Actualité

J’ai observé qu’il y a trop de monde présent mais leur présence n’est que pour voir ce que l’on a à faire et y mettre pied pour écraser. Ils sont là pour faiblir la volonté de ceux qui veulent faire.

 

Ce n’est pas par des paroles choquantes que vous parviendrez à affaiblir ceux là. Ce n’est non plus par des mépris où bien par le rejet que vous faiblirez mais tout au contraire, je vous le dis ; écoutez moi bien.

Que le mépris vous donne la raison de vie. Que les paroles choquantes vous donnent la réjouissance dans la foi tellement que même au carrefour le sommeil vous attrape, vous dormez très bien.

Que les engueulades ne faiblissent pas votre foi.  Mais tout au contraire que cela donne la bonne parole à vos lèvres pour édifier les autres. C’est ça qui faiblit l’homme dans sa foi. La gueule, le mépris, des moqueries de gauche à droite à chaque moment doivent seulement vous fortifier dans votre foi. Je vais vous dire quelque chose.

-Gao !

-Ooh !

Tout au contraire, ce qui m’a rendu forte jusqu’aujourd’hui c’est de me sentir seule dans ma chair et le Seigneur venir me tenir par la main et dit : « Marie vient on part » si je sentais un moment que j’étais avec les gens, c’est que je tombais dans le piège du démon. Mais en me sentant à chaque instant dans les bras de mon Seigneur, je continuerai mon chemin et je le remercierai en lui demandant encore plus de grâces et de courage pour continuer.

Alors, faites autant.

Que le mépris, ni les engueulades, ni les injures, ni des mots choquants ne vous foudroient pas et ne vous faiblisse pas non plus, ni vous faiblir la foi. Au contraire, que cela fortifie et vous rende encore plus fort.

Il fût un moment, quand on était encore jeune, lorsqu’on observait des filles timides et on leur parlait au moment des pleurs on formait un rang derrière eux. Puis on les provoquait en les accusant d’avoir dit quelque chose, ce qui n’était pas vrai. Et elles se mettaient à pleurer. C’est alors qu’on ramassait les herbes pour verser sur elles. Au fur et à mesure qu’elles pleuraient on les lançait davantage cela. Dès qu’elles cessaient de pleurer et nous suppliaient de les laisser tout le monde arrêtait et  se moquait d’elles. En disant «c’est alors de cette manière que tu te comporteras lorsque tu seras en mariage chez ton mari ? ».

A nos jours, j’ai compris que cette manière se blâmer donne une force à celui qui subit, c’était pour fortifier les gens.

Les brimades dans leurs jeunesses fortifient les enfants.

Aujourd’hui j’observe qu’à chaque moment vous passerez votre vie à un petit jeu à couler des larmes.

Si vous voulez vivre dans ce monde jusqu’à être à l’aise, il faut se contenter du peu que Dieu te donne. Ne pas vouloir mettre l’œil sur ce qui est aux autres.

Et en plus, pour mieux vivre il faut regarder si ce que vous faites plait à votre Seigneur Dieu. Si ça lui plait, continue, si tu sens que ça ne lui plait pas, alors stoppe. Ne pas tourner, chercher fouiller alors que vous ne trouverez pas mieux nulle part. Il n’y a nulle part où vous viendrez trouvez quelqu’un assis et vous dire « me voici, je suis ton Dieu » mais, il a fait de vous sa maison que vous porterez pour marcher ensemble avec lui. Et vous ne pouvez pas comprendre. Regardez la tortue, lorsqu’elle marche, elle marche doucement et là où il pleut trop, que fait il ? Elle entre dans sa carapace pour se cacher afin de se reposer. Dieu voudrait que vous fassiez pareil.

Là où ça ne tient pas, replies toi en lui, tu verras comment en te réveillant, tu détiendras plus de force.

-Bonne fête

-Bonne fête

-Bon retour pour les autres

Aujourd’hui nous pouvons avant de continuer faire un temps de silence et demander à notre Eternel Dieu pour ceux qui ne sont pas parmi nous à cause de la tristesse ou de la joie. Certains ne sont pas là parce qu’ils ont perdu les membres de leurs familles.

A Yaoundé, il y a eu 2 chantres qui ne sont pas avec nous par l’appel de Dieu. Nous pouvons quand même faire une prière pour eux.

Il y a ceux qui ont voyagé pour des événements heureux ou malheureux. Et ceux qui ont voulu venir, hélas n’ont pas eu des possibilités pour y arriver.

Prenons pour ceux là un moment de silence et demandons à Dieu tout puissant de mieux éclairer le chemin afin que tout ce qu’ils sont allés faire puisse mieux marcher.

