BUREAU LUMIERE CAMP DE YAOUNDE CARRIERE
MESSAGE DE LA PROPHETESSE DU DIEU VIVANT MARIE LUMIERE : Samedi 05 septembre 2009
JOURNEE SPECIALE SPIRITUALITE
Tout cela forme ainsi une autre manière de dire à l’Homme « Attention ».Si vous tournez tout autour de vous, vous verrez que ce qui tue beaucoup d’hommes dans ce monde : c’est l’Orgueil et la Honte. Moi qui vous parle, je ne peux pas avoir honte sur ce qui peut m’aider. Je ne peux pas avoir honte que si je me rends réellement compte que ce que j’ai fait n’est pas bien. Je te dis carrément : « Excuse-moi ». et tout ceci pèse sur beaucoup de personnes. Il est très difficile à certaines personnes de dire aux autres « Pardonne-moi ». et le démon aime trop cela. Il aime les hommes orgueilleux qui ne parviennent pas à demander « pardon », des hommes incapables de se rabaisser, de se prendre encore plus bas. Regardez comment vous pourrissez chaque jour à cause de l’orgueil. Ici à Yaoundé, tout le monde est celui qui connaît, il n’y a personne qui sait dire qu’il ne connaît pas, jamais ! certains disent : « OH ! le PERE était monté, Oh ! le PERE était descendu » le Père, le Père… c’est monnaie courante tellement que ce qui fait mal à nos jours, certains ont dans leur tête l’idée selon laquelle pour que Marie Lumière monte à Yaoundé travailler, il faut d’abord passer leur demander l’audience.
Parce qu’au départ, certains ont dit : « Elle est venue seulement monter là-bas pour travailler sans venir nous demander comme nous faisions avec le PERE. Vraiment, j’ai seulement dit :
« Quelle laideur ! » j’ai dit : « Depuis que je monte à la carrière je n’ai pas changé de place » depuis le premier jour, je ne me suis jamais assis là (Ndlr : Maman pointe le côté des malades) avant de monter ici. Je suis montée ici depuis le premier jour (Ndlr : vifs applaudissements de la foule) je n’ai pas changé de place – moi, je n’ai pas changé de place- je reste toujours à ma place toujours là où j’ai eu l’habitude de rester. Je ne sais vraiment pas ce que vous voulez. Je n’ai jamais eu à changer de place, ce n’est pas maintenant que je viendrai changer de place. Et j’ai compris dans mon âme et conscience que peut être depuis longtemps, certains m’ont vu toute calme et connue. Si vous croyez qu’on me dicte des choses, je vous dirai NON ! c’est une vérité.
Dans tout ce que vous racontez là, vous avez trouvé un autre cas. Je n’accepte pas n’importe quoi. Je continue à vous dire : « Moi, dans ma vie, depuis ma naissance jusqu’à nos jours, je n’accepte pas n’importe quoi. Je n’accepte pas n’importe quoi. Et je n’accepterai pas du n’importe quoi. Tenez vous tranquille ! Et rien ne pourra me changer de faire ce que Dieu a mis en moi. Ni ma mère, ni mon père, ni qui que ce soit ne m’a jamais détourné de la volonté de Dieu, personne ne m’a jamais détourné de la volonté de Dieu. J’ai souvent dit à ma famille laissez moi m’engager seule. Et si c’est n’importe quoi, que ça me regarde seule, parce que vous ne connaissez pas comment cela a commencé et vous ne saurez jamais comment cela se terminera. Si vous m’aimez trop, suivez la voix de Dieu et ensemble nous irons. Alors, mon grand-père était très étonné de voir tout cela. Vous le savez, lorsque j’ai débuté ce travail, ce n’était pas facile même dans ma concession natale ce n’était pas facile. J’ai eu chaud, on m’a traîné dans plusieurs réunions familiales pour me poser tant de questions par rapport à mon métier. Même jusque là, j’ai été catégorique, mais lorsque mes sœurs ont vu mon petit frère devenir prêtre qu’est ce qu’elles ont dit ? « Voilà ce que tu nous avais dit il y a aujourd’hui 20 ans ». Je leur dis c’est un mensonge, personne de vous ne m’écoutera pas, mais si c’est une vérité, un jour viendra où vous aurez un prêtre dans cette concession. Et peut être sa part, sa manière de faire sera plus grave que la mienne ». Lorsque nous fêtions dernièrement l’ordination de ce prêtre, notre aîné de la famille est venu me dire que « Voilà ce que tu avais dit est qu’aujourd’hui on comprend même ? ». Ils ont compris. Alors que l’on ne vous trouble pas. Je sais que je suis très patiente mais lorsque je prends une décision, je n’y reviens plus.
Mais lorsque je me décide, je ne reviens plus sur ma décision – alors j’attire l’attention de tous ces gens là qui pensent pouvoir me dicter le leur. Je dis qu’ils ne peuvent pas me dicter le leur. Pourquoi quelqu’un m’appelle pour me dire : « Tu dis que tu vas travailler quoi sur l’enfant là ? » Je lui demande : « Est ce que c’est ton enfant ? » il dit : « Non » et je dis : « Tu as compris où qu’on retire l’esprit de Lucifer de quelqu’un ? » Si je vous le dis, c’est parce que je remarque qu’à chaque moment j’avale. Mais quand je tourne le dos, on continue à vous détourner, à détourner les faibles, les hommes de faible foi. « Pourquoi veux tu les travailler ? » As tu oublié que Lucifer était le premier ange de Lumière de Dieu ? Tu dois le toucher pour retirer dedans pour quoi ? Arrête de détruire les enfants de Dieu ».
Je lui réponds : « Parce qu’un enfant a dit qu’il ne se sent pas bien et que quand je le touche, c’est pour détruire ? Si ce sont les enfants de ton Dieu, je dois le faire pour mon Dieu qui est créateur du ciel et de la terre ». Je lui demande : « Quel est ton problème sur ce qu’a dit l’enfant ? même si c’est un mensonge, en le travaillant à quoi cela te dérange ? Pourquoi es tu troublé ? Si c’est toi qui est dans l’enfant, sors et laisse le tranquille peut être c’est ton logement, je ne sais pas »
Il réplique : « Ca c’est les manipulations, ça c’est monté, ça c’est descendu… » pardon quitte derrière mon dos et même tu n’es pas mon maître quand je prenais ce service, tu n’étais pas là. Et ne t’introduis pas dedans. Tu as dit que tu vas partir, pars. Je n’ai jamais espionné ton camp pour voir ce que tu fais dehors si là-bas vous travaillez mieux, tant pis. Si ailleurs il y avait quelqu’un autre qui faisait ça bien où est le problème ?
Est ce que je suis là pour empêcher l’œuvre de Dieu de grandir ? hein ? si aujourd’hui le Seigneur me dit : « Lumière, il y a déjà un autre, ça va me plaire. Je ne ferai plus de navettes pour être à Yaoundé, à Douala, au village un peu de partout ? ça va aussi me plaire. Mais il faut comprendre. Si aujourd’hui, Dieu pouvait aller dans tous les coins placer ses envoyés pour au moins baisser la tension diabolique, même moi je serai tranquille. Mais, je me dis que jusqu’à nos jours, le pauvre Homme d’autrui a fouillé et n’a vu personne et il faut chaque moment m’aviser.
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