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DES TENTATIVES D’ASSASSINAT VENUS DE MALLAH

Un jour, Mallah a envoyé ses gens venir m’arrêter dans un taxi pour me tuer. J’avais emprunté ce taxi sans savoir. A bord de ce taxi, des gaillards me serrent et m’insultent : « tu dis que tu es dure ? Fais ta dernière prière parce que tu vas mourir ». J’ai dis à mon intérieur profond : « Seigneur, même si on va me découper, que je ne te renie pas ;  fais que cela soit pour glorifier ton nom. Fais qu’un mot déplacé ne sorte pas de mes lèvres ».

On m’a amené vers la décharge de la poubelle de BONAMOUSSADI (Ndlr : quartier de la ville de Douala dans un quartier voisin de celui du camp Makèpé). Je trouve un camion de la société de décharge d’ordure d’HYSACAM sortir et serré notre taxi de derrière. J’ai alors crié au secours pour sortir c’est alors que j’ai dû échapper à ce coup de Mallah ».

Un jeudi, alors que les malades m’attendaient au camp, dès que je m’approche du camp, un autre groupe surgit de la brousse avec des machettes (Ndlr : maman prend à nouveau les Hommes d’Amour et de Paix venus de Douala venus pour la fête à témoin en disant)

-je crois que c’était devant vous.

-Oui, maman !

J’ai donc marché sans savoir que quelqu’un me suivait avec une machette. Comme dans les  alentours du camp de Douala- Makèpé vivait un fou qui ne parlait pas, le nommé : « Américain », j’ai seulement entendu comment il a crié : « fuis maman, fuis ». Dès que je me suis retourné pour voir qui criait ainsi, je découvre un monsieur qui était attrapé fortement par ce fou tenant dans sa main, une machette brandit. C’est ainsi que « AMERICAIN » l’a donc attrapé pour me laisser partir.

Dès que j’arrive et entre au camp, toute les femmes de jeudi ont fondu dans les pleures, elles sont venues près du camp pleurer comme elles pouvaient. Et le monsieur qui gérait la Société HYSACAM situé à côté du camp Maképè est sorti appeler la gendarmerie en déclarant : « depuis des années que nous sommes ici, cette dame ne nous dérange pas, que prenez-vous à cette dame ? »

Le même jour dès mon arrivée au camp, je trouve un homme dont on avait découpé le crâne. C’est ce cela ? (Ndlr : demande maman Lumière aux Hommes d’Amour et de Paix de Douala et ceux-ci confirment)

-Oui, maman !

-Le crâne était ouvert. Je lui demande : « d’où viens-tu ? » Il me répond : « ce sont mes frères là dehors qui sont venus me tuer à mon bureau en disant que comme j’ai succédé à notre papa par ta force, ils vont me tuer. C’est pour ça qu’ils m’ont tiré depuis BONABERI, j’ai pu m’échapper avec le sang sur moi pour accourir ici et Ils m’ont suivi ».

Lorsqu’il a terminé de me raconter ses  difficultés, aussitôt il a sombré dans un coma. Pendant ce temps ses frères m’attendaient à l’entrée du camp avec des machettes. J’ai voulu m’avancer vers ce garçon et mon divin Seigneur m’a dit : « attention ! Ne le touche pas ! » Et je suis restée tranquille. (Ndlr : désignant ces femmes de Douala installés au premier plan devant maman).

Ces femmes de Douala ont vu de toutes les couleurs. Elles se sont levées et m’ont regardé et les larmes ont coulés. J’ai encore regardé ce jeune homme dans le bain de sang avant de lever mes yeux plus haut et dire : « Seigneur, par ta grâce, fais de moi ce que tu veux. Si cet homme n’est plus en vie, coupable ou pas, j’irai en justice parce qu’il est venu mourir chez moi »

Le seigneur me dit : « Attends ! »  J’ai demandé à aller lui chercher de l’eau, on ne m’a pas accordé. Quelques heures plus tard, il s’est levé de lui-même puis je lui ai fait appelC’est alors que de mes mains, j’ai soigné ses blessures. J’ai donc touché ses blessures dans la crainte que comme il avait trop saigné, j’ai demandé qu’on l’accompagne à l’hôpital.  Arrivée à l’hôpital, le médecin demande de le ramener en disant : « dites à celui qui a commencé à suturer la blessure de continuer parce que c’est bien fait. » C’est ainsi qu’en trois jours ce garçon était guéri. (Ndlr : vifs applaudissements de la foule)

Qu’est ce que nous n’avons pas vécu dans ce service ? En toute vérité, qu’est ce qui amène les hommes à faire cela ? C’est tout simplement la méchanceté.

 

CONSIGNES DONNEES AUX MALADES

A L’EPOQUE DE GUERRE CONTRE MALLAH

En ce temps, j’avais demandé aux malades de Douala de fermer leurs bouches. « Fermez vos bouches. Ne comptez cela à personne ». Ne faites même pas savoir qu’il y a des choses comme cela qui se passaient à Douala. Laissez-le tranquille. C’est ainsi que je faisais.