Nous sommes à ceci :

Je vous avais un peu parlé par parabole d’une femme qui était enceinte et que j’attendais cette grossesse. Cet enfant a vu le jour le jeudi 16 avril 2009.

J’étais restée chez moi, et on m’a apporté une  invitation dans laquelle on m’informait qu’il y a une équipe qui voulait me voir. Ils me rencontrent et m’informent qu’ils ont quelque chose pour moi.

J’ai réfléchi, et je n’ai même pas voulu m’en aller. Je m’étais posée plus d’une question à savoir ce qu’on peut me donner en ce monde. Mais j’ai interpellé certains parmi vous pour les en informer. Ensemble, nous avons rencontré cette équipe qui a expliqué qu’il appartient à Cameroun Fondation. La personne même qui m’avait personnellement appelée est une grande autorité de ce pays.

En tout vérité jusqu’à nos jours nous ne nous sommes pas personnellement rencontré. Cette autorité m’a envoyé des gens et des messages. Ces gens sont venus me signifier que tout ce que je fais ils voient et comprennent et eux ne pouvaient pas laisser cela vain.

C’est ainsi que le 16 avril 2009, on m’a invité au Hilton Hôtel de Yaoundé pour me remettre ce Trophée. (Ndlr : Maman le saisit et le brandit au public sous les grands cris de joie et de gaieté).

Lorsqu’ils se sont présentés, je leur ai accepté leur proposition tout en refusant d’acheter quoi que ce soit. Ils m’ont dit qu’il y a certains qui achètent même et ils refusent.

En effet, c’est depuis 1988 qu’on a passé du temps à étudier tes œuvres. J’ai posé des questions sur le processus qui conduit à décerner cette distinction à une personne, ils m’ont répondu que lorsque vous êtes ciblé, on vous suit partout. Partout où vous allez, on vous suit sans mot dire.

Tout ce que tu fais, tu dis, on t’écoute et on essaie d’analyser.

J’ai voulu demander des cas précis à m’expliquer. L’un d’eux m’a répondu par des dates et faits précis que j’ai effectué et cela était cohérent.

Du genre, tel jour tu es allé dans telle banque contacter tel prêt, tu as fais telle chose avec.

Tel jour tu as voyagé pour tel pays où tu as été à tel endroit. On m’a détaillé mon cheminement au point où mon souffle allait se couper. C’est alors que j’ai réalisé qu’aucun de mes faits et gestes n’est négligé.

Je lui ai demandé s’ils n’ont même pas des appareils pour sonder même l’intérieur de quelqu’un.

Même dans mon commerce, ils m’ont révélé, même dans mes mouvements bancaires, ils ont cité des crédits que j’ai eu à contracter et ce à quoi cela a servi etc.…

J’ai été vraiment sidérée d’entendre cela. Ils m’ont même révélé un séjour que j’ai effectué au village et ce que j’ai dû faire avec des dates précises. J’ai durant tout cet entretien croisé les bras pour les regarder et écouter me raconter.

Mais je dis, ce sont nos œuvres qui ont conduit à ce trophée. Ce n’est pas pour moi seule, c’est pour nous tous.

Si je ne vous avais pas informé avant, en toute vérité, je ne peux pas vous mentir, c’est parce que je doutais un peu. J’ai dis que je verrai avant d’accepter. Et j’ai vue.

Je ne pouvais pas partager cela tout seule, j’ai souhaité le faire ensemble avec vous. Nous sommes allés chercher cela pour vous montrer.

Chaque bonne œuvre ne se cache pas. De bonnes œuvres ne se cachent jamais. Depuis ce 16 avril jusqu’à nos jours, je ne les ai plus vus.

Si certains parmi eux se présentent même à moi, je ne les connaîtrai pas.

Ceci étant pendant ces périodes de congés en vérité, c’était une façon de ne pas être au camp, mais travailler plus qu’au camp.

Si je me déplaçais même d’un trait soyez tranquille, peut être que beaucoup d’entre vous ne vivraient pas parce que dans ce monde je n’aurai jamais de repos.

Pour ne pas trop vous traîner, en ce jour même je n’allais même rien vous dire, mais comme vous avez demandé j’accepte.

PROGRAMME :

Premièrement : le 24 août 2009, je serai de retour de ces congés et le 25 août sera la bénédiction des enfants à Douala.

La semaine suivante, je serais à Yaoundé pour celle des élèves de Yaoundé.

Dans 2 semaines :

La préparation du 6 août 2010 commencera en janvier parce que chaque moment qu’on débute cela tard, ça crée des problèmes.

Je reviens à la fête :

Comme nous avons fêté le 31 juillet aujourd’hui, il faut attendre encore 5 ans pour la fêter à nouveau (19e anniversaire) cinq ans pour que vous partiez de partout pour venir.

