ce que vous ne méritez pas ! Dans notre entretien je lui ai demandé : « Ma fille, n’est-ce pas, de Septembre en Juin, tu n’avais que six au trop huit de moyenne, comment allais-tu faire pour obtenir cet examen ? »

Quand un cultivateur défriche, cultive et sème, il revient vérifier comment pousse sa semence pour avoir une idée de la récolte  attendue. N’est-ce pas ?

-          Oui, maman

-          « Tu sais ce que tu as semé »,

Tu récoltes ainsi ce que tu as semé ma fille celui qui t’a fait échoué a bien fait parce qu’il faut que tu prennes conscience, t’assoie à nouveau pour étudier, afin de mériter ce diplôme.

Revenons à ceci, très dangereux à votre vie.

Lorsque vous ne faites rien et que vous voulez réussir, il n’y a pas de différence entre vous et un voleur. « Non, j’ai mal fait je dois reprendre ». Voici ce que chacun qui écoute devrait prendre comme conscience. Alors, je voudrais que chacun qui échoue prenne conscience de sa faiblesse et se remet au travail afin de passer la prochaine fois.

Que celui-là révise ca vient qu’il fasse une introspection dans ce sens : « Peut être qu’au cours de l’année, j’ai été friande, j’ai passé mon temps à bondir de Paul à jacques de Jacques à tel.

Peut être parce que j’ai troublé jeannette ou autre. Peut être c’est parce que j’ai été insolent vis-à-vis des autres. Peut être que comme j’ai été fort, je me suis enorgueilli devant les autres. Hein ?

-          Ooh

« Peut-être que durant ce temps, j’ai eu à réfléchir plus sur les matériels de ce monde. » peut être que  durant l’année, j’ai toujours eu à fixer mes yeux sur les belles filles ; mes regards sont restés fixés sur les beaux hommes. Peut être que j’ai passé du temps à faire la caricature sur le genre d’homme ou de femme que j’aurai et j’ai oublié mon école peut être que durant l’année je me suis plus intéressé à l’argent plus qu’à ce que j’avais à faire.

Dès maintenant à chaque élève, qui a réussit ou pas, voici comment vous devez mesurer le niveau de votre vie pour savoir comment vous engagez prochainement. Septembre n’est pas loin. Je vous assure !

Samedi passé, 30 Juin 2011, lorsque les enfants de Douala, les 16 ans d’âge, s’étaient présentés pour lire leur engagement, cela m’était allé droit au cœur. J’avais récupéré leur message, et demandé à défaut de mieux conserver cela. Et chaque fois je les rassemblerai pour archiver et en produire un livre plus tard.

Tous ces discours, je les garde et je vais retrouver tous ces discours et les prochains pour les rassembler et produire un ouvrage. Qu’est ce que l’enfant déclare dans leur lettre d’engagement ? « Maman, je suis ainsi le fruit même du Bureau Lumière de Douala MAKEPE, nous venons ainsi, te supplier de demander à Dieu de nous fortifier d’avance, afin que nous ne vouvoyons pas le chemin ; que nous suivons là où nous sommes sortis » Vraiment c’était profond ce qu’ils avaient déclaré. Celui qui le premier à dire cela n’a que 16 ans d’âge et sera étudiante en 1ère année de l’université en cette année. Elle ira en 1ère année université cette année et cela me réjouit.

Tout ceci m’amène à dire que ; « Moi, j’ai vaincu celle qui m’avait déclaré ouvertement que : « tape ma main et je verrai si tu feras trois ans là où tu t’en vas. ». Ma réponse était la suivante : « Si tu fais 14 ans comme nous avons déjà fait ensemble je ne travaillerai plus jamais. Et seulement 7 ans après, tout était terminé. »

Ceux qui m’on vu danser de tout cœur samedi, ont peut être cru que c’est parce que la danse me plaisait, je leur dis : c’était la joie qui jaillissait du profond de mon cœur. En me voyant à 16 ans de souffrance dans ce camp du Bureau Lumière de Douala-Makèpé ; lorsque j’entends des mots pareils sortir de ces enfants, les fruits de ce camp, cela me donne encore plus de forces.

Revenons à ceci : Gao !

-          Ooh !

C’est vos les jeunes du Bureau Lumière à enseigner aux autres qui est Dieu, et ce qu’Il veut. Moi, je prends mon exemple, lorsque nous étions jeunes, j’ai souffert, de la SIL au CM2, où j’ai laissé les études, j’ai souffert parce que mon comportement.

Par rapport à ce que je faisais, on me donnait des sobriquets tels que : YAHWE, DJUIDJIE, DIEU-DIEU, on m’avait donné tellement de noms malgré tout cela ne m’avait pas faibli. Tout le bruit qu’on faisait quand on me voyait ne m’avait jamais affaibli dans ma foi.

Même aujourd’hui que je suis mère, j’ai encore trois sobriquets et cela ne m’a aucunement faibli.

A chaque fois qu’on m’intriguait avec ces sobriquets, j’avais dans ma tête une seule chose. Parenthèse, un soir, après ma prière, j’ai suivi une voix qui me disait : « lorsqu’on va te perturber dans ta prière, est-ce que cela t’embêtera ? » j’ai répondu par l’affirmatif. Il me réplique : « Non, ne te gène pas. Reçoit cela comme un fortifiant ». Si en disant des bonnes choses et les gens se décident à te rejeter alors sache que ce jour là, tu as suivi Jésus Christ sur le mont Golgotha parce que Jésus est parti dans la souffrance. Et que si ces gens te titillent un peu c’est que tu as un pas gagnant. Cela signifie que tu as un peu gouté à la souffrance de Jésus Christ » Tous ces propos m’avaient rendu forte.