Dans la chair, j'ai cru peut-être que je n'avais pas de soutien quelque part. Dans mon esprit, j’avais beaucoup de soutien mais j'étais bouleversée dans ma chair. Mais en passant par mon message qu'il vous a envoyé, je sais que j'ai le soutien moral, spirituel ainsi que dans ma chair. J'ai vraiment compris et je me battrai comme une lionne à tout bout et à chaque moment pour qu'un jour ou l'autre, le Bureau Lumière reçoive les mérites telles que l'Eternel Dieu l'a voulu. Aujourd'hui je reçois encore plus de force, comme une jeune mariée. De la manière dont vous avez pris les choses, c'est tout le quartier qui s'interroge : « Quel est cette jeune mariée aussi précieuse ? A tout âge on peut être encore neuf et manifester sa joie dans son foyer. Je dis encore grandement merci et mes encouragements à maman Berthe et à son compagnon Papa René. Je dis encore merci aux servants et aux servantes qui ont tenu durement. Je dis Merci à la « cloche », à la plus grande cloche du Bureau Lumière qui ne cesse de sonner tous les jours et d'envoyer leurs voix un peu de partout pour crier. A la plus grande cloche, je demanderai que votre voix puisse être perçante, que cela puisse traverser les clés des cœurs des Hommes qui ont été fermées et casse ces clés pour que l'Esprit saint par votre voix habite leur cœur. Félicitation à votre maman MARIE MBEZELE ! (Longs cris de joies), elle sait comment vous encadrer.
-Vous chiez sur elle !
-Elle est là ! (chantres),
-Vous bavardez !
-Elle est là ! (chantres).
Je dirai félicitations à l'Equipe de jeudi qui ne cesse jamais de dire : « on va voir ça ! » (Cris de joies).Aujourd'hui, je dirai encore à Papa DAVID, courage parce qu'il tient comme un homme. Un homme mûr qui sait ce qu'il fait. Je me tourne vers tous les malades du monde entier qui n'ont jamais cessé de marcher pour ne pas me faire honte, plutôt pour m'encourager tous les jours. Je dis grandement merci aux musiciens qui ne cessent de taper tous les jours. Je dis grandement merci encore, je n'ai pas oublié les autorités administratives (sourire) vous savez que lorsqu'un encadreur envoie les enfants devant, il est derrière. Je leur dirai encore grandement Merci et mes encouragements. Si ma voix peut percer le Ciel, je demanderai à notre Seigneur Dieu tout puissant que s'il y a un dernier (un sous gradé)que Dieu lui donne un grade plus élevé !
Alors Bonne fête !
-Merci Maman !
-Bonne fête !
-Merci Maman.
Vraiment, mon regard, mes yeux sont fixés sur vous. Mes mains et mon regard sont ouverts et tendus tous les jours pour vous recevoir. J’aimerai que vous sautiez comme un enfant qui apprend à marcher. Même si en chemin vous tombez, faites toujours des efforts pour vous tourner vers mes mains tendues. Je dirai à toutes les reines spirituelles, traditionnelles qu'aujourd'hui elles puissent comprendre qu'elles ont marqué un pas. Je leur demande qu'elles fasses d'autres pas pour continuer leur marche royale vers le vrai Roi qui est notre Seigneur Dieu, afin de prouver au monde comment l'homme peut mériter dans la simplicité, le titre de reine sur la terre, jusqu’au au Ciel
-Bonne fête !
-Merci maman !
LES PREMIERS PAS DE MARIE LUMIERE DANS LA PROPHETIE
Aujourd'hui, nous parlons de fête, voudriez-vous que je dise quoi ? C'est tellement long que je ne peux pas savoir par où commercer.
Me voilà toute jeune en fin 1980 que je reçois un message qui m'est demandé d'aller porter cela à Yaoundé à PERE SOFFO, J'y vais le lui transmettre. Après cela je lui dis « regarde-moi toute petite. Que ferai-je de ce travail face à ce monde? Dieu sait que je ne connais pas bavarder, je ne sais comment parler». Il se leva tout doucement et me dit : « Je lève aussi mes yeux vers le ciel et je demande à Dieu qu'il vous laisse un peu parce que vous êtes trop jeune. Je ne sais pas si vous pouvez maintenir jusqu'au bout ». Après cela, je quitte Yaoundé et arrive ici à Douala, quelques mois après en 1981, on me renvoie à nouveau à Yaoundé. « Allez le voir et transmettrez lui cet autre message. ». Ce jour, j'arrive et lui parle de sa propre vie. Depuis sa naissance jusqu'à l'instant où nous nous trouvions. Il se leva et me demanda : « Quel est ton nom? La dernière fois tu ne m'avais pas dis ton nom es tu une personne de ce monde ou bien un ange ? Et je répondis : « Le jour viendra où je t'expliquerai qui suis-je. » Me voici retournée à Douala. Plus tard en décembre 1981, je suis à nouveau envoyée à Yaoundé, bousculée par l'événement où le Seigneur Dieu me poussa de me mettre dehors pour son peuple. Les larmes ne cessaient d'envahir mes yeux.
Moi toute jeune et toute petite, je n'ai même pas joui de ma jeunesse, même de mon mariage, ni de mon enfance. Même rester tranquille dans ma propre chair ni dans mon Esprit à cause de la bousculade durant toute ma vie à partir de 0(zéro)âge jusqu'à l'âge où je devais trouver le Père pour lui dire le message dont j'avais reçu l'ordre de lui transmettre. Il me dit :« Je sais que tu es jeune, mais ce n'est pas moi qui t'envoie. Je ne peux rien. Il t'envoie mais c'est lui qui ira à ta place. » J'ai encore regardé le ciel et pleurer, avant de lui dire : « Papa, je ne veux pas encore cela. Je venais ainsi que tu me laves ces choses là ».Je marchais (pour ceux qui me connaissent), je n'avais jamais voulu lever les yeux comme ceci (Je sais que ce que je vais vous dire aujourd'hui est étrange dans le monde parce que les gens ne connaissent pas cela. Je suis obligée de vous l'expliquer même s'il faut que nous sortions à n'importe quelle heure) parce que le Ciel tout entier ne cesse de me dire 25ans c'est la médaille d'OR. Voilà comment je dis « Je suis venue vous voir pour que vous voyez si c'est possible de faire quelque chose pour moi. », et Père de me répondre « NON ».