J’attire votre attention : suivez  bien !

L’année dernière, on n’avait pas fêté le 31 juillet à Douala. C’est vrai ou pas ?

C’est vrai. Mais cela n’a pas empêché qu’ils  puissent penser à cette journée mais entre eux.

Ce 31 juillet qui est tombé un jeudi. Les femmes de jeudi se sont déportées pour manifester leur joie mais sans aucune invitation ni déplacement. Ceci ne concernait que les jeudis et non l’ensemble du Bureau Lumière. Ceci veut dire que comme on fête le 31 juillet aujourd’hui, nous laisserons cinq ans pour se préparer à fêter cela. Mais le 22 janvier et le 6 août seront mutés. C’est à dire cette année, l’année prochaine sera le 6 août ainsi de suite. Ceci c’est pour lever toute équivoque.

Vous êtes comme des enfants lorsqu’on les lave, ils vont se rouler dans la saleté et déclarent : « j’ai sali ton corps là », ce qui m’amène à vous sortir ce programme c’est juste pour vous aider. Si vous voulez, fêtez et même tous les jours. J’ai pitié de vous. Puisque comme vous vous êtes déplacés aujourd’hui, il faudra que vous le faites encore le 6 août ainsi, tous les jours vous serez en route ça me fait pitié.

Quand je vois les temps un peu difficiles, je comprends et je me pose trop de questions. C’est pourquoi quelque soit ce qu’on à a faire, il vaut la peine de mieux se préparer cela avant de réussir.

Au lieu de se précipiter et mal faire.

Cette fête a aussi été bien préparée, puisque c’est l’ensemble des malades, c’est vous qui vous vous êtes époumonés pour la préparer. C’est vous mêmes qui allez partager entre vous ce grain d’amour.

Alors prochainement, il serait mieux pour vous que nous puissions mieux faire en prenant du temps pour inviter les étrangers à venir partager avec vous ce fruit ; ce bon fruit que Dieu a aimé le Cameroun et venir s’y installer. Pourtant tous les jours vous nous demandez de partir. (Ndlr :

Il faudrait que l’on puisse s’en rappeler pour mieux arranger avant de faire et de bien faire.

Dieu n’est pas comme vous, voilà qu’avec la pluie du matin, personne n’avait su qu’il pouvait faire un peu soleil. Voici qu’il vous a d’abord arrosé puis il vous sèche encore c’est pourquoi, je demanderai au plus haut que :

Mon Seigneur Dieu, que cette pluie qui les a arrosés lave ce qu’ils ont dans leur cœur et que le soleil seche cela, transforme en sueur et entre en eux. (Ndlr : vifs cris d’applaudissements). Fais qu’aucune personne ne rate cette grâce puisqu’on dit que celui qui sort chaque fois n’est pas un paresseux.

-Bonne fête !

-Merci maman !

-Bonne fête !

-Merci maman !

-A tous ceux qui vont voyager, que le Seigneur Dieu éclaire votre chemin et qu’il vous comble de sa grâce afin que vous effectuez un bon voyage.

-Merci Maman.

-Nous sommes maintenant à ceci, je constate que tout le monde a apporté de l’eau.

-Gao !

Je vous prie que tout à l’heure pour ceux qui vont rentrer directement, que ceux qui sont encore là leur permettent de prendre quelque chose pour mettre sous leur langue sans bousculade.

Pour ceux qui vont nous suivre à la maison, qu’ils ne bousculent pas. Il y a vraiment à manger ? il y a beaucoup à manger. Je n’aimerai pas que vous rentrez la nuit. Vous savez que lorsqu’on passe sous un kolatier et trouve une grosse cola, on ne cesse pas de passer de temps en temps près de ce kolatier. C’est vrai ou pas ?

-C’est vrai Maman

-C’est parce que je vous ai vu apporter de l’eau pour voir si on peut encore vous donner les bonnes choses comme la dernière fois. (Ndlr : l’intervention rapide)

-N’est ce pas ?

-Oui, Maman !

-L’intervention rapide ! (Ndlr : cris de la foule)

-Vous applaudissez même sans comprendre

-Est ce qu’on vous a dit que c’est cela ?

J’ai compris que cela vous avait vraiment aidé. Alors vous venez toujours avec de l’eau espérant en recevoir encore.

Dieu a plusieurs formes. Mais attendez un moment, je ne sais pas quel nom on baptisera le Bonheur d’aujourd’hui, on ne m’a pas encore donné. Comme vous tous attendez ce nom. Ne croyez pas que ce sera toujours « l’intervention rapide ».

-Que ceux qui doivent allez à table ne bousculent pas.

-Bonheur en main

-Début chant

Seigneur, Seigneur, Seigneur, Dieu voici le temps pense à moi seigneur.