Bref à un certain moment, tout était calmé, je crois en ce temps vers l’an 2002, Mallah fit prendre la machette pour bastonner l’enfant à mort et depuis lors elle s’exila. J’ai cru que tout était terminé. Pourtant certains parmi vous gardaient en eux l’esprit de Mallah. Tout en comptant me séparer de PERE SOFFO. Ceux là descendaient à Douala et retournaient à Yaoundé dire des choses à PERE SOFFO. Dès choses  qu’ils n’ont ni vu ni entendu. Je ne dois que vous dire une partie de cela.

 

CEUX QUI VOULAIENT SEPARER PERE SOFFO DE MARIE LUMIERE

Je crois que c’était en l’an 2003, quelqu’un vient dire à PERE SOFFO : « comme tu vois ainsi, maman Lumière a dit à Douala qu’aucun malade ne vienne à Yaoundé t’accueillir. Elle  a même refusé le livre que tu as validé et signé ».

Je vous assure, c’était un autre tournant très dangereux. Pourtant j’étais à Douala pour arranger la fête. Maman réclame la photo qui témoigne cet évènement dont maman Lumière préparait au niveau de Douala. Il s’agit de l’évènement où PERE SOFFO par le concours des fils Bandjoun du Bureau Lumière ont couronné au nom du Bureau Lumière tout entier et du peuple de Dieu sur terre, Roi en plaçant sur sa tête la couronne semblable à celui que ne portent que les roi en pays Bamilékés au Cameroun en tant que Roi.

Si la genèse dans l’ancien et le nouveau testament, Dieu nous prévient de beaucoup de choses, c’est parce que les Hommes changent et s’aiment entre eux. Pouvez-vous vous rappeler ce qui s’était passé à cette fête ?

En effet, j’étais à Douala pour préparer comment devait se passer le couronnement de PERE SOFFO à Yaoundé comme Roi. Ce n’est destiné qu’aux chefs traditionnels. Tu n’es pas roi, tu ne la portes pas. (Ndlr : maman le dit en brandissant la photo souvenir de cet évènement avant d’ajouterle groupe NATIVITE et certains servants m’avaient approché pour me demander comment procéder. Et je leur avais répondu ainsi :

« si vous sentez en vous qui est ce qu’il est, prouvez-le aux yeux du monde ». C’est pour cela qu’ils s’étaient rendus chercher cette couronne, afin de faire porter le Père pour entamer une nouvelle époque de sa mission. C’était une fête du 6 août.

 

Ceci dit, le Père m’avait urgemment convoqué à Yaoundé où il m’avait dit : « qu’est ce que tu es en train de fabriquer à Douala ? » Je lui ai demandée : « qu’est ce qui t’a poussé à me demander cela ? » Papa va m’expliquer et je lui raconterai toutes les démarches que j’étais en  train d’entreprendre de Douala. Je ne cessais de travailler jusqu’à 5 heures du matin pour former comment vous procéderiez jusqu’aux pas de danses que vous exécuterez pour l’accueillir et le glorifier. J’ai été sidéré et c’était stupéfiant d’entendre cela.

 

CE DANGEREUX ENTOURAGE DE PERE SOFFO,

ATTENTION  DE DETRUIRE UNE ŒUVRE DIVINE!

Je vous connais assez ! Je vous connais ! Avant le départ de Père, voila pas mal ce qui c’était passé. Qu’est ce qui avait fait que PERE SOFFO baisse les bras face à ce qu’on lui avait raconté ?

Dès que le Père a déclaré : « pourquoi as –tu fais ceci ? » Je lui avais répliqué : « je sais qui est venu te raconter tout cela. Attends je vais le ramener ». C’est alors que je me suis levée pour aller chez Ma Victo. (Ndlr : maman Victorine CHIEMNIE, mère natale de PERE SOFFO qui résidait dans un appartement de la résidence de PERE SOFFO)

Aussitôt, le Père a dit : « Grand –Mi arrête-la. Je connais sa colère. Empêche-là de sortir. Je sais que quand elle se décide et elle commence sa folie là, ça sera autrement, le Ciel agit directement. Parce que c’est rare de la voir se mettre en colère. Je vous ai demandé de la laisser tranquille. Je voudrais que tu saches, que comme ils sont tous versés ainsi, même lorsque tu venais à Yaoundé, je les bousculais seulement pour qu’ils t’installent une chaise sur laquelle t’asseoir ». Et PERE SOFFO d’ajouter ceci : « J’ai voulu vous dire cela aujourd’hui, si je n’avais pas voulu, je ne vous en aurai pas dit ». J’ai ouvert les yeux et m’exclamer : « quoi ? »

Il répond : « oui, c’est une réalité que je te crache. Je te crache cela pour qu’en restant, tu saches que la manière dont on est en train de te minimiser, sache que quand je ne serai plus là, je n’implorerai que le secours du Ciel pour qu’Il te soutienne ».

