LE PHENOMENE DE DIVINITE
Ce problème n’est pas né seulement à nos jours. Cela existe depuis la nuit des temps, depuis de longues dates.
Ce phénomène existe avant même l’époque de Jésus Christ. Avant l’avènement de Jésus Christ, les problèmes divins ont été tellement difficiles, pourquoi cela ? Simplement parce que c’est quelque chose que les hommes ne connaissent pas encore. C’est quelque chose nouveau. Et beaucoup faisaient cela sans d’abord chercher à comprendre, ni voir et cela crée tellement de problèmes. Le phénomène divin a été toujours ainsi depuis la nuit des temps.
LA PREPARATION DE MAMAN MARIE LUMIERE A LA MISSION PROPHETIQUE
Quant à moi, qu’est ce qui me soutient à chaque moment de la vie ? C’est la préparation que j’avais d’abord reçu sur beaucoup d’évènements à venir. Si vous voulez je peux un peu vous expliquer.
Pourquoi est-ce que je dis que j’ai été préparée ?
-Savez-vous pourquoi au commencement je refusais de servir Dieu ? -----Hein ?
-Non, maman.
- Suivez-moi et vous comprendrez pourquoi cela.
Vers les années 1966 – 1967, quand la Sainte Mère se présenta à moi, elle me montra un homme sur une montagne qui travaillait. Cet homme parlait jusqu’à ce que les vêtements se déchirent sur lui. A chaque moment quand ce film me revenait en tête, je me demandais s’il était possible que quelqu’un parle jusqu’à ce que les vêtements se déchirent sur lui. De nos jours j’ai compris que c’est possible.
Il passait partout et parlait, il levait les gens malades, les soignait et continuait. J’ai donc observé cela plus de 4 heures de temps. Il faisait cela à longueur de journée.
Bien après, on me remontre cet homme tout fatigué. Alors je vois un des malade qu’il venait de soigner se lever et bagarrer avec lui puis lui coupa la tête. J’ai pleuré longuement. Si vous demandez même à ma maman ce qu’il en était, elle vous dira que parfois je pouvais rester à pleurer même pendant deux jours non stop. J’ai pleuré amèrement. En me demandant que : « comment quelqu’un peut-il faire du bien aux gens et terminé sa vie de la sorte ? » Tous les jours, je revivais la scène et cela me rendait triste et rebelle. C’est alors que la Sainte Mère revint et me dit :
« Maintenant, je vois que tu n’es même pas baptisé, tu n’as pas encore pris ta première communion, cependant, tous les soirs avant de te coucher, glorifie le Seigneur. Dis-lui seulement ceci :
« SEIGNEUR, JE RECONNAIS QUE TU ES LE CREATEUR DU CIEL ET DE LA TERRE.JE RECONNAIS QUE JE SUIS TA CREATURE, EN CETTE NUIT, EN CETTE HEURE OU JE M’ADRESSE A TOI SEIGNEUR, REÇOIS-MOI PARCE QUE JE VAIS BIENTOT M’ENDORMIR »
Tu dis ça chaque jour, compris ? Je répondis : « oui »
Les choses ont continuées ainsi et vers les années 1972, je rentre de l’école, un paludisme, m’arrête, je m’en vais dans ma chambre pour me mettre à genoux, malgré la maladie pour prier avant de m’endormir.
Elle revient encore et me dit : « MARIE, POUR SERVIR LE MONDE QUE TU VOIS LA, TU DOIS METTRE DANS TA TETE QUE TU SERS DIEU ET TU N’AURAS AUCUNE RECOMPENSE AUX GENS QUE TU LES SERS. AS-TU COMPRIS ? » J’ai dis : « oui »
Elle me recommanda : « ECRIS ! »
J’ai écris. Je suis allé remettre ces écrits à mon curé à la paroisse : L’Abbé SALVADOR.
C’est pourquoi, mon ancien curé, celui qui est parti de la paroisse de MAKEPE à Douala m’a dit. Nous t’avons enquêté jusqu’à voir ton curé qui ‘a baptisé et il nous a confirmé des choses que je ne peux pas te dire. L’Abbé SALVADOR a ouvert cette enveloppe, a lu ce que j’avais écrit et me demandé : « comment le sais-tu ? ». Je lui ai répondu ? Ainsi : « il y a une maman qui m’a parlé elle est très jeune, très belle. Elle m’a dis ceci cela…. »
Mon curé me dit : « Marie rentre prier. Sais-tu que c’est ton homonyme ? » et il me demanda encore : « Qui t’avait donné ce nom ? » J’ai dis : « mon papa »
- Ton père était-il baptisé ?
- Non
-Etait-il chrétien ?
-Non.
-Et pourquoi t’a-t-il donné ce prénom ?
-On m’avait demandé de ne pas dire cela jusqu’au jour où on me permettra de le dire.
L’Abbé SALVADOR nota cela. Puis, je suis rentrée.
Cela m’avait frustré ça c’est d’une part.
De deux, lorsque je voyageais, si j’arrivais n’importe où, dès mon arrivé à et endroit, en cette nuit-là, on me montrera tous ceux qui sont mauvais dans le quartier. Là, ils passeront toute la nuit à me combattre, si bien qu’avant qu’il ne fasse jour, je saurai les réalités du coin, je saurai qui est qui. Je me suis donc rendu compte que partout où je passais, je vivais le même phénomène. Notez que ma famille m’avait envoyé du village à Douala, de Douala, à Buéa on me trimbalait partout sans suite. Je n’avais qu’un seul problème : dès que je fermais l’œil le combat recommençait jusqu’au matin en permanence.
Alors, le Ciel réagit en disant que : « tu vas me servir » cet image revenait dans ma tête. J’avais en tête que je vais me mettre à servir les gens qui après vont me persécuter et me faire mal, alors, cela ne vaut pas la peine.
C’est alors qu’avec la rencontre avec PERE SOFFO, il me déclara : « Moi, ce n’est pas moi qui t’envoie. C’est toi qui es venue et c’est toi qui les vois et parle avec eux. Ce n’est pas mon problème là-bas. Puisque, j’ai déclaré que tu étais trop jeune et on m’a dit qu’on a trop toléré, si non c’est depuis ta naissance que tu allais servir et cela n’allait rien changer en ce que Dieu t’a envoyé faire. A présent que tu es même entrée en mariage accepte aussi ainsi ». « Voilà la réponse qu’on m’a donnée. On t’a même beaucoup aidé. On me répond que tu allais servir depuis ta naissance si Dieu le voulait. Maintenant Il a voulu, pars»
Ma mère revient le voir et dit : « SOFFO, elle ne parle même pas. Elle ne connait même pas bavarder. Si elle commence. On va la tuer ». Le père lui répond : « aide –moi aussi sur ma part ; même-moi il en est de même »
Voilà comment les choses se sont passées. Lorsque tu ressens en toi qu’en t’approchant ainsi vers un lion sans arme de défense ou vers un boa sans bâton, c’est difficile de le faire. Alors, qu’est-ce qui se passe donc ?
Quand le Seigneur dit : « je t’envoie c’est moi qui pars et non toi. Je vais seulement t’utiliser. Vas-y ! » C’est ça qui console. « C’est moi qui t’envoie et non toi. Fais simplement ce que je te dis de faire »
