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RETOUR AU 25ième ANNIVERSAIRE 

Depuis hier soir, vous fêtez la 25e année de ma prise de service. Hier soir j'accueillais les reines Bandjounaises. Au moment précis où je voulais parler au Chef, c'est alors qu'il appela pour demander si elles sont bien arrivées et au même moment, il annonça que son épouse venait de m'accoucher. Ce n'est pas moi qui suis à l'origine. Alors je me réfère au calendrier traditionnel des bandjouns : « Sεdzu a lä' » et réalise qu'en ce 25e anniversaire, nous sommes « DZәdZә» (un jour du grand marché à Bandjoun), le jour où je suis née. Personnellement, je ne connais pas les dates en langue « yәŋ bә dzәdzә lә ma ? » (S'adressant aux reines) elles de confirmer. C'est un jour dont je suis 
venue au monde. Une coïncidence que moi-même ne peux pas vous expliquer. Le ciel seul connaît. Une journée où je suis venue au monde et une journée où une autre personne m'accompagne. Je dis grandement merci à Dieu. Aujourd'hui, Il nous a fait des merveilles.

Il est d'abord passé par le PERE SOFFO que je ne peux ne pas souligner ici. Il est passé par le PERE qui d'abord est venu couper de gros arbres sur le chemin. Il a pris toutes ses forces et son Esprit pour dire : « Je dois voir comment je ne dois pas tracer des grandes routes à mes enfants » et il l'a fait Comme il l'a fait : «Attention à vous de dénigrer cette œuvre. Attention aux autres de vouloir perturber tout cela. Je vous dis aujourd'hui, qu'il est Esprit et non plus chair ».
Et je vous le répète « l'Esprit n'est pas comme la chair » parce que l'on dit « vivant ou mort, que ça soit pour mon Eternel Dieu!». Vous devez vous méfier. Si chaque personne d'entre vous a reçu une responsabilité, qu'elle la maintienne et qu'elle le fasse comme elle-même a compris et sans toutefois le boycotter. J'ai compris tout ce que vous avez dit. Ne pensez pas que je dormais. C'est allé droit à mon cœur. Mais que chaque personne fasse son travail. Je ne peux pas faire le vôtre et vous ne pouvez non plus faire le mien. Chaque personne doit rester sur place et faire son travail. Je continue à vous le dire « si vous êtes un successeur et qu'on vous donne un patrimoine.

Malgré tout ce qui peut vous bousculer, si vous prenez colère et allez verser cela dehors, vous vous êtes versés vous-mêmes. Parce que, la confiance que vous avez eue pour gagner cela demeure dans l'Esprit de celui qui te l'a donné et malheur à toi si tu ne peux pas le faire. C'est à toi de tenir et maintenir jusqu'à la fin. J'ai fait mon devoir, c'est à vous de faire le vôtre. Quand est-ce que ce soit ce qui doit être votre colère. Quand est-ce que ce soit ce que vous sentez ; vous avez accepté. Continuez votre acceptation du début jusqu'à la fin. Un jour, une femme vient me voir et me dit : « Maman, pardon prend cet enfant parce qu'il m'ennuie trop» et je lui répondis « Pardon, "MO Kwa' yә mu', mo kwa yә ! » Que chacun porte son d'enfant !».Que chaque personne puisse porter dès maintenant son enfant.

Je reviens aux paroles que les malades m'ont adressées. Pour les encouragements, je leur dis à nouveau: « Rien ne me changera ! » « Rien ne me changera ! ». Je sais que beaucoup d'entre vous sont ceux qui ne supportent pas cette manière de vous dire les vérités. Beaucoup n'aiment pas qu'on leur dise les vérités et ne veulent pas qu'on leur dise qu'ils ont tort, ils ne veulent pas qu'on les reproche. Et moi, je dis : si c'est ma part, dites- moi que maman, vous avez fait ceci et ça ne me plait pas. Je vais comprendre ! Je suis là pour ça ! Je suis obligée et forcée de le faire. Il faut que je vous le dise. Pourquoi obligé et forcé de le faire ? Parce que je porte un nom qui est significatif, qui éclaire. Cet éclairage doit être profond, très profond. Ce n'est pas seulement à vous. Je dois faire mon devoir. Lorsque nous étions trois (PERE SOFFO, Mallah et moi), je parlai à chacun ses vérités. Devant vous, je ne cesserai pas de le dire même si cela vous déplait, à condition que tôt ou tard que vous compreniez la signification. Si vous voyez ma part, venez me le dire. Je ne refuse pas. Je n'ai jamais refusé le dialogue. A jamais, je ne peux refuser le dialogue mais tenez vous tranquilles, je ne peux pas voir ce qui ne va pas et ne pas vous le dire. C'est qu'il n'y a plus personne qui vous le dira. Personne ne viendra vous le dire ! On dit:« telle mère tel fils » il faut que vous méritez ce Ciel un jour. Il vaudrait la peine de même vous fouettez, pourvu qu'à la dernière minute vous méritez le Royaume de Dieu. Nous sommes à ceci, j'ai compris ici que les chantres en passant par maman Marie MBEZELE ont parlé du bouquet de fleurs.

Mais je vais vous dire quelque chose. Il y a certains appareils de nos jours ainsi que certains produits chimiques que lorsqu'on verse sur les herbes cela brûle et l'on vient seulement nettoyer pour semer. J'espère que ces produits là peuvent quand même toucher les gourmands qui veulent envahir vos peaux et les faire produire de bonnes semences. Des semences que chaque personne pourra admirer sans cesse. J'aimerai la qualité ! La qualité Que partout où vous passez, que vous soyez la qualité des gens. A tel point qu'à votre passage on déclare qu'une personne de valeur était là. J'ai compris que la rose dans votre bouquet de fleurs est un signe d'amour. Mais j'aimerai que la rose soit dominante, que le blanc marie cela et que le rouge soit comme le bracelet de votre bouquet de fleurs. Parce qu'on dit que « quand un amour est en balance et que la rose s'installe, cela signifie que tout sera rose ». C'est ceci le langage des fleurs (rire).

Quand un amour est en balance et que la rose s'installe, ça veut dire qu'à la longue, tout sera rose ! Il faudra que tout soit rose comme le premier jour de vos mariages. D'une grande fleur Rose qui doit chaque jour renouveler la situation et embellir votre intérieur pour qu'il continue à briller, et jaillir des étincelles afin qu'un jour vous puissiez mériter le Ciel. C'est pourquoi j'ai dis « la grande cloche » pour que quand ça sonne, si vous dormez même cela vous réveille. Je dis : tout cela est allé droit à mon cœur. Je dirai aux reines et notables spirituels du Bureau Lumière que ce 25e anniversaire nous marquera encore un très grand bon en avant, pour le travail et la prospérité, et non pour le recul. Je dirai à tous les responsables qu'ils sachent que nous sommes ainsi à un début de travail, une autre phase de travail que nous débutons aujourd’hui. Je ne veux pas que vous allez dire « ha ! Elle a commencé ». Je n'ai rien commencé ; je dis une vérité; je suis ensemble avec vous. Je suis là avec vous! Vous m'avez donné encore plus de 75 ans de vie, 400 ans de vie, 500 ans de vie (large sourire de maman lumière) c'est que vous serez fatigués de me porter (rire). Si quelqu'un fait 500 ans comment marchera-t-il ? Eh ?