Voila sa parole dans son grand salon à Yaoundé. J’ai croisé les bras pour le regarder, je me suis levée pour le regarder encore et dire :

« papa, tu es sur la braise du feu. Mais moi, s’il m’arrivait que je puisse m’asseoir ainsi, j’essaierai de me retirer pour me ressourcer  parce que qu’avec le charbon, on ne peut plus rien faire d’autre ».

PERE SOFFO m’a regardé et dire : « Lumière, je te connais, mais ils ne te connaissent pas ; seulement, ma fille, ma crainte ici tous les jours c’est leurs vies. Hélas, ils ne veulent rien comprendre. Ce que tu as donné à tes enfants à Douala, aide-moi à donner aux gens de Yaoundé »

Je me suis levée et dire : « Papa, nous allons demander ensemble. Quand le Ciel voudra, tout sera arrangé ». Il me dit : « je suis réellement sur la braise du feu, comme tu le dis » c’est alors que j’ai ajouté : « les gens de Yaoundé ont entendu parler de Yaoundé comme capitale politique et ils transforment politiquement (politisent) même ce qu’il ne faut pas. La réalité divine n’est pas de politiser, mais plutôt de dire la vérité ».

C’est ainsi que PERE SOFFO continuera à vivre dans la merde. Fatigué de sa maladie, beaucoup de SOFFO sont nés ici au Bureau Lumière. Beaucoup des prophètes ont inondés le Bureau Lumière tellement, on revient ici au camp déclarer que : « PERE SOFFO avait dit que tel est prophète »

Qui est donc celui qui a aussi annoncé sa venue ? (Ndlr : La venue de ce prétendu prophète dont vous voulez nous présenter ?) Comme a été le cas de PERE SOFFO ?

Fâché à son retour de la maladie de Douala, PERE SOFFO déclara : « comment est ce qu’en si peu de temps que je m’absente ainsi ces dérapages s’installent ? » Et ajoute : « on nait prophète, on ne devient pas prophète ».

*Cela n’a pas empêché que certains d’entre vous disent que PERE SOFFO a donné pouvoir à Pierre, le servant grand PierreCela n’a pas empêché que  grand Pierre (servant),  et d’autres se soient autoproclamés prophètes.

*Vous tous, vous êtes allés mettre le feu aux fesses de GHOMFO (porte parole de PERE SOFFO, née Marie MBEZELE épouse TAKOUTCHEU et lui dire : « prends ta place. Ne laisse pas, reprends ta place ». Heureusement, celle-ci a compris et déclaré : « ne m’induisez-pas en erreur, je ne serais jamais prophète » malgré cela, ça n’a pas été facile.

*Cela n’a pas empêché d’aller voir Ma Miché (Micheline FOALENG, servante assistante) et lui dire : « le Père t’a donné  un pouvoir en faisant de toi ASSISTANTE, récupère ta place arrachée par Marie Lumière ».

Je vous dis la vérité et c’est là où vous n’allez  pas me supporter. Si je veux sortir de moi, vous ne me supporterez pas. Et à son tour on va l’enlevez et l’inciter à aller reprendre « sa place » ; « vas, vas ! Vas prendre ta place ! »

 

POURQUOI DETESTEZ-VOUS LA PROPHETESSE MARIE LUMIERE ?

Pendant que je suis à Douala, qui est monté ici avant que j’ai refusé ? C’est ce que vous devez comprendre. Chaque personne a sa place. Je ne suis pas monté au Bureau Lumière et m’asseoir sur un banc avant de rentrer ici où je me trouve. Je ne suis montée et ne me diriger qu’ici. Depuis les années, cette place est là. C’est ici que je viens m’asseoir.

Et je vous préviens d’avance. Ne portez pas…, « ne ramassez pas des ordures pour salir votre vie en croyant que vous êtes en train de me haïr ».

Au lieu de …. Tout ce que vous êtes en train de faire là, apportez tout ce que vous voulez comme poison. Et je vous le dis : « tu mets même le poison dans mon repas, si je ne t’aime pas, je mange. Cela retournera sur toi et tu meurs » comprenez moi bien.

« Et si je t’aime, je refuse pour te sauver la vie. Attention avec moi ! Attention ! »

Personne en montant ici au camp n’a tenu la main de l’autre. L’eternel Dieu vous a interpelé tous de venir le suivre. Et si quelqu’un voit que ça ne va pas et qu’il veuille partir je lui ouvrirai grandement la porte pour qu’il s’en aille et laisse alors les brebis de Dieu continuer à venir prendre la PAIX. C’est ce que vous devez comprendre.

Quel est cet emballage qu’on ne cesse d’attacher les gens qui s’efforcent à vouloir mieux faire ? On les attache, on les emballe.